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Jade trouve son maître Marcelo (part 1)

Publié par : j_91_judanus le 21/12/2025
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Je m’appelle Jade, je suis une femboy très sexy, un peu bimbo et surtout très pute. J’ai le démon du sexe inscrit dans mes gènes et je ne manque jamais une occasion de me faire « déglinguer » sexuellement. Je fais une différence entre la notion de « salope » et celle de « pute ». La salope est une créature qui aime baiser, se faire baiser, selon des fantasmes en tout genre qui seront son moteur et lui feront faire toutes sortes de choses insolites. Mais elle aura des limites qu’elle aura définies et qu’elle respectera scrupuleusement. La pute, quant à elle, est soumise à cette énergie mystérieuse nichée dans ses tripes qui l’amène à dépasser ses limites, faisant fi du danger, de la bienséance ou de la raison. Elle ira se mettre dans des situations parfois périlleuses, souvent pénibles, parce que c’est plus fort qu’elle, parce qu’elle ne s’en remet qu’à son cul et sa gorge, trous noirs avides, désireux d’aspirer toute la virilité du monde, et que son besoin de se faire torpiller corps et âme est la sensation la plus délicieusement douloureuse qu’elle désire éprouver, qu’elle a besoin de ressentir dans sa chair quoi qu’il lui en coûte. Je fais bien évidemment partie de cette seconde catégorie et la petite histoire vécue que je vais vous raconter illustre parfaitement ce que je suis.J’ai fait la rencontre de Marcelo dans un club de sport que je fréquentais à une époque. Sculpture musculeuse et racée d’1m90, à la peau métissée et impeccablement lisse, cet athlète était un fantasme ambulant. Son charisme était d’autant plus irrésistible qu’il avait un caractère absolument charmant. Bienveillant, souriant, toujours prompt à conseiller ou aider sur les pratiques de renforcement, je n’en finissais pas de me demander si l’apollon était juste un parfait gentleman hétérosexuel et amical ou si ma fine silhouette androgyne de vingt-cinq ans le troublait secrètement bien plus qu’il n’aurait souhaité le montrer.Au bout de quelques mois, un soir que nous nous rhabillions dans le vestiaire tout en papotant de sujets futiles liés à nos pratiques sportives, je sentis une opportunité poindre lorsqu’il me proposa d’aller boire un verre. Mon rythme cardiaque s’intensifia lorsque je m’entendis lui proposer de venir chez moi plutôt que dans un bar. Je vis une étincelle d’étonnement illuminer ses yeux.— Avec grand plaisir, me répondit-il avec un sourire suave aux dents parfaitement blanches d’où resplendissait une bonté naturelle. Je lui demandai de me laisser une petite heure, prétextant avoir quelques courses à faire, et lui donnais mon adresse. Je savais en quittant le club et en rejoignant ma voiture, que les choses étaient en très bonne voie, et j’en tremblais d’une fébrilité impatiente. Avant de le laisser pour mieux le retrouver, je ne pus m’empêcher de lui glisser subrepticement dans un soupir :— J’aurai une petite surprise qui te plaira je l’espère… Je l’entendis juste me répondre, une lueur étrange dans le regard :— Alors moi aussi j’en aurai une pour toi.Arrivée chez moi, je sortis de mon placard secret mes plus belles fripes de pute que j’étalai sur mon lit, j’allai à toute hâte faire une douche intime afin d’avoir l’hygiène la plus irréprochable, redessiner les contours de mon pubis en petit triangle de bimbo et je m’habillai prestement de ma tenue préférée : string enveloppant ma petite queue de lopette frétillante — que j’appelle par habitude mon petit clito — mini-short en jean moulant, laissant à moitié mes petites fesses dépasser, bas auto-fixants, petit boléro enveloppant mes épaules et laissant mon ventre à l’air, accentuant ainsi la finesse de ma taille et escarpins à talons. Un léger maquillage, les ongles vernis d’un rouge incandescent, quelques bijoux d’adolescente, et à mon cou, ma ceinture en simili-cuir noir à anneaux, attachée en guise de laisse. Mon esprit ressassait en boucle en spéculant sur le genre de surprise que lui allait pouvoir me réserver… Comment allait-il être habillé, moi qui ne le connaissais que vêtu de tenues de sport ? Peut-être allait-il arriver avec un sex-toy ? Je laissais même mon imagination sans limite gambader et je me surprenais à espérer qu’il débarque avec un ami… ou deux ! J’avais à peine le temps de fixer ma seconde boucle d’oreille, que j’entendis sonner à ma porte. Prenant bien soin de ne pas faire claquer mes talons en allant ouvrir afin de préparer l’effet de surprise, j’avais l’estomac noué et le cœur qui battait la chamade. J’étais soudain prise d’un affreux doute. Et si tout cela n’était qu’une immense méprise ? Et si mon Marcelo n’avait vraiment eu aucune allusion sexuelle et que sa surprise à lui était tout simplement une bonne bouteille de vin ? J’allais peut-être tout fiche par terre, le voir prendre ses jambes à son cou, gâcher ce qui n’était qu’une simple amitié naissante sans ambigüité et devoir me trouver un autre club de sport…Achevant de tourner la clé dans la serrure, mes craintes furent immédiatement dissipées quand j’ouvris lentement la porte et vis mon Apollon parfaitement moulé dans un jean à la coupe parfaite et un beau pull marine laissant apparaître tout le galbe de ses muscles. La force tranquille émanait de tout son être, mais je vis ses yeux s’écarquiller d’une surprise avide quand lui découvrit ma silhouette fine de femboy juchée sur ses talons lui ouvrir et se poster devant lui, mains sur les hanches, avec mon petit air mutin. Sans rien dire, je le toisai quelques secondes, le regard interrogateur, dressée dans une fausse assurance alors qu’en moi-même je me sentais comme une midinette apeurée :— Aimes-tu vraiment ce que tu vois en face de toi, Marcelo ? dis-je de ma plus belle voie de fausset.L’effet de surprise passé, il s’avança vers moi et les mots qu’il prononça faillirent me transformer en flaque et firent battre mon cœur à tout rompre.— Tu es vraiment magnifique. À ces mots, je sentis mon sillon anal s’humidifier chaudement. Je le fis entrer, pris sa veste et pivotai sur mes talons en m’avançant vers le salon afin de l’inviter à me suivre. D’un geste rapide, il me saisit alors par la ceinture me servant de laisse et d’un coup sec m’amena à lui avec autorité. — J’ai toujours pressenti que tu n’étais qu’une vraie petite pute, me dit-il alors avec une sévérité soudaine et un ton dans la voix que je n’avais jamais entendu chez lui. L’effet que je lui faisais était-il tel que la carapace du gentleman se fissurait enfin de toutes parts au point de laisser paraître le véritable mâle alpha que, de mon côté, je sentais poindre en lui ?Il resserra son emprise sur la ceinture et tira mon visage jusqu’à sa bouche. J’eus à peine le temps de lâcher sa veste sur le bord d’une chaise avoisinante. Je crus qu’il voulait m’embrasser et commençai à entrouvrir les lèvres. Quelle fut ma surprise lorsqu’il me décocha une gifle venue de nulle part, ferme et claquante, à la brutalité parfaitement maîtrisée, qui irradia d’un feu piquant toute ma joue droite. Il me maintint face à lui, nos visages à quelques centimètres l’un de l’autre. Afin de me hisser à sa hauteur, sa poigne sur la laisse ne me laissait aucun répit et m’obligeait à me jucher sur la pointe de mes escarpins. Une colère froide et virile habitait son regard et plus aucune lueur de bienveillance n’émanait de son attitude.— Qu’est-ce que tu crois ? Tu crois que tu mérites que je t’embrasse ? Tu crois pouvoir faire ta princesse avec moi ? Fini de jouer maintenant, tu vas faire exactement ce que je vais te dire, sinon je vais te briser.— Attends Marcelo, j’ai besoin de…Une autre gifle plus forte encore que la première m’interrompit instantanément.— Tais-toi petite pute. Tu ne parleras que si je te le permets.— D’accord. Une nouvelle gifle sécha ma joue au point que j’en émis un petit geignement furtif que je regrettai aussitôt d’avoir laissé échapper.— Même « d’accord » c’est de trop. Je veux que tu la fermes un point c’est tout.Il ramena mon visage juste devant le sien. Je ne savais s’il fallait que je le regarde dans les yeux ou que je les baisse mais je choisis prudemment la seconde option. — Je sens qu’il va falloir que je te dresse, toi. Tu vas vite apprendre, crois-moi. Allez, avance.Il relâcha quelque peu son emprise, juste assez pour me permettre de le précéder et me diriger vers le salon. J’avais cent questions à lui poser ...

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