Au début, je n’ai jamais été attiré par un homme, même si j’étais fasciné par une queue. Ayant fait du naturisme, j’aimais regarder autant des sexes féminins que masculins et ceux que je voyais en érection me troublaient.Il y a un peu plus de 20 ans, dans un nouveau boulot, il y avait un grand black, qui ne cachait pas son homosexualité et avec qui j’ai sympathisé, très à l’aise avec ses mœurs, il racontait ses ébats, ses sensations ! J’avoue que ça m’interrogeait au plus haut point. Il me parlait d’un sauna gay ou il allait. Très vite j’ai eu l’envie de tester. Lors de mon premier passage, j’étais assez gêné, voir embarrassé car je ne connaissais pas les codes. J’ai déambulé, histoire de voir ce qui s’y passait et j’avoue que je ne m’attendais pas à voir des mecs baiser comme ça sans se cacher, bien au contraire. Mais je n’osais pas me confronter à ces débauches sauvages. J’y ai rencontré un mec de mon âge, débutant comme moi, on s’est isolé , puis on a commencé a discuter tout en touchant le sexe de l’autre, comme des débutants, des gestes grossiers, pleins d’appréhensions Je trouvais étrange de sentir une bite autre que la mienne dans ma main, bite qui durcit, tout en devant gérer la sensation de me faire caresser par un mec. Rapidement, trop rapidement, On s’est branlé jusqu’à éjaculer, puis on s’est quitté presque honteux. Cette première expérience me hantait, j’avais envie d’aller un peu plus loin, plus longtemps. Comme ce sauna était à 300 m de mon boulot, je cherchais un autre moyen pour assouvir ce besoin qui montait en moi en me titillant le bas ventre. Je me mis à mater des films X gay et je me voyais dans ces mecs suçant, se faisant prendre bref jouissant sous le sexe d’un male. Ce côté bi me troublait vraiment car j’avais des aventures avec des femmes malgré cette envie… pressante ! Je luttais contre mais souvent me venait l’envie de sucer une queue. Petit à petit je prenais conscience de la bisexualité. Puis par le biais d’une petite annonce via un site qui n’existe plus je fis la connaissance de Loris. Je lui faisais part de mes interrogations et doutes mais aussi de mes envies et fantasmes par message. Il m’a écrit que si je voulais qu’il m’initie aux plaisirs masculins, il n’y avait aucun soucis . Après de nombreux échanges, nous nous sommes rencontrés chez lui, il m’a ouvert la porte, nu, ce qui m’a surpris et un peu déstabilisé mais ça ne m’a pas empêché de lorgner sur son organe totalement épilé. Il m’a conseillé de me mettre nu aussi. Ce que j’ai fait, le coté naturiste et exhibitionniste prenant le dessus. Il m’a proposé de boire un verre dans la cuisine pour discuter de ce que je voulais, ce qui m’attirais, puis nous sommes allés dans sa chambre puis installé sur lit. Il m’a dit : » je suis à ta disposition, fais ce dont tu as envie, je te guiderais ci besoin ». J’ai commencé par regarder son sexe au repos, ses testicules. Délicatement j’ai promené doigt le long de son membre, puis je l’ai pris en main pour le soupeser, je le sentais battre, durcir petit à petit, je me suis mis à le tenir à pleine main pour mieux ressentir cette érection qui montait. Je lui ai demandé si je pouvais le décalotter pour admirer ce gland gros et dur, comme il accepta, je découvris un gland qui devenait rouge sang , gonflé près à exploser. Cela faisait bizarre de voir un sexe d’homme sous un autre angle, voir la forme du gland, le frein, la grosse veine qui court le long, puis les testicules qui durcissaient légèrement et se tendaient sous l’érection. J’étais fasciné, subjugué, je prenais le temps de regarder, ressentir. Loris lui me laissait faire. Je lui ai demandé : » tu veux que je te fasse jouir », il m’a répondu : » on a le temps et tu as d’autres envies à assouvir » Dans mes envies j’avais celle de prendre un sexe en bouche, mais je n’osais pas, peur de plein de choses, avoir du sperme en bouche, cela me dégouttait à l’époque, une odeur forte d’un sexe mal lavé. J’approchais donc ma bouche de ce sexe tendu, osant à peine le toucher, ne sachant quoi faire ! Je flairais discrètement et sentis une odeur vanillée, sans doute qu’il s’était enduit la queue d’une crème parfumée. Ce qui me tenta furieusement de le gouter !Devinant mes pensées Loris me dit : » ne t’inquiètes pas ...

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