Il glissa une main entre leurs corps, ses doigts explorant avec une urgence presque désespérée l’entrée serrée du grand, déjà humide et prête. Ses lèvres, chaudes et avides, se posèrent sur la nuque de son camarade, y déposant des baisers brûlants, tandis que ses dents mordillaient légèrement la peau, comme pour marquer sa possession. "Je vais te prendre… maintenant," semblait-il murmurer, ses doigts s’enfonçant davantage entre les fesses du grand, comme pour préparer son entrée.Le grand, le souffle court, écarta instinctivement les jambes, offrant un accès sans réserve. L’autre, d’un geste lent et délibéré, écarta davantage les fesses de mon compagnon de chambrée, exposant son entrée déjà humide d’excitation à la lumière blafarde des néons. Sans précipitation, il se pencha, sa langue chaude et humide sortant entre ses lèvres entrouvertes. Il commença par effleurer la peau sensible des fesses, traçant des cercles lents et précis, comme pour en savourer la texture, le goût salé de la sueur mêlé à l’odeur musquée de l’excitation. Puis, avec une lenteur calculée, il descendit davantage, sa langue glissant entre les globes fermes, explorant chaque repli, chaque courbe, jusqu’à atteindre l’entrée serrée du grand. Il y déposa un premier baiser, presque chaste, avant de laisser sa langue s’insinuer avec une douceur torturante. Elle traça des motifs lents, des cercles concentriques, s’attardant sur les bords avant de s’enfoncer légèrement, comme pour préparer le terrain, détendre les muscles tendus. Le trapu alternait entre des coups de langue légers, presque imperceptibles, et des pressions plus appuyées, sa salive chaude coulant le long des cuisses du grand, accentuant la sensation de moiteur, de désir. Ses mains, toujours agrippées aux hanches de son camarade, maintenaient une pression ferme, comme pour l’empêcher de bouger, pour le forcer à subir cette préparation minutieuse, cette torture délicieuse qui semblait le consumer de l’intérieur. La pointe de sa langue, agile et experte, explorait chaque recoin, chaque nerf sensible, tandis que ses lèvres, à peine entrouvertes, déposaient des baisers humides sur la peau frémissante.Le trapu, sentant le corps du grand enfin prêt, se redressa lentement, ses lèvres encore humides de salive et de désir. Son souffle court, il posa une main sur la nuque du grand, l’attirant légèrement vers l’arrière comme pour souffler à son oreille, d’une voix rauque et chargée d’une urgence contenue : "Tu es à moi, maintenant." Sans attendre de réponse, il se positionna derrière lui, son sexe dur et palpitant, tendu comme un arc, cherchant instinctivement son entrée.Un frisson violent le parcourut quand il sentit le sexe du trapu, dur comme de l’acier, se presser contre lui, cherchant son entrée. Le trapu, d’un mouvement lent mais déterminé, commença à pénétrer le grand, millimètre par millimètre, ses hanches poussant avec une pression calculée, comme s’il voulait savourer chaque instant de cette possession. Le grand laissa échapper un gémissement étouffé, ses doigts se crispant contre le mur, son corps tendu entre la douleur et le plaisir, tandis que le trapu, enfin enfoui en lui, commença à bouger avec une lenteur torturante, chaque coup de reins accentuant leur étreinte sauvage.Pour ma part, derrière cette fenêtre, mon corps entier semblait en feu, parcouru par une excitation presque insupportable. Chaque gémissement étouffé, chaque mouvement de hanche, chaque souffle rauque des deux hommes résonnait en moi comme une décharge électrique. Mon sexe, du ...

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