Une fois encore nous nous retrouvons Michel et moi au sauna. Il arrive dans le vestiaire, je suis déjà nu. Je l'embrasse, déjà pressé de sentir sa peau contre la mienne.Douche, caresses, baisers et nous nous isolons pour que chacun dispense à l'autre les caresses qu'il attend. Nous nous connaissons bien et savons comment combler d'envie chacun de nous. Fellations, anulingus et baisers profonds s'enchaînent. Nos corps réclament l'autre et tour à tour nous nous pénétrons, nous arrêtant avant d'avoir atteint le point de non-retour.L'après-midi se poursuit en profitant des installations, sauna, hammam et coins câlins. Notre complicité et notre tendresse l'un pour l'autre sont visibles et nous ne restons pas seul dans les coins câlins. Les portes restées ouvertes sont évidemment des invitations au partage. Voir Michel s'abandonner à un autre, y avoir un plaisir évident ne me gène pas, bien au contraire. C'est bon pour lui, c'est bon pour moi. Et c'est réciproque. L'embrasser à pleine bouche alors qu'un sexe vigoureux lui procure du plaisir m'apporte énormément de plaisir également. Chevaucher son visage pour qu'il me lèche alors que son corps frêle accompagne les mouvements de celui qui va et vient en lui est un réel bonheur.Le temps défile à tout allure, une nouvelle douche, un moment pour souffler un peu et nous cherchons à nous isoler pour nous donner l'orgasme qui nous apaisera avant de nous séparer.Ce jour de pont il y a du monde et beaucoup de cabines sont fermées, il s'en échappe des bruits et soupires qui ne laisse aucun doute sur ce qu'il se passe à l'intérieur.Une porte est ouverte, c'est une cabine glory, nous nous y enfermons.Allongés on se câline, dans la pénombre je vois un sexe dressé passer par le trou en attente d'une bouche. Je me mets à 4 pattes face à l'orifice en enfourne cette verge en demande. Immédiatement elle va être vient et le gland va de mes lèvres à ma, gorge. Ma langue caresse et savoure. Michel profite de ma position pour me caresser les fesses, les écarter et glisser sa langue si douce sur ma rondelle. Elle ne tard ...

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