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CHAPITRE 7 Dans une boutique de lingerie puis au sex-shop

Publié par : travnicole le 12/01/2025
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Résumé du chapitre 6 « Mise à la disposition des hommes à l’hôtel» : Mon maître Alain a repris contact avec moi. Il a passé une petite annonce sur un site de rencontre pour me mettre à la disposition des hommes dans une chambre d’hôtel. Durant cette nuit, je me suis faite baiser par une vingtaine d’hommes qui ont utilisé ma bouche et mon cul à tour de rôle et souvent à plusieurs ensemble.Avant de quitter la chambre d’hôtel, Alain m’avait donné trois cent euros en me disant qu’il avait demandé une participation financière de dix euros à chaque homme. Il voulait qu’avec cet argent je m’achète des dessous de pute mais, comme toujours il fixait des conditions afin que je ressente bien mon statut de soumise et aussi dans le but de m’humilier encore davantage : je devais aller dans un magasin de lingerie féminine de Brest et bien préciser à la vendeuse que c’était pour moi. Il me dit qu’il connaissait la patronne et qu’il lui demanderait si je l’avais bien précisé, je ne savais pas si c’était vrai mais je ferai ce qu’il m’avait ordonné, je ne voulais pas subir une autre correction. Cette nouvelle accentua encore la sensation que je ressentais de plus en plus d’être une vraie pute, j’apprenais aujourd’hui que les hommes payaient pour me baiser. Le fait que ce soit une petite somme renforçait encore ce sentiment que les hommes pouvaient me baiser pour une somme dérisoire.Ne voulant pas faire attendre mon Maître ou le décevoir une fois encore, j’allais dès le lendemain dans le magasin de lingerie. J’étais très fébrile au moment de franchir la porte de la boutique. Il y avait deux vendeuses à l’intérieur et une seule cliente. Alain m’avait fait la liste de ce qu’il voulait que j’achète : un corset rouge et noir à lacer dans le dos, une nuisette transparente noire, un porte jarretelles rouge et trois ou quatre strings blanc, noir et rouge. Il voulait aussi que je prenne si j’avais assez d’argent une tenue complète rose. Je passais dans les rayons très gênée, j’essayais de ma rassurer en me disant que les vendeuses devaient penser que je regardais les dessous pour ma femme. Mais l’une des vendeuses que je soupçonnais être la patronne s’approcha de moi.Bonjour monsieur, puis-je vous aider ?Oui je crois, je recherche quelques dessous, c’est pour moi.Ah, vous êtes Nicole ?Oui.Alain m’a annoncé ta visite, appelle- moi Madame.Bien Madame. Dis-je en pensant qu’elle aussi devait être plutôt dominatrice.Il t’a fait une liste je crois.Oui Madame.Montre moi ça.Voilà Madame.Hum, tout cela doit pouvoir t’aller à ravir. Alain m’avait prévenu mais en effet tu sembles avoir un corps très féminin.Suis moi, je te montre. Que portes tu sous tes vêtements de garçon ?J’ai un string noir Madame, et Maître Alain me fait porter en permanence un plug dans le cul.Bien ça. Tu prends tout ce que je t’indique. En cabine tu retires tes vêtements de garçon, tu garde ta culotte et ton plug. Tu n’essaies que le corset, la nuisette et ce bustier rose, on n’essaie pas les culottes bien sûr. Tu me montres tout ça ensuite.Je me dirige vers la cabine, me déshabille et enfile le corset. Quand c’est fait, j’ouvre le rideau, la vendeuse est devant moi, elle me regarde avec insistance, me félicite sur mon corps et me dit que j’ai vraiment un corps à porter des dessous féminins. Elle me fait me retourner et commence à serrer les lacets très fort, je sens mon corps se compresser, c’est très agréable. Une fois le corset ajusté, je retourne dans la cabine et enfile la nuisette, la vendeuse est encore très satisfaite, puis je mets le bustier rose qui me va aussi très bien. Au moment de passer à la caisse, il y en a pour trois-cent- vingt euros, la patronne du magasin me dit qu’elle me fait cadeau des vingt euros ; c’est, dit-elle, pour plaire à Alain et du fait qu’elle ait beaucoup apprécié cette séance d’essayage très particulière.Pendant plusieurs semaines, Alain n’a pas organisé d’autres plans pour me mettre à la disposition des hommes. Comme je suis en vacances, nous communiquons beaucoup directement sur le chat du site de rencontres homo. Lui, par contre travaille donc, en moyenne il me fixe rendez-vous tous les soirs pour juste se faire sucer ou me baiser. Un fois, il me fait retourner dans les toilettes publiques juste pour le sucer, comme la première fois sans un mot. Mais la plupart du temps, il me donne rendez-vous dans le petit chemin très discret où il m’avait convoqué pour m’infliger ma fessée. Il arrive avec une petite couverture, je le suce et il me baise pendant de longues heures parfois, au soleil du mois de juillet. Il me fait venir chaque jour avec une tenue nouvelle, il veut me voir et me baiser avec chacune, il prend aussi une photo de moi dans chaque tenue.Quelques temps plus tard, Alain me fait vivre une autre façon de m’exhiber et de sucer des bites, parfois aussi de me faire enculer. Un soir sur le net, il m’ordonne d’aller dans un sex-shop, rue Saint-Marc à Brest, il y sera lui aussi. Je dois arriver maquillée avec ma perruque dans un sac. Je dois louer un film et le visionner sur place. Il y a des cabines pour les projections individuelles. Une fois dans la cabine, je dois fermer la porte, me préparer avec mes bas noirs, un petit porte jarretelles noir, le corset rouge et noir, une petite culotte noire, je dois mettre mes escarpins et ma perruque.Le lendemain, j’arrive au sex-shop, je loue un film de travesti, je vais dans ma cabine et me prépare. Il y a des trous ronds à droite et à gauche de la cloison qui me sépare de mes voisins, des « glory holes », je devine tout-de-suite à quoi ils servent. Alain m’a dit qu’une fois prête, je dois tapoter sur les deux cloisons. Je fais ce qu’il m’a dit. Dès que j’ai tapoté sur les cloisons, je vois apparaître une bite dans chaque trou, elles ne sont pas en érection et dépassent à peine de la cloison. Je sais ce qu’il me reste à faire. Ce n’est pas facile de les prendre chacune leur tour en bouche mais au contact de mes lèvres et de ma langue, elles grossissent très vite. Les deux bites dépassent maintenant d’une quinzaine de centimètres de chaque trou, je peux bien les prendre en bouche, je passe de l’une à l’autre, je masturbe une pendant que l’autre est dans ma bouche. C’est si bon de sucer sans savoir qui je suce. je suis aux anges avec ces deux belles bites bien tendues à portée de ma bouche, je passe de l’une à l’autre en me délectant, de temps en temps je pose juste mes lèvres sur le bout et titille de la langue, à d’autres moments je pose bien mes lèvres sur le bout du gland et je descends doucement le long de la queue pour finir les lèvres collées à la cloison, le bite bien au fond de ma bouche et je promène ma langue tout autour du gland. Je sens souvent les hommes réagir, ils sont surpris de ce que je peux leur faire mais j’aime tellement cela que je ne veux pas que ça s’arrête. Pourtant, au bout de quelques minutes, je sens la bite de l’un deux s’agiter de spasmes, je sais qu’il est en train de se retenir, je redouble d’efforts, je le suce de plu ...

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