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Baisée dans un fourgon de chantier.

Publié par : trav_a_jus le 28/10/2025
** NEW **

Il est passé me chercher avec son fourgon aménagé, visiblement pour y accueillir des bouches et des culs. Il était convenu entre nous, surprise, soumission et respect de mon intégrité physique. Je pensais qu'il m'emmenait simplement sur un parking faire la pute pour ses copains actifs en banlieue lyonnaise. En jetant un œil sur l'arrière du fourgon, j'aperçois un lit et deux paires de menottes au bout d'un câble d'environ 50 cm, une à la tête de lit et la deuxième au pied du lit.Je n'y ai pas fait attention plus que ça.Puis soudain, quelques kilomètres avant d'arriver sur le parking prévu, il s'arrête sur le bord de la route et me demande de passer derrière, je m'exécute.En quelques secondes, il me passe les menottes à chaque poignet, me bâillonne efficacement et me passe une cagoule aveugle sur la tête. Là je me suis dit qu'il avait prévu de faire les choses en grand. Je commençais à être violemment excitée, je sentais que la soirée allait être particulière.D'habitudes il était jovial, plein d'un humour vulgaire, mais ce soir rien, muet.Quelques jours auparavant, il m'avait appelé pour prendre note de mes dispo. Il m'avait toujours promis qu'il me promènerais un soir pour me présenter quelques amis étrangers qui travaillent sur un chantier, des turcs, des maghrébins, des blacks célibataires loin de chez eux, sa femme ni enfants sur place.Je pensais que je pourrais les sucer les uns après les autres, les branler, me faire baiser plus ou moins normalement.J'étais loin de m'attendre a ce qu'il comble enfin mon fantasme ultime, celui d'être reléguée à de la viande, un rôti troué posé là, immobile, inerte, a disposition de la perversité, du machisme, du sadisme, de la virilité vulgaire, basique, animale.J'étais préparée, rasée, parfumée, je m'étais maquillé, je m'étais passé de la crème sur les fesses pour qu'elles soient douces et sentent bon.Tout cela n'a fait qu'exciter une meute de queue, l'odeur de la luxure, le parfum de la souillure, le chant des gémissements à venir.Le fourgon redémarre, j'imaginais dans le noir la route, les rond-point, les virages, les stops, qui à chaque fois me faisaient croire que l'on était arrivés. Non, à chaque fois on repartait, d'autres virages, lignes droites...Puis j'ai senti que la route devenait un chemin, mal entretenu, chaotique.J'étais bientôt arrivée au bout de l'inconnu, la vérité allait surgirai.Puis il s'arrêta et me rejoignit pour peut être me parler ? Non, il leva ma jupette et enleva mon string, mettant à jour mes fesses et l'accès à mes entrailles.Ce pour quoi je vibrais était proche, le fourgon repartit et s'arrêta à nouveau quelques minutes plus tard, sa porte s'ouvrit puis claqua. J'entendais des voix à l'extérieur, des langages étrangers. Ça riait, ça parlait fort, certains tapaient sur le fourgon en m'insultant très certainement.Peut-être avaient-ils déjà la queue à la main pour se branler, que leur avait-il promis ? Je savais que les préservatifs n'allaient pas être présents ce soir, que j'allais rapidement sentir le sperme. J'avais conscience que l'hygiène risquait d'être absente, peut-être des queues sales, des couilles pleines de sperme avarié. Je commençais à faire abstraction des conséquences, mon esprit devait se détendre pour supporter la suite.La porte latérale du fourgon vient de s'ouvrir brutalement, l'arrière du fourgon se remplit et je le sens s'abaisser sous le poids des visiteurs.Combien étaient-ils ? Il ne me le dira jamais.Immédiatement j'ai reçu des claques sur les fesses, des rires de brutes, des doigts cherchaient immédiatement à m'écarter l'anus, à entrer, mes fesses se séparaient comme s'ils voulaient m'ouvrir les hanches en deux. Je ne sentais aucune douceur, aucun respect, le fourgon était devenu une bétaillère et dedans, il y avait mon cul offert en pâture.J'entends mon chauffeur hurler et s'approcher, pas pour me rassurer, mais pour me mettre du gel.Immédiatement après j'ai été transpercée par un gland, une queue qui alla directement en force cogner au fond contre mon bassin.Je le sentais tenir mes hanches pour ne pas qu'elles bougent ou par peur que je lui refuse mon cul, et je sentais des paires de mains m'écarter les fesses pour lui faciliter l'entrée.Surtout j'imagine pour que chacun puisse admirer l'objectif que chacun d'eux s'était fixé, s'approprier ce cul, cet orifice à souiller. Ce trou dans un rôti que leur connaissance leur avait promis sans condition, sans restriction.Ils gueulaient comme des sauvages.Depuis combien de temps se branlaient-ils sur des magazines de chantier, des vidéos, des films pornos… ?La première queue se vida dans mon ventre, et mon chauffeur leur avait certainement donné une petite bouteille d'eau pour faire couler le plus gros du sperme a l'extérieur et "nettoyer" pour le suivant.Le temps a finit par s'écouler lentement sous la violence dans mon ventre, sur mes fesses qui claquaient sous les paumes, par les queues qui se suivaient, les rires, les grognements de jouissance viriles. Je suis devenue le morceau de viande que j'ai voulu être. Puis d'un coup j'ai senti une main qui voulait entrer, qui forçait doucement mais sûrement l'entrée entre mes hanches, elle ressorti ...

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