Le téléphone sonna et il alla décrocher. C’était le propriétaire de la ferme qui voulait savoir comment il allait et il répondit, assez nonchalamment, que Jean était une belle femme mûre qui appréciait la séance photo et qui s’en sortait très bien. Il se tourna pour la regarder pendant qu’il parlait, il continua oui, ça n’a pas pris trop de temps et elle est nue devant moi maintenant, un beau corps, de beaux seins et une belle petite chatte rouge et chaude, tu adorerais ça George. Elle avait l’air tellement surprise mais, d’une certaine manière, flattée et agita la main vers lui comme pour lui taper sur les fesses. Oh oui et ça me rappelle George, elle semble très heureuse de jouer avec ta cravache, elle était horrifiée qu’il ait partagé ça avec quelqu’un d’autre… C’est bon George, on t’attendra, une dizaine de minutes, ça va, oh et ne le dis à personne d’autre pour l’instant, je dois d’abord en parler à Pete. OK. À plus tard, et il raccrocha. Elle avait l'air un peu effrayée et se répétait sans cesse "oh ce n'est pas juste, il n'aurait pas dû dire ça, je l'ai fait seulement pour lui...".Il s'est tourné vers elle et lui a expliqué qu'il n'était que le propriétaire de la ferme et qu'il était en route, qu'il serait là dans environ 10 minutes. C'est un gars vraiment sympa, il a déjà rencontré votre fils et l'aime beaucoup, il devrait l'avoir pour quelques semaines plus tard dans le mois. Il est très exigeant et peut être assez cruel, ne supporte aucune agitation et comme moi, il doit être obéi. Nous avons bu quelques verres de vin pour calmer ses nerfs et encourager son obéissance.Oh, j'ai oublié de vous remercier d'avoir persuadé votre fils de poser nu pour moi, c'est un super modèle et il aime faire ce qu'on lui dit et tout ça à cause de vous. Si vous n'aviez rien dit, je pense que je l'aurais perdu. Voulez-vous voir des photos ? Elle commençait à être un peu pompette et acquiesça d'un signe de tête et ils se dirigèrent tous les deux vers la voiture, il ouvrit le coffre et glissa le bikini avec les autres affaires et Jean était à l'aise maintenant nu et après quelques verres. J'ai sorti une enveloppe avec plusieurs photos grand format de toi son fils. Elle était totalement atterrée de voir mon nouveau look et de me voir suspendu au plafond de l'atelier ou dans ma cellule. Elle le regarde terrifiée. Je l'ai calmée et elle a rigolé quand elle a appris que tu avais demandé à être attaché et nu.Elle jouissait de sa propre nudité au milieu de la cour en se promenant devant moi avec ses mains sur la tête comme si elle était chez elle.C'est un bon garçon et fait exactement ce qu'on lui dit, et tu dois faire la même chose Jean, tu comprends sinon je peux faire de la vie de ton fils un enfer. Dis-moi que tu comprends.Elle hocha la tête pour dire qu'elle avait compris et qu'elle se plierait à ses exigences à condition qu'il veille sur son fils. Mais bien sûr, Jean tu peux me faire confiance.Elle a parcouru toutes les photos l'une après l'autre, puis les a parcourues à nouveau en les touchant du bout des doigts, puis a laissé tomber sa main sur sa petite chatte chaude et humide et a commencé à taquiner son clitoris en regardant vos photos.Vous pouvez les garder si vous le souhaitez, maintenant, retournons à la grange et rappelez-vous, soyez gentil avec George. Il entraînera votre fils pendant deux semaines entières et je peux vous assurer qu'il peut être très cruel s'il n'est pas satisfait ou si vous ne vous comportez pas ou ne lui obéissez pas correctement. alors soyez simplement gentil avec lui. Votre fils est un très beau jeune homme et il plaît à beaucoup d'hommes et il aime ça. Vous devez être fière de lui Jean, elle était d'accord avec lui et sourit fièrement.Ils ont terminé leurs verres de vin et sont retournés à la grange et à la séance photo, mais son esprit était loin de sa pose.Une voiture est entrée dans la cour et le chien a recommencé à aboyer. Nous avons entendu la portière de la voiture claquer et une voix bourrue crier au chien de « fermer sa putain de gueule… » ​​puis le chien a hurlé en recevant un coup de pied et est retourné dans sa niche.Nous l'avons entendu dans ses bottes en caoutchouc traverser la cour en pataugeant et faire le tour de la grange. « Alors, John, ravi de te revoir, comment va ton jeune pédé, il avait l'air en forme hier, tu le prépareras pour moi à partir du 30, euh ? Tu l'amèneras ici bien sûr, j'ai hâte de mettre la main sur lui. »« Oui, George, bien sûr, tout est arrangé, j'ai parlé à Pete plus tôt et il n'y a aucun problème.Maintenant, laisse-moi te présenter Jean, la femme dont je t'ai parlé au téléphone plus tôt, « Jean, viens ici. » Il a ordonné.Elle a mis ses mains sur sa tête et s'est dirigée lentement et délibérément vers eux en gardant son corps droit et ses jambes alignées, un pied après l'autre. Elle essayait tellement de séduire cet homme qu'elle lui tendit la main pour qu'il la serre, mais il la regarda avec dédain et lui dit : « Va te faire foutre, pour qui se prend cette salope ? John, pour l'amour de Dieu, tu ne peux pas entraîner correctement ces connards avant de les mettre devant moi. » Il s'excusa abondamment en disant qu'elle était nouvelle et qu'elle n'avait pas eu la chance d'apprendre les subtilités de son rôle. « Reste là, Jean, et fais ce qu'on te dit. » Il lui conseilla. Elle essaya de s'excuser, mais cela ne fit qu'empirer la situation et elle reçut une gifle en plein visage qui la jeta sur le côté. Elle fut secouée et essaya rapidement de se remettre.reprenez sa position avant qu'il n'ait eu la chance de répéter le geste.George a alors dit à John de retirer son équipement, ce qu'il a fait immédiatement, et George n'a pas hésité à saisir son énorme bite."Donne-moi ce putain de fouet, salope, et mets-toi là-bas dans l'espace entre les porcheries", lui a-t-il dit, "c'est tout là, maintenant, penche-toi sur l'enclos et écarte les jambes, tu sais John, je parie qu'elle est vraiment bien mouillée, attendant juste une bonne bite."Sans hésitation, il prit le fouet, s'approcha d'elle et la frappa en plein dans le bas du dos, elle grimaça et plia les genoux en se tortillant légèrement, elle se retourna et il aperçut un sourire, "tu vois John, elle est amoureuse de ce putain de fouet, ses yeux le supplient, regarde-la je parie que sa chatte coule", elle redressa ses jambes et s'appuya contre le mur, le fouet fendit à nouveau l'air et la toucha en plein sur les fesses et on pouvait entendre la pointe du fouet frapper, cette fois elle grimaça et se tortilla et vit ses jambes trembler au niveau des genoux, elle se retourna et sourit presque, le défiant presque de continuer, formant un baiser avec ses lèvres, sans hésiter, il frappa à nouveau puis encore et encore... puis John suggéra qu'il pourrait s'arrêter un ...

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