La sixième visite, est un jeune mec de trente ans, avec des tatouages partout, plutôt beau mec, mais qui fait effectivement très gay. Il y a aussi beaucoup de piercings et il est habillé très à la mode des jeunes. Moi, je suis toujours à poil, et je m'exhibe, tout en restant dans le camping-car, à la porte. Dès que je dis bonjour au jeune homme, en deux secondes et trois enjambées, il se retrouve dans mon véhicule, en refermant la porte derrière lui. Je la verrouille, comme à chaque fois, histoire d'être tranquille. Dès qu'il est en face de moi, je délègue une main sur son sexe, à travers son pantalon de toile. Visiblement, il a un sacré matériel, le gamin. Il en profite, lui, pour me tripoter les nichons et passer ses mains surtout mon corps. Je mets un peu de temps à défaire son pantalon et son slip, qui sont très serrés. Effectivement, dès que ça pine est à l'air, je m'aperçois que c'est une belle grosse bite, et je me jette dessus pour la prendre en bouche.- Tu es une suceuse, toi !Lâche-t-il dans un souffle et il continue à me malaxer les seins. Puis, commence à me foutre une première claque sur le cul. Comme je ne dis rien, pour lui faire plaisir, si ça l'excite de me claquer le cul. Il en profite et finit par me filer une sacrée fessée, énergique, qui me chauffe les miches, quelque chose de bien. Moi, bonne salope, je continue à le pomper de plus belle.Mais bientôt, son téléphone vibre dans son sac banane, qu'il a en bandoulière. Il s'en empare, le regarde, le Range à nouveau, puis me dit :- Désolé, il faut que j'y aille.Il remonte slip et froc, et se jette pratiquement sur la porte pour l'ouvrir. Je lui déverrouille et il sort sans un regard en arrière. Dommage, j'aurais bien pris sa jolie pine dans le cul, surtout que j'ai encore le cul tout graisser du sperme d’une des rencontres d'avant...Pour la septième visite, c'est un homme plus âgé que moi encore, entre soixante-quinze et quatre-vingts ans, avec de grosses lunettes, qui a un peu de mal à monter dans le camping-car. Une fois qu'il est arrivé en haut, bien-sûr, je referme la porte et la verrouille. Et tout de suite, il me dit :- Tu viens souvent ici ?- Non, c'est la deuxième ou troisième fois que je viens.- Ah ! Tu viens t'amuser, moi aussi d'ailleurs.Comme je m'attelle à défaire la braguette de son pantalon, il ajoute encore :Malheureusement, je te préviens, je ne bande pas, c'est à cause des médicaments pour le cœur.J'acquiesce d’un mouvement de tête, puis prend en bouche sa pine ...

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