Gay, lesbian and straight erotic stories

Ce salop me bloquait complètement, son pubis appuyé contre mes fesses, impossible de me retourner ni de me relever.  Laissez moi, ça suffit, je vous ai sucé, vous avez eu ce que vous vouliez, vous aviez dit que vous me laisseriez partir ! tentais-je d'argumenter tant bien que mal.Sans, même, prendre la peine de répondre, cet enfoiré passe ses mains dans les trous de mon jean, au niveau des fesses et tire fortement dessus. Mon jean craque et mes fesses se retrouvent quasi à nue avec juste see the rest

Une main sur le volant, une autre sur mon intimité, mon chauffeur continua de rouler ainsi, 10 bonnes minutes. Apres m'avoir titiller la chatte, il me branlait. Je gémissais de plus en plus fort, pour le plus grand plaisir de mon inconnu. Passant devant une minuscule air de repos de la nationale, il mit un coup de volant pr s'arrêter. Il stoppa le contact; sans rien dire, décrocha ma ceinture de sécurité, m'agrippa les cheveux et m'attira vers ses cuisses. Je vis une énorme bosse sous son see the rest

Sa main me caressait le haut de la cuisse, écartant toujours plus le trou de mon jean. Je n'osais plus bouger ou dire quoique ce soit, la tête je ne sais où, comme dans un autre monde, j'étais pétrifié.  Écarte les jambes ! Pardon  Écarte, je te dis hurla t-il me faisant sursauter Mais monsieur je...Se penchant vers moi tout en continuant de fixer la route :  Écoute, je sais ce que tu es, peut être mieux que tu ne le sais toi-même Quoi mais qu'est ce que vous.. Chuttt, see the rest

Sa main me caressait le haut de la cuisse, écartant toujours plus le trou de mon jean. Je n'osais plus bouger ou dire quoique ce soit, la tête je ne sais où, comme dans un autre monde, j'étais pétrifié.  Écarte les jambes ! Pardon  Écarte, je te dis hurla t-il me faisant sursauter Mais monsieur je...Se penchant vers moi tout en continuant de fixer la route :  Écoute, je sais ce que tu es, peut être mieux que tu ne le sais toi-même Quoi mais qu'est ce que vous.. Chuttt, see the rest

À l'époque (années 90) j'étais au lycée, je venais d avoir 18 ans. Étant interne, je rentrais uniquement le vendredi soir, chez mes parents. Environ 1h30 de bus, alors parfois pr rentrer plus vite je faisais du stop. Hétéro, j'aimais les filles mais commençais à avoir des envies de me travestir, j essayais de temps à autre des vielles affaires de mes grandes sœurs stockées à la cave. De plus en plus souvent j'étais sans sous-vêtements au quotidien, cette nouvelle sensation m'excitait see the rest