Ce salop me bloquait complètement, son pubis appuyé contre mes fesses, impossible de me retourner ni de me relever.  Laissez moi, ça suffit, je vous ai sucé, vous avez eu ce que vous vouliez, vous aviez dit que vous me laisseriez partir ! tentais-je d'argumenter tant bien que mal.Sans, même, prendre la peine de répondre, cet enfoiré passe ses mains dans les trous de mon jean, au niveau des fesses et tire fortement dessus. Mon jean craque et mes fesses se retrouvent quasi à nue avec juste la couture du milieu sur la raie des fesses. J'essaie de me défendre comme je peux avec mes bras mais je ne fais pas le poids, surtout dans cette position. Il m'attrape le bras droit, me le bloque derrière le dos.  Calme toi ! Laisse toi faire ma belle, tout doux... bouge plus sinon je vais devoir accentué la pression sur ton bras. Pour ne pas qu'il me fasse mal, j'arrête de bouger. Quelques secondes passent, le temps de me rendre compte de la situation, de la pose dans laquelle je suis. Cela suffit à me laisser le temps de me faire une image dans ma tête, l'image que je fantasmais, parfois, seul le soir dans mon lit, celle d'être soumise à la volonté d'autrui. Ces qlqes secondes ont suffit à me faire changer d'état d'esprit, au lien de le vivre mal, de vouloir y échapper, tout mon être l'accepte maintenant. Il monte une forte excitation à la basse de mon mon ventre, des papillonnements, de la chaleur. Je n'ai jamais ressentie une sensation pareille. Difficile à décrire, comme si tout vos désirs s'accomplissaient d'un seul coup. Je sens ma chatte se liquéfier. Je ne veux pas qu'il voit qu'il a gagné, je fais mine de vouloir me relever encore une fois, il n'a pas grand chose à faire pour me recoller aux sièges, une légère poussette et je suis de nouveau à moitié à 4 pattes à l'arrière de sa voiture.  non, non, non ma petite chatte, tu vas pas t’échapper. Tu sais, que tu m’excites avec ton cul tendu là. Effectivement je sens sa queue se gonfler. Il la frotte contre mon cul, ce qui a pour effet de me faire mouiller encore plus, je commence à émettre de faibles gémissements. Ça le don de l’exciter.  hum, putain t'es bonne, t'as un petit cul tout comme je les aime, une vrai petite femelle. Comme j'ai compris que ça le rendait fou de désirs, je joue les effarouchés qui ne veulent pas, essaye avec ma main libre de l'éloigner pour qu'il arrête de se frotter.  tttt ma petite allumeuse, tu vas assumer maintenant, tu vas voir ce que c'est de se mettre à moitié à poil devant moi pour m'allumer. Mais je n'étais pas à moité à poil, je... ce n'est qu'un jean troué Ouais mais bien ouvert et aux endroits exprès pour... tu m'as montré ton cul exprès avoue Non ce n'est... Avoue que t'es une petite salope, avoue répète t'il tout en accentuant sa pression sur mon bras et en poussant plus fort son pubis contre mon cul.  Je... non...Je... Il attrape alors mon bras droit pour m'empêcher de le repousser. Je m'écroule complètement torse et visage contre la banquette. Hum, parfait, tu es parfaite comme ça, ta position de salope à la merci de tout ce qui passe, hein que t'aime ça petite pute Le nez dans la banquette, je ne réponds pas, seul qlqes gémissements sortent de ma bouche.  Hein que t'es une salope qui à envie de se faire baiser par tout ce qui passe, hein... insiste t'il en accentuant encore la pression. Mmouis Oui quoi !?  Oui, je suis une salope Une salope qui à envie que je la baise ! En appuyant encore un peu sur mon dos avec son bras qui emprisonne mes 2 poignets avec sa main.  Dis le, je veux t'entendre me le dire Oui, je veux que vous me baisiez bien... Tu veux que je te baise ma salope, je vais te baiser...ptite pute Il me lâcha alors les poignets. Je ne bougeai plus. Je sentis ses 2 mains s'agrippaient de chaque côté de mon pantalon, au niveau de mes hanches et tirent d'un coup sec. Mon jean mi cuisse, le cul en dehors de la voiture, jambes tendus, sans défense, ma chatte offerte à son bon vouloir, je dégoulinais de désirs, dorénavant. Sa main droite se posa sur ma raie, ses doigts sur mon petite trou.  Putain mais c'est pas que t'es mouillée, t'es inondé. Hum, une vraie petite chienne qui en demande, magnifique, je suis vraiment tombé sur une perle moi, bien fait de m'arrêter, on va bien s'amuser toi et moi. Là, sa main se retira et revins me claquer les fesses d'une petite fessée. Je n'avais jamais été fessée, je ne connaissais pas cette sensation, cela me fit un effet de folie. Je ne pus retenir un gémissement de plaisir intense.  Ah, t'aimes ça !Une 2ème claque un peu plus fort me fit lâcher un pti cri  hum ma petite putain C’était fou l'effet que ça me faisait, un truc de dingue, pour la 1ère fois de ma vie j'avais envie d'être prise. Mon anus en avait des spasmes, ce qui ne lui échappa pas. Regardez moi ça ! ta petit ...

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