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Un apéro isolé... partie 1

Publié par : martinebustee le 05/12/2025
** NEW **

Je suis une femme mariée, nous sommes libertins, mais il (mon mari) aime que je rencontre seule. cela l'excite et moi aussi évidement, lorsque je rencontre il sait toujours, enfin presque toujours.Bernard, (l'homme de cette histoire) est un homme libertin, la cinquantaine, costaud, épais. je l'ai déjà vu quelques fois, reçue chez lui ou en hôtel. Il sait que j'aime les moments forts où je ne sois plus trop ménagée ni respectée. En opposition complète avec ma vie professionnelle par exemple. Il n'est pas du genre très câlin, mais aime les rencontres progressives, il ne me saute pas dessus dès la porte refermée. Il aime les rapports soutenus, il est très cru et, très très porté sur les seins et sur l'anal.Je suis brune, je mesure 1m55 quelques rondeurs, je pèse 66kg j'ai une poitrine de 95E (plus ou moins suivant les marques), elle est très lourde et naturelle, je suis à demi épilée (lèvres et raie), je garde un triangle de poils au-dessus de ma vulve. Je déteste les épilations complètes.Lorsque l'on se voit, c'est sur des après-midis, assez longues, pas du genre vite fait mal fait. Les rencontres ont évolué. Bernard durant les rapports parle beaucoup, beaucoup de mots crus, projette beaucoup sur d autres moments, d'autres situations, plus longues, plus dures, plus hard, en pluralité… les "toi un jour je vais te partager avec des potes" sont devenus plus fréquents jusqu'à ce que cette projection de rencontre devienne une réalité, et que Bernard l'organise, la prévoie, la gère… Je suis invitée dans une maison, début d'après-midi, maison très isolée, sommes à la fin du printemps, il fait déjà très chaud. Bernard m'invite a un apéro avec 4 de ses amis/copains/complices. Il n'est pas du genre à imposer une tenue, à faire des trucs genre scénarios compliqués. Ça reste simple, mais je me rends à cet "apéro" et sachant vraiment bien que l'après-midi risque d'être longue. Mélange d'appréhension, de peurs aussi, mais en même temps d'excitation évidemment. Bernard m'a un peu prévenue, une mise en condition suggérée, disons : "Je vais te présenter à des amis, on va boire un verre avec eux, je leur ai déjà un peu parlé de toi. Ils sont très sympas, mais peuvent être assez rudes, rustres. Je leur ai dit que tu étais accessible et endurante."Je suis arrivée pour cet apéro. avec cette mise en condition énigmatique. Que leur a-t-il dit sur moi ? qu'a t il raconté ? Que savent ils ? Je me suis préparée à cette rencontre apéro et habillée, pas du tout le genre vulgaire. Jupe noire, chemisier noir, veste croisée gris foncé, dessous noirs (shorty et soutien gorge fin), bas dim up malgré la chaleur, sandales petits talons, cheveux ramassés, maquillage léger. Accessible, sans être dans la grosse exhibition, j'ai bien sur du mal à masquer mes formes et plus particulièrement mes seins. Je ne suis pas un mannequin, je n'ai plus 20ans, il faut être réaliste.Lorsque j'arrive dans cette maison, Bernard me fait entrer, je pose juste mon sac, les 4 hommes sont déjà là et sirotent leur verre, je perçois les premiers regards qui me balayent de haut en bas. Bernard me sert un verre, et me présente à ses amis, un par un, face à face, des hommes normaux, entre 45 et 55 ans. Allures et physiques normaux. Pas d'Apollon ni de laiderons, pas de gravure de mode, des physiques corrects et ça me va très bien comme ça. Échanges tout à fait banals, sujets sans importance, mais à chaque face à face, les regards sont plus précis, plus ciblés, moins retenus pour certains, cette sensation de gêne installée. Discuter avec un homme presque les yeux dans les yeux avec l'un, avec l'autre c'est plus les yeux dans les seins, il provoque la gêne et il le sait, il l'entretient, la maintient. On passe au suivant qui, lui, m'évalue du regard, scrute la marchandise du regard, sans que ça le gêne le moins du monde. De mon côté je suis rouge de honte, ça se voit, il fait chaud, je transpire, je sue, ça ne se voit pas, mais ça dégouline dans mon dos, je le sens, entre mes seins. C'est un joyeux mélange de honte , de gêne totale et d'excitation, je sens que je suis parcourue de frissons, je suis moite et comble de tout, je pointe, je le sens, malgré moi. J'ai encore ma veste. Bernard détecte et me dit tout simplement : "tu as trop chaud, ça se voit, pose ta veste, je t'en prie." C'est très cordial, prévenant, presque trop. Il m'aide à retirer ma veste, je suis en chemisier. Beaucoup plus difficile de masquer la grosseur de mes seins et le fait que je pointe énormément à travers, Je sens les yeux rivés sur moi. Le tissu me colle dans le dos.Les échanges de regards entre mecs, les rires plus gras, les messes basses entre eux que je n'entends pas encore, mais que je devine. Les discussions qui restent d'une banalité affligeante (c'est le jeu) mais les attitudes qui commencent à changer, tel mec qui se met devant moi, qui me parle de météo, de saisons, blabla, les yeux dans mes seins, et il se palpe ostensiblement au-dessus de son pantalon. Ou un autre qui me passe devant en laissant trainer son coude qui me frôle les tétons, genre "oh pardon!", qui repasse dans l'autre sens, recommence, plus appuyé le frôlement, "oh décidément, pardon!", ou encore cet autre qui me resserre un verre en collant son bas ventre contre ma hanche, se frottant même un peu. Un apéro progressif, une ambiance un peu lourde, de plus en plus lou ...

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