Quelques souvenirs de sorties chez Cécilia. Club privé pour travestis et pour ceux et celles qui les recherchent.C’était un club où on se sentait bien grâce à Cécilia travestie qui gérait sa boite avec sa femme.Un bar, une piste de danse, un podium, des canapés autour de la piste, des coins câlins et des habitués. On aurait souhaité plus de nouvelles têtes mais j’y ai passé de très bons moments.Arrivée en femme après m’être changée à l’hôtel, seule ou avec un ami amant m’accompagnant parfois. Fringuée sexy, jupette moulante, bas noirs talons hauts, souvent en blonde. La soirée commence au bar où l’on trône sur de hauts tabourets laissant voir le revers des bas, le haut de nos cuisses. Le regard des hommes nous convie à entrer en piste pour mieux apprécier notre allure, nos courbes, nos jambes sur talons tout en cherchant à deviner laquelle est la plus baisable. Là je devine déjà qui risque d’être mon amant d’un soir. Quand un slows arrive, on aimerais que l’un d’eux nous propose de danser. Quand cela arrive, la séduction joue son rôle et j’adore sentir les mains de mon cavalier me saisir virilement, en me collant à lui avant qu’elles ne s’égarent sous ma jupe, entre mes jarretelles. J’aime aussi quand il retrousse ma jupe laissant voir mes fesses aux clients du bar. Je me sens alors devenir une salope prête à tout ce qu’il me demandera quand il va me pousser sur un lit dans une alcôve (non fermée).Dans une alcôve il y a un matériel SM, carcan, croix, cheval d’arçon avec gode…lanières..etcGuy l’homme m’accompagnant et avec qui j’étais à l’hôtel voulait me faire baiser par un mec que nous ne connaissions pas. Pendant que je dansais seule, il a branché le gars, lui disant que j’étais un bon coup, que mes pipes étaient géniales.. etc. La condition pour m’avoir était qu’il allait me « préparer » à le recevoir ! Tout excité, l’autre était OK et Guy accompagné du type me font venir dans la pièce SM. Là Guy me colle la tête dans le carcan, les fesses en l’air, relève ma jupe et commence à me fister avec un gant souple après m’avoir huilé la chatte. J’ai senti un, deux, trois, quatre doigts (pas plus) s’enfonçant et ovalisant mon fondement. Agréable sensation d’être travaillée, ouverte pour recevoir facilement les plus grosses bites si elles se présentent. L’autre se branlait sans me toucher et Guy lui demande de fouetter mes fesses avec un martinet, ce qu’il faisait sans me ménager. Après quelques minutes on me libère du carcan et Guy me f ...

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