Je voyais Alberto dressé devant moi, son regard fixe, les yeux rivés sur ma bouche, aspirant son énorme gland avec quelques hauts de coeur ,mes mains essayant de ralentir son ardeur, maîtrisant sa fougue mais je sentais son impatience, il se retira, partit dans le fond de la grange pour revenir avec le petit pot qu'avait laissé Raimondo, je compris aussitôt, me levais, dégrafé mon bouton de culotte courte, le laissant tombé sur mes chevilles,entre-parenthèses Alberto m'interdisait de porter des slips et on comprend bien les raisons,donc je posais mes fesses nues sur la table et je m'allongeais sur le dos les jambes ballantes.Il posa le pot de graisse à côté de moi , je connaissais ce parfum qui est pour moi un aphrodisiaque, machinalement je levais mes jambes,il plongea ses doigts dans le saindoux et me barbouilla la raie des fesses ainsi que son gland et sans attendre plus longtemps, dans une vive douleur, il me pénétra sans ménagement, il s'enfonça au plus profond de moi avec un râle de mâle en rut et mes cris de souffrance , il me besogna longtemps et au fur et à mesure la douleur diminuait, ses grosses mains calleuses me serraient les hanches et imprimaient un rythme rapide et brutal, ma petite rosace était éclaté et mes sphincters complètement dilatés , il se retirait complètement et d'un coup de rein puissant me défonçait ma petite fleur et je crois qu'il prenait un malin plaisir à me pilonner de la sorte en entendant mes gémissements et aussi le fait de me posséder, je faisais partie de sa vie comme il m'a dit un jour tu es mon autre femme, je crois même qu'il devait m'aimer, certes, mais à sa façon .Je subissais toujours ses assauts mais avec un peu plus de plaisirs, je le sentais de plus en plus au fond de moi, ses testicules me flagellaient les fesses et son corps entier était voué à me baiser, il explosa en moi de plusieurs jets de sperme et s'affala sur mon ventre, il resta longtemps en moi et par moments quelques sursauts qui me procuraient une certaine jouissance même mon sexe prenait de la vigueur, Alberto se releva, prit mon petit sexe entre ses doigts et avec deux trois allers et retours, j'éjaculais sur mon ventre et sur sa main , qu'il étala sur mon visage et lécha par la suite .Il quitta la grange sans un mot et monta sur le tracteur, direction les champs, je le revis le soir à la soupe fourbu et l'air heureux de sa journée . Après une veillée courte , la chambre fût notre réconfort, je me lovais dans le fond du lit dans l'attente de caresses mais zizou n'avait pas le coeur au câlin , je restais sur ma frustration et je m'endormis . Au matin zizou préparait déjà mon départ de la ferme, il me restait encore une nuit à passer dans la ferme avant mon départ et je voyais bien que l'ambiance n'y était pas, le soir arriva vite, après mes adieux pénibles à Alberto car je partais très tôt le matin, je rentrai ...

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