--- Tous les week end, ma femme et moi, nous avions pris pour habitude de nous faire livrer à domicile une ou deux pizzas…--- Les livreurs étaient à chaque fois des gamins boutonneux d’une quinzaine d’années…--- Nous mîmes au point un scénario…--- Les bouteilles de blancs de Cassis et la crème du même nom de cette charmante ville balnéaire du sud étaient tombées et nous étions chauds à l’idée de ce qui allait se passer…--- Ma femme s’étaient entièrement dévêtue et ne portait qu’une nuisette transparente négligemment nouée à la ceinture laissant découvrir selon comment elle se déplaçait son pubis bien fourni à cette époque de l’année (en hiver)…--- Elle avait ajusté le haut d’une certain façon de manière à ce que ses seins lourds débordent parfois sous le tissu léger selon les mouvements de bras qu’elle ferait…--- La sonnette tinte…--- Comme convenu je monte à l’étage, on diras aux premières loges…--- Elle va ouvrir et je l’entends dire au jeune merdeux qu’elle est désolée d’être en tenue légère mais qu’elle ne s’attendait pas à ce que ce soit déjà lui, elle pensait que c’était son mari (moi) …--- Elle demande au gamin d’entrer et de poser la pizza sur la table basse le temps d’aller chercher l’argent dû…--- Du gamin, pas un mot ne sort ! Dès l’ouverture de la porte d’entrée je l’ai entendu bredouiller mais jamais exprimer sereinement une phrase, un mot…--- Par contre il était cramoisi et ne pouvait détacher son regard de ma femme, il faut dire qu’il la voyait complètement nue et je sais que ma quadragénaire (à l’époque) était bien roulée…--- Faisant mine de chercher de l’argent dans quelques tiroirs du salon, elle revient vers le jeune et lui dit avec son grand et beau sourire : »Mon garçon je suis désolée mon mari ne m’a pas laissé d’argent » et dans la foulée elle le prends par le cou et se met à lui rouler une méga pelle en se frottant bien contre lui, je rigolais sourdement en imaginant la bouffée de chaleur qu’il devait ressentir dans le bas de son ventre…--- Médusé, le minot en lâche son casque qui fait un bruit fracassant sur le marbre du sol,…--- Elle l’entraîne vers le canapé, le pousse assez brutalement pour qu’il s’asseye, se jette tout aussi brutalement sur le lui et continue de l’embrasser goulûment, à pleine bouche…--- Ensuite elle s’occupe de masser la bite du gamin à travers son pantalon, je comprends que ce petit con doit bander comme un cerf, elle dégrafe en moins de deux les boutons de la braguette, plonge sa tête dans le boxer du gamin, renifle sa queue et avale son gland non sans lâcher : « Prends l’habitude de bien t’essuyer la bite après avoir fait pipi, tu pue ! »…--- Le gamin est rouge de honte, il bredouille encore, jamais je ne l’ai entendu parler clairement, je suis confus pour lui de cette remarque désobligeante qu’elle a fait ; surtout qu’apparemment cela ne l’a pas gêné d’aller le sucer…--- J’ai bien fait de rester en peignoir ma bite est tendue, je me branle, j’ai envie de baiser ma pute mais je m’en tiens au plan convenu, j’en peux plus de voir ma femme (cette pute) avec ce livreur de pizzas…--- Je pensais qu’une bonne pipe la satisferait…--- Une bonne pipe mais sans avaler le sperme de ce trou du cul, c’était ce qu’on avaient convenus ! Que nenni ! J’étais loin de connaître les compétences et les fantasmes de ma femme…--- Arrivait bientôt le moment où je devais intervenir, le problème c’est que ma femme avait cassé le scénario mis au point, elle aurait du se contenter juste de faire une petite pipe à ce gamin, je vous rassure (il était aussi prévu de régler la pizza), je préférais pour le moment de continuer mon rôle de voyeur et de différer mon intervention… --- Maintenant après bien avoir sucer la langue du morveux, sa bite, la voila qui se recule et se baisse en même temps pour arracher littéralement le jean et le caleçon…--- Elle se recule en arrière contre la table basse et affale son gros cul (merveilleux que j’adore) sur la pizza dont le carton avait été ouvert…--- Se relevant d’avoir été assise sur la pizza, je vois qu’elle a le cul plein de sauce tomate, quelques olives noires et anchois éparses collées sur son cul…--- Ravi qu’elle reprenne conscience entre les mains de son bellâtre à ma grande satisfaction, elle se rassied de plus belle ! Oh ! Non ! les effets néfastes du blanc Cassis !!!--- Je constate que ce petit livreur est beaucoup moins gêné que depuis le début, il commence à poser une main hésitante mais ferme sur la nuque de ma femme afin qu’elle engloutisse mieux sa pine…--- Je dois reconnaître qu’il a une belle bite, elle est bien raide et lorsque ma femme se retire pour reprendre un peu d’oxygène, la bite de ce jeune étalon couvre son nombril, il doit dépasser les 16 cm et doit s’approcher de la vingtaine de centimètres…--- Elle écarte sa nuisette pour lui découvrir sa chatte bien poilue, s’approche de lui, monte sur le canapé et lui dit : « Lèche ma chatte, avale mon jus » ! Le gamin ne se fait pas prier, je vois sa tête disparaître sous la nuisette de ma femme et entends cette dernière glousser de plaisir, elle renverse sa tête en arrière et me fait un clin d’œil !--- Ah ! Tout de même, je pensais qu’elle m’avait oublié, avec les mains je fais signe en la questionnant : « Je descends ? »…--- Non, me fait elle en dodelinant sa chevelure blonde pour me dire pas encore…--- Je pense comprendre là où elle veux en venir et j’ai envie de lui dire : ‘Non, c’était pas prévu grosse pute, pas avec un gamin, arrête toi, STOP ! »--- La chatte bien sucée, elle s’abaisse doucement, enserrant la tête du jeune, lui roulant encore une pelle au passage et sans hésitation s’empale sur sa bite bien dressée,…--- Je me surprends a envier ma femme, j’aurais tellement aimé que la bite du jeune éphèbe m’empale…--- Le scénario est largement compromis, elle n’aurait pas du aller si loin et d’autant plus qu’elle n’a pas demandé au jeune de mettre un préservatif…--- J’ai en tête sa belle bite à l’intérieur de la chatte de ma femme, je suis surtout contrarié qu’il puisses jouir dans le vagin de ma femme, je décide d’intervenir…--- Je descend lourdement les escaliers, le jeune toujours à l’intérieur de ma femme, dans son ventre, détourne ...

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