L’an dernier, j’étais invité au mariage d’un neveu. Ma compagne m’a accompagné. Après la cérémonie, j’ai remarqué une petite brune magnifique, avec un visage de salope que j’ai tout de suite repéré. Sur ses escarpins, sa silhouette se dessinait, très sexy avec sa mini-jupe fendue et son profond décolleté.Son mari a commencé à boire des whiskys plus que de raison, la délaissant. Ils semblaient ne pas connaître grand monde et la demoiselle restait un peu en retrait. Aussi, profitant que ma moitié était en plein bavardages, je me suis rapproché de la miss et je lui ai glissé discrètement en passant à sa hauteur :« Si tu t’ennuies, suis-moi », tout en me dirigeant vers les toilettes de la salle des fêtes où se déroulait l’apéritif offert par la famille.J’avais lâché la phrase comme ça, sans réfléchir et surtout sans croire un instant ce qui allait se produire ensuite. Les toilettes étaient désertes. À peine avais-je franchi la porte que je sentis son odeur derrière moi. La coquine était en chaleur et, sans un mot, posa une main fiévreuse sur ma braguette en me malaxant les couilles. Je lui roulai instantanément une pelle en glissant un doigt dans l’échancrure de son corsage. Elle soupira lorsque je saisis son sein gauche, ferme, et que je l’embrassai, tandis que, de mon autre main, je glissai sous sa mini-jupe pour lui caresser les fesses, puis, à tâtons, écartai son string pour lui titiller l’anus.Elle interrompit notre baiser et dézippa mon pantalon, où elle se saisit de mon gourdin déjà dressé. En un rien de temps, elle s’accroupit et goba mon gland entre ses lèvres. La chaleur de sa bouche autour de ma tige décupla la grosseur et la dureté de ma queue. Je lui saisis la nuque et lui baisai l’orifice comme si c’était sa chatte. Elle bavait tout en grognant de plaisir et je ne pus me retenir, tant elle me prodiguait de plaisir. Ma semence jaillit avec tant de vigueur qu’elle en fut couverte sur le visage et le corsage, bien qu’elle e ...

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