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La petite Irlandaise de la rue de la Gaité

Publié par : lo75 le 03/10/2015

Un soir, au sortir d’un spectacle, j'étais allé prendre un verre à la terrasse d'un café, rue de la Gaité dans le 14° à Paris. On était en mai et il faisait bon à sur la terrasse, même à cette heure tardive. J'avais tout mon temps et j'observais les gens qui m'entouraient comme j'aime le faire souvent…Je restais là près d’une heure ou plus peut-être. J'allais partir quand je repère une femme plutôt jolie pour ce que j'en voyais, accoudée au bar et qui me paraissait bien éméchée, sans doute même un peu plus… Je vous l'ai déjà dit les femmes un peu "paf" m'excitent et éveillent en moi un vieil instinct de rut. Généralement de les observer, ne fusse que quelques minutes, me met très rapidement en forte érection. Cette jeune femme là déclencha chez moi les mêmes effets et je décidais de rester un peu plus à la regarder… La femme était en compagnie d'un homme encore plus ivre, affalé sur le bout du comptoir. Elle était assez fine et même classe. Son aspect extérieur tranchait avec son comportement d'ivrognesse. Elle paraissait propre sur elle, plutôt de bonne mise vestimentaire, enfin pas une pocharde, quoi… Ce décalage avait le pouvoir de m'exciter encore davantage. Et dans les soirées, mon attention se porte plutôt sur les femmes un peu grises, car je trouve que dans ces conditions là, elles sont de "meilleurs coups ". Elle était blonde, enfin plutôt blonde, les cheveux mi longs et soignés, et avait dans les 32 – 35 ans. En temps normal, il m’aurait plu de draguer cette jolie fille, si ce n'est que là, elle était plutôt saoule… Elle remarqua que je la regardais. Elle me fit un geste hésitant et peu construit, m’invitant à la rejoindre. J’allais vers elle d’un pas mesuré et sans précipitation. En m'approchant je vis qu'elle avait de beaux yeux bleus rendus brillants par l'alcool. Elle avait de jolis traits, fins et très féminins, un joli nez de femme sensuelle. Ses cheveux étaient assez défaits, une mèche qu'elle ne pouvait tenir en place, lui retombait constamment en travers du visage, trait caractéristique des personnes qui ont un peu trop bu… Elle m'adressa un sourire embué d'alcool et me tendit son verre vide. Je compris et demandais au garçon de lui remettre une tournée. Le corsage de sa robe assez légère était généreusement rebondi ; pas trop cependant, compte tenu de la corpulence plutôt mince la femme. Je remarquais que la naissance des seins présentait dans l’ouverture du corsage, des sortes de ruisseaux, pouvant ressembler à des veines. En y regardant de plus près, il était facile de voir que ces sortes de veines étaient faites par le breuvage qui avait dégouliné de sa bouche le long du cou et jusqu’à l’intérieur de son chemisier. Le barman posa devant elle un whisky et une chope de bière brune. Je compris avec quoi elle se saoulait. Je su aussi un peu plus tard que c'était une Irlandaise qui avait noyé la tristesse d'un soir dans un arrosage plutôt "sec". Elle m'expliqua dans un français assez approximatif qu'elle venait d'accompagner à la gare trois de ses meilleures copines, irlandaises comme elle, qui partaient faire un travail saisonnier dans l'extrême sud de la France… Elles avaient donc arrosé cela copieusement. Elle me dit avec toutes les difficultés de prononciation que l'on devine, qu'elle en était à son 9ème, ou peut-être 10ème, whisky – bière, elle ne savait plus au juste. Elle ajouta en me montrant le type endormi au coin du bar une fesse sur le tabouret et la tête sur son bras sur le comptoir, qu'elle en avait déjà épuisé un, mais qu'à son avis, il avait de l'avance quand elle était arrivée… Elle voulu s'asseoir sur le tabouret, je dû l'aider car elle n'arrivait pas à se soulever seule assez haut pour monter ses fesses sur le siège. Au moment où elle s'installait sur son perchoir et alors que je la retenais pour l'empêcher de chavirer en arrière, elle releva sa robe et son jupon trop haut et elle me donna à voir de très jolies jambes, fines, bronzées et des cuisses très féminines… Cette perspective juste entrevue me fit bander de plus belle. Elle avala d'un trait la moitié du whisky et d'un trait suivant, en trois 3 gorgées, la moitié du demi de bière. Elle avait une sacrée descente !! Elle me dit alors que j'étais un gentleman de lui offrir un coup à boire que j'étais plutôt mignon et qu'elle aimait bien les français. C'était, à l’en croire de bons baiseurs au lit… Et par association d'idées sans doute, elle enchaîna en me disant qu'elle finirait bien la nuit avec moi, car j'étais un gentil garçon et que je lui plaisais bien. De plus elle ne savait plus trop où aller maintenant, incapable de retrouver son chemin... Pour me décider peut-être, tout en me demandant si elle me plaisait à moi, elle écarta les jambes et me montra ses cuisses et même jusqu'à son petit slip rose…Je bandais comme un fou ! Puis brusquement elle a rabattu sa robe entre cuisses, cachant à ma vue ses délicieux appâts… Prenant son geste pour un recul de sa proposition, je lui dis que je pouvais lui appeler un taxi et même de donner son adresse au chauffeur pour être plus sûr… Elle se mit à rire et me dit que ce n’était pas cela qu’elle voulait. Elle insista en se penchant vers moi au point de tomber si je ne l’avais pas retenue, que c’était avec moi qu’elle voulait dormir. Je lui dis qu'il n'y a rien de plus facile : mon hôtel est à cinquante mètres, dans la rue Jolivet juste en face le Square G. Baty. Sans avoir évidemment compris tout ce que je lui ai dit, elle acquiesce et vide son whisky "cul sec" et avale le reste de sa bière en longues lampées. Le liquide déborde de la chope et coule en longs filets sur ses joues, roule sur son cou et disparaissent dans le corsage… Puis elle saute du tabouret en prenant appui sur mon bras… Elle titube… Je la prends fermement par le bras et la soutiens jusqu'à l'hôtel heureusement tout près. Heureusement encore, il y a un ascenseur. Sans doute sous l'effet du mouvement ascensionnel, elle est prise d'un violent hoquet et je crains un moment qu'elle ne vomisse dans l'ascenseur. Fort heureusement les choses se dissipent avec quelques rôts, ce qui a pour effet de la mettre en joie et elle part d'un grand fou rire. Nous arrivons au 4ème et je la fais entrer dans la chambre… Elle la trouve parfaitement à son goût. Je la prends dans mes bras et l'embrasse. Elle sent fortement la bière et l'alcool, mais je suis très excité, et dans la circonstance, cela ne me dérange pas… Elle s'affale sur le lit et je l'y rejoins pour la caresser sur et sous ses vêtements. Malgré son ivresse, elle apprécie les caresses et se pâme à demi… Elle ouvre les cuisses et je lui remonte sa robe aussi haut que possible. Je lui passe la main sur les cuisses et sur le slip. Je sens que l'entrejambes est mouillé. Je suis étonné car ne pense pas un instant qu'elle jouisse déjà ou qu'elle ait déjà joui... Je remonte ma main et je sens mes doigts : la cochonne a dû uriner à un moment sans doute dans le fou rire de l'ascenseur… Je repasse ma main dans le slip… Il est bizarre : très ajusté sur le fond, devant et derrière, il est flottant sur les côtés, un peu comme une culotte flottante de soie…En tout cas c'est extra pour passer la main par les bords et les côtés… Ma main rencontre une pilosité soyeuse et mes doigts s'insinuent dans la fente que je trouve large, profonde et surtout avec des grandes lèvres très développées et très fortes. La chatte à l'air épaisse et sensuelle. Je bande de façon très affirmée. J'ai envie de la sucer et de la caresser nue. Je lui retire sa robe en la faisant asseoir sur le bord du lit, elle est complètement dans les vaps… Elle apparaît jolie en soutien gorge et en slip jupon. Le soutien gorge est maculé de traînées de bière encore humide. De savoir qu'elle s'est souillée ainsi en buvant m'excite terriblement. Je lui enlève son soutien gorge, de très beaux seins biens développés, pommés et bien fermes se montrent alors complètement. Les aréoles sont très développées et claires, les pointes dressées et bien fines… Je les langotte un bref instants, elle gémit doucement, montrant ainsi qu'elle sent très bien ce que je lui fais… Elle fait un bon 95 et a de très jolis seins. Je vais pour lui, retirer le jupon, mais oh !, surprise ! : celui-ci est "attaché" au slip. En fait, c'est un slip très spécial que je n'avais jamais vu avant – et que je n'ai pas revu depuis : au niveau de la taille le slip retombe en "jupon" jusqu'au niveau des fesses un peu en dessous, au niveau de l'entrejambes à peu près, et fait un faux jupon, attenant à lui. J'écarte un peu le bord du slip rose pâle presque blanc et j'aperçois le pubis poilu mais pas trop fourni… J'écarte un peu plus bas et je vois la jolie chatte qui est endormie sous les replis des grandes lèvres. Je lui enlève la culotte jupon et son sexe m'apparaît avec une toison rousse, fauve même, très soyeuse et pas trop épaisse. Ma première sensation avait été bonne : elle a une chatte avec de très grosses lèvres qui enveloppent et dissimulent tout le reste à la vue. La cha ...

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