Hier, j'avis 3 heures à tuer, je décide d'aller au Cassandre passer un moment dans son espace libertin. J'y vais souvent, parfois je m'y travesti, mais pas toujours.J'arrive en haut, quelques hommes, je ne vois pas de travesti. j’avais très envie de sucer une travestie. 10 minutes après, il y en a une qui arrive. Magnifique. Vraiment bien habillée très sexy, avec une petite jupe en cuir. je la salue et la laisse déposer tranquillement ses affaires dans un casier. Elle me fait un magnifique sourire. Je ne crois pas l'avoir déjà vue.Puis elle se dirige vers les salons. Je la suis. Elle s'installe dans une grande cabine vitrée. Je l'aborde. Elle s'appelle Audrey. Je lui demande si je peux la sucer. Elle s'installe sur le matelas, relève sa jupe et là j'aperçois, dépassant de sa culotte, un sexe énorme. Elle ne bande pas encore tout à fait, mais il est déjà bien gros. J'en ai envie immédiatement.Je m'agenouille alors et commence à caresser et lécher cette superbe queue, Audrey se tortille pour se mettre à l'aise. Puis je la prends dans ma bouche. Sa peau et son gland sont doux et soyeux, elle sent bon, et commence à durcir rapidement. Elle s’excite vite et bouge de plus en plus jusqu’à ce qu’elle me demande d’arrêter car elle ne veut pas jouir tout de suite, à son arrivée.Je suis frustré, je rêvais d’une bonne giclée dans ma bouche… Mais tout cela m’a grave excité, il faut que je fasse quelque chose. Je retourne donc voir le taulier pour lui demander une clé de casier, et une fois ce dernier ouvert, je me dessape complètement. Je vais m’offrir nu à qui veut de moi. Je fixe la clé du casier à ma montre car je n’ai rien d’autre sur moi. Je pars alors voir les hommes qui circulent en tâchant d’être le plus souriant possible.J’arrive ainsi vers les cabines de la partie basse, en bas du magnifique escalier, et j’en trouve une libre. Je suis tellement excité que je décide de ma mettre sur la banquette à quatre pattes, le cul tendu et bien cambré. Ca ne tarde pas, un monsieur plutôt agé entre dans la cabine et ferme la porte derrière lui. Je me cambre encore plus pour lui montrer mon envie, mais cela semble l’impressionner. Je crois qu’il n’a jamais vu de salope aussi chaude que moi. Je me lève alors pour le rassurer, au bout de quelques ...

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