Quelques jours après, je retourne chez ma maîtresse trans. Elle me dit qu’elle a beaucoup apprécié nos précédentes « séances ».« Je vais pouvoir te mettre à disposition de mes amis à présent » sourit-elle.Je lui objecte que je veux bien jouer mais tant que ça reste un jeu. Je ne suis pas un objet non plus.« Ne te fâche pas. Bien sûr que c’est un jeu. Fais-moi confiance »Elle me fait enfiler un haut en wetlook avec deux trous pour accéder à mes tétons, un jockstrap et l’éternel collier de chien. Des vêtements décents par-dessus et nous voilà partis.peu de temps après, nous arrivons dans un bel immeuble, prenons l’ascenseur et sonnons.C’est l’homme que j’avais déjà vu chez elle qui nous ouvre, dans une tenue très casual.« Tu vas jouer avec ma femme, mais d’abord enfile ça » me dit-il en me tendant une cagoule en cuir. Je l’enfile et ma maîtresse l’ajuste. Elle me prévient que la femme a des goûts particuliers ; je suis un fantasme pas un visage.Nous rentrons dans une pièce aux murs rouge sang, un grand miroir et au lit noir. Quelques anneaux, quelques sex toys ; l’utilisation de cette pièce ne fait aucun doute.La femme apparaît, vêtue de vinyle rouge : un top fermé au cou par deux gros boutons pressions, des cuissardes et une culotte ouverte. La quarantaine bien conservée, brune et un petit sourire mi-ironique mi-excité.Ma maîtresse me fait mettre à genoux et me présente son sexe. Je le suce pendant que ma maîtresse embrasse la femme et la caresse doucement.La femme se met derrière moi et me fait lever les fesses, me les caresse, me les doigte. Puis elle s’écarte et nous regarde de plus en excitée ; elle commence à se masturber doucement.Puis ma maîtresse me fait allonger, vient au-dessus de moi et nous commençons un 69.La femme commence à commenter, nous traite tous les deux de belles salopes.Ma maîtresse me doigte à nouveau puis doucement m’insère un plug dans le cul. Elle arrête un instant de sucer pour me susurrer qu’il m’est interdit de jouir.Encore quelques minutes et elle se dégage. Elle m’attrape par l’anneau du collier et me guide vers la femme. Elle s’est allongée, jambes écartées, les yeux brillants ; elle se lèche les lèvres.Le message est on ne peut plus clair et je commence un long cunnilingus. Elle gémit, pose son talon sur ma nuque et se caresse les seins. Ma maîtresse me caresse les fesses, puis les frappe sans trop de violence.La femme me demande de bouger, quasiment en 69. Pendant que je continue à l ...

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