Je m’appelle t Marie, cinquante ans, un corps moelleux qui déborde de partout, et Paul, mon gros nounours, avec sa bedaine qui tremble quand il rit. Lucas est venu samedi, comme promis. Il a sonné à 20 h pile, en jean slim et sewat un peu large, les mains déjà moites. « Entre, mon jouet. »Je l’ai pris par la ceinture, je l’ai tiré dans le salon. Paul était vautré dans le fauteuil, une bière à la main, torse nu, le ventre luisant de sueur. Première règle : on l’a fait se déshabiller debout, au milieu de la pièce. Il a obéi, lentement. Sa queue pendouillait, rose, un peu gonflée déjà – pas raide, non, juste un peu plus lourde, comme une saucisse tiède qui se réveille. J’ai pincé le bout entre deux doigts.« Regarde, Paul, il bande… à moitié. C’est mignon. » On l’a attaché.Pas de menottes clinquantes : deux ceintures en cuir de Paul, une autour des poignets derrière le dos, l’autre autour des chevilles, juste assez serrée pour qu’il marche en canard. Je l’ai poussé vers la cuisine. Service n°1 : le repas.J’ai sorti le plat de lasagnes brûlantes. Paul a posé l’assiette par terre.« À quatre pattes. Tu manges sans les mains. »Lucas s’est baissé. Son cul maigre en l’air, sa queue mollette qui frôlait le carrelage froid. On l’a regardé bouffer, la sauce tomate sur le menton. Chaque fois qu’il relevait la tête, je lui écrasais la nuque du pied.« Plus bas, mon chien. »Paul, derrière, lui a écarté les fesses. Il a craché direct sur le trou, un gros mollard épais. Deux doigts dedans, sans vaseline. Lucas a gémi dans les lasagnes. Service n°2 : la douche.On l’a traîné dans la salle de bain. J’ai ouvert l’eau tiède.« Tu restes dessous jusqu’à ce qu’on dise stop. »Paul lui a savonné le dos avec le gros savon de Marseille, en frottant fort, surtout entre les fesses. Moi, j’ai pris la brosse à chiottes – propre, hein – et je lui ai frotté les couilles. Il dansait sur place, sa queue qui se ratatinait sous le froid, puis regonflait quand je serrais.« Tiens, il bande un peu plus, Paul. Regarde la veine qui sort. » Service n°3 : le fauteuil.Paul s’est assis, jambes écartées. J’ai poussé Lucas à genoux entre.« Suce mon mari. Pas les dents, juste la langue. »Lucas a ouvert la bouche. La queue de Paul, épaisse, poilue, a glissé dedans. J’ai attrapé la nuque du garçon, j’ai enfoncé jusqu’à ce qu’il bave. Paul grognait, ses mains dans les cheveux de Lucas. Moi, je me suis mise derrière le garçon, j’ai glissé ma main sous son ventre. Sa queue était tiède, un peu plus ferme, le gland sorti du prépuce. Je l’ai branlé lentement, en rythme avec les va-et-vient dans sa gorge.« Tu jouis pas, hein ? Tu gardes tout. » Service n°4 : la table.On l’a allongé sur la table de la salle à manger, bras et jambes attachés aux pieds. J’ai sorti le pot de miel.Paul a versé, lentement, sur le torse de Lucas, sur son ventre, sur sa queue qui pendouillait maintenant à moitié dure. J’ai léché. D’abord les tétons, ensuite le nombril, enfin la bite. J’ai tout aspiré, collant ...

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