Un matin, au réveil, j’ai eu l’idée de tenter l’aventure d’une rencontre par l’intermédiaire d’un site en ligne.Je voulais tenter une nouvelle aventure.Après maintes démarches indispensables pour accéder au site, je me suis mis en quête d’une partenaire.Très peu de femmes en ligne, mais peut-être n’ai-je pas choisi le bon site… Qu’importe, faute de trouver une partenaire j’ai recherché des couples car le sexe au masculin ne me gêne pas non plus. Je dois même dire que j’apprécie.Après quelque temps, je suis rentré en relation avec un couple au demeurant charmant et ouvert à la discussion. Nos échanges m’ayant fait bonne impression, je décidai de les rencontrer. Nous avions décidé de faire connaissance autour d’un dîner pour apprendre à nous connaître et, pour ce faire, nous avions pris rendez-vous pour le samedi soir suivant.Arrivé au restaurant, je constatai que leurs descriptions étaient conformes à la réalité. Madame était très élégante tout en restant sobre dans sa tenue vestimentaire. Elle portait une robe moulante fendue sur le côté laissant apparaître la naissance de sa cuisse. Des chaussures noires à talons hauts soulignaient le galbe de ses mollets et la finesse de ses chevilles. Sa tenue ne cachait rien de sa magnifique plastique. Des courbes qui pouvaient rendre toutes les statues antiques jalouses. Des seins hauts placés que je supposais fermes car elle ne portait pas de soutien-gorge, et l’on devinait ses mamelons qui tendaient le tissu de manière arrogante. Une taille marquée, ni trop fine ni trop enveloppée, faisait ressortir le galbe de ses hanches et la rondeur de ses fesses voluptueuses.Monsieur portait un blazer kaki à col montant sur une chemise rayée bleue, un pantalon beige clair et une paire de mocassins en daim. De taille moyenne tous les deux, ils formaient un très joli couple et il n’y avait rien d’étonnant à ce que l’on se retourne sur leur passage.Nous nous installâmes à table et nous échangeâmes comme de vieux amis qui se connaissent depuis très longtemps. Puis vint le moment des confidences et ils m’informèrent de leurs désirs. Monsieur était adepte du candaulisme mais ne rechignait pas à participer, tout en me précisant qu’il était également bi et qu’il appréciait aussi les rapports au masculin. J’en conclus que je devrais, pour eux, être leur jouet.J’avoue que je sentis un frisson me courir le long de la colonne vertébrale, signe annonciateur de plaisir.Après le repas, je fus invité à les suivre dans leur appartement. Robert, c’était le nom de Monsieur, alla dans la cuisine et revint avec un plateau surmonté de trois flûtes et d’une bouteille de champagne couchée dans un seau à glace.Pierrette annonça qu’elle allait prendre une douche et nous laissa en tête à tête. Robert me précisa que je devais agir avec sa femme comme s’il n’était pas là et, en attendant son retour, nous avons parlé de choses et d’autres comme de vieux amis.Pierrette fit son retour et je restai sans voix. Elle était nue sous un déshabillé de dentelles transparentes. Une beauté à damner un saint !À mon tour je demandai à aller faire mes ablutions. Ils m’indiquèrent la salle de bain avec un sourire complice.Je me suis déshabillé et au moment d’entrer sous l’eau de la douche, la porte s’est ouverte et Pierrette était devant moi, nue. Elle me prit gentiment la main et m’attira sous la douche. Ses yeux pétillaient de malice et elle commença à me laver. Face à moi, quand elle savonna mes épaules, je n’ai pas résisté et je l’embrassai. Ses lèvres étaient douces et pulpeuses et sa langue agile répondait à mon baiser. Ma verge se raidit et mon érection ne pouvait pas prêter à confusion. Elle me gratifia d’une fellation que j’ai dû écourter, ne voulant pas jouir trop vite. Je savonnais également Pierrette en prenant le temps de passer délicatement mes doigts entre ses cuisses ainsi que le long de ses fesses, sans oublier de m’immiscer dans cette jolie raie qui séparait ses fesses rebondies.Arrêtant ce jeu, nous nous séchâmes et elle m’emmena dans sa chambre. Le champagne était sur la table de nuit ainsi que les flûtes, mais Robert n’était pas présent.Pierrette s’allongea sur le dos et me fit signe de la rejoindre. Je m’allongeai à mon tour et la caressai avec douceur. Elle avait une peau de pêche douce et veloutée à la fois. J’explorai son corps pour y découvrir ses points sensibles. Sa poitrine appelait ma bouche, j’embrassai ses seins que j’avais devinés fermes et ma langue titilla ses mamelons. Un léger soupir me fit comprendre qu’elle appréciait. Après avoir fait plusieurs fois le tour de ses aréoles avec ma langue, je saisis le téton ent ...

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