Ce jour-là, me vient l'envie d'une séance détente aux thermes, histoires de me changer les idées.En arrivant, je me rends compte qu'il y a peu de monde, super ! C'est plus calme quand on est peu.Hop, cabine, vestiaire, maillot de bain et plouf. Un tout dans l'anneau puis je me rends aux bains à bulles. Seul un couple l'occupe, j'en profite je m'installe tranquille. Je savoure ce plaisir les yeux fermés, massage agréable, j'aime. Un couple entre et s'installe, puis un autre, on commence à être plus serré. Deux mecs arrivent encore. Cette fois, je leur fais de la place et me serre contre le couple précédent, surtout contre le mari, qui me regarde avec un sourire. Deux minutes plus tard, son genou se colle contre ma cuisse. Volontaire ou pas, je préfère ne pas bouger. Des petits coups de genou me font penser qu'il m'envoie un message. Devant mon absence de réaction, il s'aventure plus loin. Sa main se pose sur ma cuisse, je commence à être excité. Sa femme est à côté et il essaye de me caresser, hummm. Je commence à bander, je sors ma queue sur le côté où il a la main et je la caresse, lentement. Sa main remonte sur ma cuisse, il effleure ma bite. Je vois son air surpris, ses yeux croisent les mens, on se sourit. Il la saisit et commence à me masturber, c'est bon, hummm. Sa femme affiche un air un peu égal au mien, bizarre. Soudain, les bulles stoppent, je me rends compte qu'il est en train de tripoter sa femme de l'autre côté. Sait-elle qu'il a les deux mains occupées ? Il attend que ça reparte pour continuer. Aussitôt, il reprend sa branle. Puis sa femme lui fait signe de partir, il semble abandonner ma queue avec regret et me fait un clin d'oeil en partant. Je reste sur ma faim. Mais j'ai une idée. Je sors aussi après trois minutes et me dirige vers les douches communes. Il est là, en train de se rincer. Je prends la douche voisine, l'air de rien. Son gel douche est posé à ses pieds, il se savonne. "Si tu en veux, sers toi" dit-il en me montrant le bidon. Je me baisse pour le ramasser et en levant la tête, je me retrouve avec sa queue raide juste devant le visage. Il pose sa main sur ma nuque et je comprends tout de suite sa manoeuvre. Sa queue est longue et fine avec un joli gland bien dessiné. Je le prends en bouche, le titille de la langue, caresse son prépuce, ma langue explore ses contours. Ses mains enserrent ma tête et appuient. Je descends le long de sa hampe, je gobe ses couilles une à une et les mordillent, il gémit. Ma main caresse son périnée, puis remonte son sillon fessier, mon doigt masse sa rondelle, je lui enfonce une phalange, puis deux puis le doigt complet. Il a l'air d'apprécier la caresse le salaud. J'enfourne son dard et commence un va-et-vient en serrant bien les lèvres, il grogne. Je suis toujours à genoux mais je sens deux mains soulever mes hanches. Je lâche sa bite pour voir. Je reconnais le petit ventru du spa. L'autre me recolle sa que entre les lèvres, si bien que je suis maintenant penché en avant. Derrière, le ptit gros se frotte, sa queue monte et descend le long de ma raie. Ils décident d'inverser les rôles. Je découvre une bite courte mais très épaisse. Je la gobe et il s'enfonce jusqu'à la garde. J'aime les grosses queues pas trop longues dans ma bouche. Je le pompe fort, il accompagne par des coups de reins, il me baise la bouche, j'adore. L'autre a décidé de me pénétrer. Il appuie son gland su ma rondelle de plus en plus fort en se cramponnant à mes hanches. Son gros gland force mon anus et s'introduit enfin. Je pousse un cri étouffé par l'autre grosse queue. Il s'arrête et fait une pause : sympa, mes sphincters ont ainsi le temps de s'habituer à son engin. Après cette interruption, il reprend sa progression et s'enfonce sans vergogne et d'un seul coup jusqu'au fond de mon cul. Heureusement car, s'il avait pu, il y rentrait les couilles avec, tellement il y est allé fort, le salaud. Il entreprend alors de me défoncer à grand coups de bites, il entre et sort violemment de mon cul. Du coup, la grosse bite dans ma bouche parvient au fond aussi, l'autre pousse des râles de cerf en rut. Je vois près de moi deux autres bites dressées que je prends en main. Je suis en train de devenir le vide-couilles des vestiaires. Il y a même d'autres mecs mais je ne vois pas bien. Je sens soudain des ongles s'enfoncer dans mes hanches et des jets chauds envahir mes enrailles, l'autre pousse des cris aigus en déchargeant son foutre en moi. Aussit ...

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