Mon chéri et moi étions allongés nus sur une plage naturiste. Il a commencé à me caresser les seins, les cuisses, puis il est remonté vers mon entrejambe. J’étais très gênée, je me tortillais et je surveillais notre entourage. Mais les premières personnes devaient se trouver à au moins 500 mètres de chaque côté. Ils ne pouvaient pas vraiment nous distinguer, Ça m’a un peu détendue. Michel en a profité pour glisser deux doigts dans ma chatte, je mouillais bien. Il s’est mis à me masturber, c’était bon. Après un moment, il m’a demandé de le sucer. Je n’osais pas trop, j’avais peur qu’on nous surprenne. J’ai tout d’abord siffloté un air improvisé en zyeutant autour de nous…Personne. Je l’ai introduit dans ma bouche pendant qu’il poussait un long soupir de contentement. Je l’ai léché et branlé en m’appliquant à fond pour son plaisir.J’étais toute à mon affaire lorsque, soudain, en levant les yeux, j’ai aperçu un homme. Debout dans la dune, il se masturbait en nous matant. Mon amoureux m’a rassuré : « Ce n’est pas grave, continue. Lui aussi, tu lui fais du bien. » Alors j’ai continué, et le mec s’est approché pour mieux nous voir, tout en reprenant sa branlette. Mon mari, trop excité par la situation, est vite monté et a éjaculé sur mon ventre (car je n’avais pas encore pour habitude d’avaler son sperme). L’autre type s’est encore approché pour avoir droit à la même chose, mais j’ai refusé. Il n’a pas insisté et il est parti.Après cette expérience de la plage, Michel m’a interrogée sur mes désirs, est-ce que je voulais aller plus loin ? Nous avons justement fait la connaissance d’Alex, un garçon sympa. Au cours d’une autre séance câline sur le sable, il m’a caressée tout en se donnant du plaisir, pendant que mon homme et moi faisions l’amour. Nous avons ensuite échangé quelques mots, et il est simplement parti en disant à bientôt. Le soir même, mon petit chéri m’a demandé si j’avais envie qu’Alex me baise. J’étais extrêmement surprise parce qu’il m’avait habituée à une grande jalousie. Je lui ai rétorqué : « T’es fou, n’importe quoi ! » Mais je sentais intérieurement que ça m’excitait beaucoup. Au bout d’une heure, je suis donc revenue sur mes paroles et je me suis permis un petit : « Pourquoi pas, après tout ? » Ça l’a bien chauffé ...

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