En 2002, je m’étais inscrit sur le site de rencontres de TF1. Je ne suis plus un bringueur, ni n’aime aller dans les bars pour draguer, les sites de rencontres me conviennent.En mai, je reçus un message d’une femme, pseudonyme Sagapo. Il fallait appeler un numéro surtaxé pour avoir accès au message ; après quelques jours de réflexion -je me méfiais déjà des faux profils- je décidai de franchir le pas et appelai ce numéro, puis accédai au message.Je ne me rappelle plus son vrai prénom, elle se présentait comme une femme mariée qui de temps en temps s’offrait une petite fantaisie. Elle m’avait envoyé une photo, un joli visage souriant, des rondeurs agréables. J’entamai la conversation en me présentant, homme marié en quête d’escapade, sensuel et rieur.Elle me répondit le lendemain : ce serait du one-shot, elle ne cherchait pas de liaison continue, trop dangereuse à son goût. Elle aimait son mari, ses enfants, sa vie, et ne souhaitait pas la chambouler, juste la pimenter. Ca me convenait, j’étais dans la même recherche. Après quelques échanges épistolaires, nous échangeâmes nos numéros.C’est elle qui franchit le pas, elle m’appela alors que j’étais au boulot. Je sortis du bureau partagé pour discuter.Elle avait une voix très agréable, un accent chantant bien de chez nous. J’attache une grande importance à la voix, je trouve qu’elle reflète une partie de la personnalité et la sienne me semblait hédoniste. Notre petit manège téléphonique dura quelques jours, avec des conversations de plus en plus chaudes. On cherchait désespérément une date qui nous convint à tous deux pour s’offrir un moment de détente. Finalement, un mardi de juin semblait être parfait. Rendez-vous pris dans un resto en bord de mer à la Ciotat, on déjeunerait ensemble et plus si affinités.Jour dit, je suis légèrement en avance et je l’attends en terrasse d’un petit resto en bord de mer. Elle m’a dit avoir une Alfa Roméo Mito rouge, un peu voyante selon elle, je la vois se garer. Elle sort de sa voiture, joliment habillée : jupe et veste grises, chemisier blanc. Elle ferme sa voiture et se dirige vers moi, tout sourire, haletante sans doute d’excitation. Elle me claque deux bises appuyées, me regarde avec une moue qui sent le cul et le sexe à plein nez, j’ai l’impression très nette qu’elle va me croquer tout cru. Je pense qu’elle est en feu, ses joues sont rouges de désir.On prend un apéritif et on commande. On fait mieux connaissance, le regard perdu sur la Méditerranée ensoleillée. Elle est d’origine grecque d’où son pseudo. On plaisante, on se chauffe, on se caresse sous la table. Elle a des cuisses fermes et sportives, une forte poitrine, quelques kilos en trop comme moi. Elle me dévore littéralement du regard, minaudant et me rentrant dedans comme j’ai rarement eu l’occasion de le vivre.14h, repas fini, je lui propose de faire un tour en voiture dans un endroit plus calme. Elle accepte de monter avec moi, elle a peur qu’une connaissance la voie dans sa voiture voyante. Et nous voilà parti. Tout en conduisant, je caresse ses cuisses et ses seins le long de la corniche ciotadenne, elle sursaute chaque fois. J’avise une place à l’ombre des pins et me gare.Je me penche vers elle et l’embrasse à pleine bouche tout en la caressant de façon appuyée. Elle halète fortement et me dit : « tu me fais de l’effet ». Ma main glisse sous sa jupe, et effectivement son tanga est humide. Au bout de quelques minutes, je lui demande ce qu’elle veut. Elle me regarde intensément, tourne légèrement son regard par-dessus moi et donne un léger coup de tête. Je me retourne et vois un hôtel familial. Je jure devant Dieux que je ne l’avais pas vu avant de me garer !Je souris et ouvre ma portière. Elle aussi. Nous nous dirigeons vers l’hôtel. La réceptionniste nous accueille gentiment et nous dit que l’hôtel est complet pour la nuit. Devant notre air abattu, elle demande d’un air entendu : « peut-être que vous ne comptez pas rester la nuit ? -Oui dis-je. Nous ne resterons que l’après-midi.- Dans ce cas, je peux vous donner la chambre 6. »Embarqué c’est pesé, nous voilà partis vers la chambre 6 qui donne sur un jardin. Elle se serre contre moi quand j’entre la clef dans la serrure et me suis comme une chatte en chaleur. Faut dire que je suis moi-aussi en chaleur.On entre comme deux jeunes fous dans la chambre propre et agréable, je ferme la porte et l’embrasse fougueusement. Elle répond à mon baiser en frottant son pubis contre mon sexe dur. Elle embrasse bien, j’aime beaucoup. Je la déleste de sa veste et ouvre les boutons de son chemisier, libère ses seins. Ils tombent un peu mais ils ont de délicieuses aréoles rosées, je les lèche avec déle ...
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