Certains d’entre vous ont lu comment, envoyée à la rencontre d’un « client » pour la première fois, j’avais à Lyon fait la connaissance de Jacques, qui m’avait aidée à me sortir d’une situation périlleuse, tout en me procurant un intense plaisir. Il était dit que très vite, je retournerai vers lui.En ce glacial mois de décembre, il m’a donc donné rendez-vous. Chez lui, dans cet appartement du Vieux-Lyon où il avait, avec autorité attentionnée et douceur virile, pris possession de moi. Rendez-vous à 11 heures. Mais voilà : pour arriver tout habillée (c’est son désir), je dois partir de même, ce qui suppose de quitter mon domicile, en Savoie, avant le lever du jour (je ne peux pas me faire repérer, ma situation personnelle ne le permet pas).Me voilà donc au volant, sortant du garage à 7h30. Deux heures de route seulement me séparent de Lyon. Minijupe comme demandé, des bas un peu épais (il fait froid) mais noirs et légèrement brillants, chemisier ajusté sous une veste en cuir un peu molletonnée, longs cheveux roux, maquillage léger mais rouge à lèvres un peu glossy. A 9 heures, je m’arrête sur la dernière grande aire avant Lyon, histoire de passer le temps. J’hésite puis ne résiste pas au désir de café, je me rends au distributeur, je bois et j’en reviens, a priori sans avoir suscité de remarque désobligeante. Ouf !Tout compte fait et même à force de traîner, j’arrive au parking le plus proche de chez Jacques vers 10h40. Soit vingt minutes pour arriver, là où il en faut cinq. Tant pis, j’y vais, je flâne. A sa porte à l’heure dite, je sonne. Pas de réponse. J’appelle, rien. Je n’ose croire au lapin, fais un tour, reviens cinq minutes après. Pareil. Désespérée, je m’apprête à renoncer lorsqu’une main se pose sur mes fesses, l’autre actionne un ouvre-porte et me voilà poussée dans l’entrée de ce petit immeuble, puis vers le renfoncement à droite de l’escalier qui grimpe vers les étages et l’appartement de Jacques. IL fait sombre mais il n’allume pas et me guide dans un coin isolé, je sais que c’est lui.Il me pousse contre le mur et remonte déjà ma jupe lorsqu’il me glisse « ça fait un quart d’heure que je te suis dans la rue, tu n’imagines pas le nombre de mecs qui te matent ». Je n’y crois pas mais déjà ses doigts écartent la ficelle du string et titillent ma chatte anale, je perds aussitôt le contrôle et plus encore quand ce qui ne peut être que sa trique commence à se frayer un chemin entre mes fesses. Je voudrais dire ma peur d’être surprise dans ce lieu presque public mais ma gorge se serre autant que mon cul se dilate sous la poussée irrémédiable de Jacques. Les mains appuyées au mur, je gémis sous l’assaut. Ses mains accrochées à mes hanches, il me prend à fond.Le lieu n’est pas aux étreintes raffinées, mais aux plaisirs clandestins et rapides. L’ultime coup de queue de Jacques me cloue au mur et libère dans mes entrailles le flot de sperme dont il a le secret. Je reprends mon souffle lorsque je l’entends annoncer « tu as bien mérité l’apéro, on va le prendre au bistro au coin de la rue ». J’esquisse le désir de monter me laver avant, mais « Non, tu es très bien comme tu es ». Il m’entraîne dans la rue et rouge de honte, j’ai l’impression que tout le monde voit couler son foutre couler le long de mes bas. Arrivée au bar, je m’échappe aux toilettes et constate que la catastrophe n’était en effet pas bien loin… Je me nettoie autant que possible et le rejoins.Je ne parle guère (ne pas me trahir…), il le fait à ma place et souligne encore que s’il ne m’avait pas « récupérée », je me serais faite embarquer par un autre très vite. Je proteste et il me met au défi de déambuler seule une seconde fois. Au dessert, vaincue, j’accepte de parcourir quelques « traboules ». Ma punition pour avoir douté de sa certitude sera de ne pas pousser de hauts cris sir je me fais draguer.Jacques avait raison. Sortant seule du « bouchon », j’essuie déjà quelques sifflements et même une main aux fesses, sous ses yeux que je devine rieurs. Je tente de trouver une rue déserte pour échapper au pire, mais il n’y en a pas… J’entre dans une librairie, plutôt une bouquinerie où l’on trouve toutes sortes de livres, et là je sens que j’ai fait le mauvais choix… Je feuillette une BD de science-fiction pour me donner une contenance quand je me fais entreprendre par un client à qui je n’ose répondre. Il se fait pressant, me touche les hanches, voire les fesses, je cherche du secours auprès du libraire qui voit tout et se contente d’un sourire… « Va lui montrer le rayon là-bas derrière », lance-t-il à l’homme, qui m’entraîne de ce pas vers le fond du magasin. Il ne faut qu’une seconde pour comprendre que les BD, dans cette arrière-boutique, ça n’est pas « Martine à la ferme » ...
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