Ceci est une histoire partiellement vraie, les circonstances le sont, les détails sont pour une partie fantasmés.Il y a quelques années de ça, un jour d'été ou de fin de printemps, je rentrais du boulot un peu plus tôt que prévu, ma femme était allé voir ses parents dans le Sud, j'étais en voiture car j'avais prévu d'aller faire un tour sur des lieux de drague du coin voir si de belles rencontres et de bons moments se présentaient.En rejoignant ma voiture je pris vite confiance que le temps virait à l'orage et que le chaleur étouffante de ces derniers jours avait annoncé la couleur.Dans les minis embouteillages Niortais, je traversais le centre ville quand le déluge commença, de grosses gouttes, de plus en plus intenses, les essuies glace commencaient à s'agiter pour de vrai, les piétons commencait à hater le pas, mais dans ce secteur, peu d'abri ou de renfoncement pour se protéger, quand je la vis, dans son chemiser blanc, ses cheveux qui commencaient à dégouliner, son sac à main pendu au bout de son bras et son regard perdu voir inquiet, elle cherchait une issue à ce qui ressemblait de plus en plus à une exhibition involontaire.Un coup de klaxon, je descend la vitre passager et lui propose de monter, elle ne réfléchi pas et s'installe trempée dans le siège passager, en me remerciant mille fois en 20 secondes.Sacré déluge, vous êtes trempée, je peux vous déposer si vous voulez.Elle me remercie encore mais je la sens perdue, je suis venue à un entretien, je vais à la gare pour retourner à Poitiers, je ne peux pas prendre le train comme ça, je n'ai nul part ou aller ici, j'ai tellement honte, j'ai l'air de quoi ?C'est vrai qu'elle avait l'air vraiment trempée, ses mains masquaient comme elles le pouvaient sa poitrine, son chemisier laissait voir une belle paire de seins dans un soutif léger et superbe.Je me suis garé sur un petit parking, le déluge continuait de plus belle, je me suis retourné, et je lui ai tendu un pull que j'avais emmené au cas ou je trainais tard. Bon c'est pas du tout votre taille, c'est du XXL mais ca sera bien mieux que vos vétements trempés, après on vas voir que faire pour régler la situation.Elle me regarde interpellée, et me remercie encore 100x mais je suis trempée, comment faire.Je me retourne et attrape une serviette sur la banquette arrière, que j'ai toujours lors de mes escapade coquines, et lui la tends.Pour la mettre à l'aise je lui dit je ne regarde pas, enlevez vos vetements mouillés séchez vous au mieux en enfilez le pull, vous serez mieux, je mets du chauffage.Elle déboutonne le chemisier trempé, fait glisser les bretelles du soutif, s'essuie au mieux avec ma serviette et enfile mon pull immense pour elle, à vue de nez 1.60 maxi, fine. J'ai aperçu ses seins, une belle paire bien tenue à priori, de beaux tétons, mais j'ai dit que je ne regardais pas.Elle retrouve un peu de sa superbe, regarde son téléphone et me dis, en plus j'ai raté mon train, il faudrait que j'appelle mon mari, je lui dit ok pas de soucis.Un appel court, précis, "Allo, oui c'est moi, oui ça c'est bien passé mais j'ai pris un orage en sortant, je me suis abritée mais je suis trempée, en plus j'ai raté mon train, je vais acheter un haut et je prends celui qui arrive à 20h" et elle raccroche.Je regarde l'heure, à peine 17h00...On se regarde, elle me dit vous êtes mon sauveur et elle sourit. Je lui dit que c'est normal, mais que compte t'elle faire ? Elle me dit qu'elle ne peux pas garder mon pull, et qu'il lui faut un haut sec, si je peux l'emmener en acheter un ?Je regarde le soutif que j'ai installé sur les bouches de ventilation de la voiture et le chemisier trempé et lui dit le soutien gorge va sécher vite mais le chemisier il est vraiment trempé, et votre pantalon aussi visiblement.Elle me dit je peux aussi enlever le pantalon, et sur ce elle soulève les fesses et le fait descendre sur ses jambes, ses chaussures otées, et mon pull la couvre quasi jusqu'aux genoux. Je la regarde et lui fait remarquer qua ca va etre compliqué de faire du shop ...

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