Je vous invite à lire mon récit précédents avant car le lien est fort. (Recherchez par auteur)Laurène et moi n’avons pas parlé de cette après-midi surréaliste mais de mon côté l’image de Karine plongeant son visage dans le fessier de Laurène m’obsédait et elle, elle était en train de changer. Comme je l’avais pressenti sur l'instant, une digue avait cédé et ses pulsions de domination s'infiltraient doucement et insidieusement dans la partie consciente de son cerveau. Son attitude par rapport aux femmes était moins empathique parfois son elle semblait même saupoudrée d’autorité ! Dès lors qu’il y avait un mâle dans la partie, les joutes verbales tournaient parfois à l'aigre-doux. Avec moi elle installait également un rapport de domination, léger mais perceptible. En revanche si la situation faisait que le mâle en jeu c’était moi alors je reprenais du galon. J’en était arrivé à la conclusion qu’il y avait une hiérarchie claire dans sa tête, en bas les femmes, juste au-dessus les hommes non attrayants, Moi et elle bien sur au-dessus. A ce moment-là la position des mecs sexy était indéterminée…mais j’avais mon idée.Le premier nouveau craquage flagrant se produisit sous la douche…douche que nous prenions régulièrement ensemble de manière complice voire plus. Un jour elle a pissé sous la douche ! Certes en me tournant pratiquement le dos mais c’était quand même une vraie nouveauté pour une Dame comme Laurène ! Le jour suivant elle savait déjà où mettre ses doigts pour diriger l’effluve, ce qu’elle me fit remarquer d’ailleurs ! La suite fut logique, d’abord elle se tourna un peu moins…puis côte à côte puis légèrement de face, l’eau subtilement colorée se rapprochait graduellement de mes pieds. Lorsqu’elle attaqua les pieds, je sentis qu’elle était presque prête. Moi je l’étais en tous cas!Alors qu’elle était concentrée sur son œuvre afin de garder une zone de contact raisonnable permettant de plaider l’erreur si je réagissais mal, le regard bien vers le bas donc, j’ai pu l’observer à son insu, c’était éloquent ! Elle était rouge, le visage figé, les yeux exorbités, comme un ado qui voit son premier porno ! J’ai repensé à l’attitude de Karine cet après-midi-là, fabuleuse professeure, et c’est moi le soumis qui allait l’emmener vers son côté obscur.J’ai donc commencé par une petite flexion du genou juste de quoi aller au-delà de ce qu’elle pensait « raisonnable ». Son urine ruisselait maintenant bien à plat, lissée par l’eau de la douche sur ma cuisse imberbe ! C’était le moment clé, si elle ne s’arrêtait pas, comme quelques semaines auparavant, son excitation prendrait le dessus sur quarante ans de morale et de sagesse et son conscient admettrait que me pisser dessus était ce qu’elle voulait.Elle fit mieux que continuer, elle fléchit un peu les jambes poussa le bassin en avant pour rapprocher la source de la cible. Elle ne se contrôlait presque plus! J’étais moi aussi très excité, je me serai bien vidé sur cette image mais j’en voulais plus et je savais qu’elle ne reculerait plus ! Il fallait que je porte le coup de grâce à sa morale bourgeoise maintenant. Alors, dans le même mouvement j’ai arrêté l’eau et descendu mon visage à la hauteur de son sexe, assez lentement pour qu’elle puisse voir l’urine gicler sur mon torse mais surtout qu’elle est le temps de se faire à l’idée de là où cela allait finir. Elle se mit à trembler de tout son corps et le résultat social de 40 000 ans d’évolutions avait disparu quand les premières gouttes de pisse rentrèrent dans ma bouche ; elle n’était plus qu’une femelle marquant son mâle pour repousser la concurrence. Elle était en trans et moi guère mieux car sur le coup je ne réalisa même pas que je buvais de l’urine pour le première fois. En fait c’était ma vraie première expérience profonde de soumission ou plutôt de dévotion, je l’aimais vraiment et tout ce qui pouvait lui donner du plaisir surtout avec cette intensité démoniaque était bon. Dès que je senti la puissance du jet décliné j’ai rapproché ma bouche jusqu’à atteindre son clitoris et le sucer frénétiquement, l’urine giclait partout et me piquait les yeux mais c’était trop intense pour que je recule, j'allais la faire jouir à geno ...

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