Cela faisait très longtemps que je passais devant ce parking sans oser m’y arrêter. Souvent, j’y voyais des voitures… Puis ce soir de printemps, je pris le temps de me garer. Quelques voitures impeccables. Une envie soudaine m’a poussé à en descendre et à arpenter les allées du bois. Je m’enfonce alors dans la première allée. Quelques mecs me regardent avec envie… c’est bon.Après quelques minutes, je trouve un petit coin sympa avec un mec qui a la queue à la main et le pantalon baissé. Il est à mon goût. Athlétique mais pas trop, une belle queue pas trop poilue, bien entretenue, qui paraît propre. Je m’engage et propose mon aide à cet homme en détresse. Il pose ses mains sur ses hanches et me laisse besogner tranquillement.Je prends en main cet engin qui me paraît bien sec, après quelques va-et-vient de branlette réglementaire. Je l’humidifie donc avec ma salive pour reprendre de plus belle… Après quelques secondes, je le sens se contracter avec une respiration saccadée et cette queue se cabrer, lançant un, puis deux, trois, puis quatre jets puissants de fourrée qui vont tapisser les branches des buissons.Mon bel étalon s’excuse de ne pas avoir prévenu. Pas de soucis. Pour se « faire pardonner », il me propose de me rendre la pareille, ce que j’accepte avec grand plaisir. Il me baisse mon pantalon et, direct, me prend en bouche afin de me faire durcir ce qui n’est alors encore qu’une demi-molle. Cette sensation d’être pris en bouche me fait pousser de petits cris qui attirent quelques curieux, qui mettent leurs mains au fond des caleçons.Sentant mon jus remonter aux amygdales, je freine mon pompier et lui demande de me travailler la rondelle. Il s’active donc à me lécher l’arrière tandis que le devant se repose. Après quelques coups de langue saccadés, il s’appuie un peu plus vers le mille… c’est bon. À nouveau, quelques petits cris m’échappent, c’est trop bon.Il commence à rentrer sa langue en moi et c’est tout nou ...

... Log in to read the end of this erotic story | 100% free registration