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Panne de voiture le Jeudi 18 septembre 2025

Publié par : couplebi62400 le 19/09/2025
** NEW **

Comme vous le savez pour ceux qui suivent mes récits, qui je le rappelle sont tous authentiques, je suis directrice d’une agence immobilière dans la région de Béthune. Je suis sexy et surtout j’adore le sexe. Avec mon homme Louis nous sommes libertins et nous acceptons les écarts sexuels entre nous sous conditions de tout raconter à l’autre.Ce jeudi 18 septembre 2025, j’avais rendez-vous avec un client pour l’achat d’une ferme dans la campagne profonde du Béthunois. L’heure de la visite était fixée à 17 H 00, il ne pouvait pas venir avant. Pour ce rendez-vous, comme les températures sont douces pour le travail j’avais donc mis un tailleur d’été vert amande jupe droite et courte avec une veste cintrée sur un corsage blanc sans sous-vêtement, je n’en porte jamais, et des hauts talons.Peu après le départ de mon rendez-vous, sur la route du retour, un voyant rouge s’allume sur le tableau de bord. Un peu affolée je m’arrête sur le bas-côté et je ne sais pas pourquoi je lève le capot (si par hasard j’étais devenu mécano la nuit dernière) je regarde les niveaux des différents bocaux sans rien comprendre et je ne suis pas plus avancée sauf que je tache ma jupe. Je ne sais pas quoi faire. Je suis tombée en rade au retour vers 18 H 00, en pleine campagne alors que le jour diminue. Bonjour l’angoisse.J’étais bel et bien coincée. Plus de batterie dans mon portable fin de journée et voiture arrêtée donc impossible de le recharger, une voiture qui n’avait plus rien sous le capot, des talons trop hauts malgré moi, je n’en porte jamais, mais pour forcer une vente cela aide mais pour que je puisse aller plus loin toute seule à pied pas simple, j’avais abandonné l’idée en plus il commence à faire noir. Tant pis pour moi, j’aurais dû faire le contrôle technique bien avant de tomber en panne au milieu de nulle part !Je me suis adossée contre capot, un peu dépitée, quand une voiture d’ENEDIS passe devant moi et s’arrête un peu plus loin. Un black avec un casque de chantier ridicule en descend et se rapproche de moi. « Je peux vous aider ? » C’est magique ! Comme dans les films… Je lui ai expliqué ma situation, Il a alors jeté un œil au moteur et, il a annoncé le diagnostic d’un air grave. Je lui ai fait répéter trois fois sa phrase avant de comprendre qu’elle ne pourrait pas redémarrer en un coup de baguette magique. Et voilà ! J’en était sûre, je ne pourrais rentrer à l’heure à la maison.Bien gentiment, mon sauveteur m’a assurée pouvoir téléphoner depuis ses bureaux et organiser mon dépannage. Enfin c’est ce que j’ai compris. Hop, je verrouille à clés la voiture et dans sa camionnette. Arrivée devant son agence, en montant les escaliers du bureau de cette zone industrielle, je me suis aperçue que nous étions seuls !J’ai alors imaginé mille scénarios coquins mais cette rencontre avec un total inconnu si sûr de lui m’échauffait à fond. Mais toutes les situations imprévues m’excitent terriblement. En plus il était pas mal physiquement, grand, visiblement musclé, pas de ventre ni moustache ou barbe, tout ce que j’aime. Et puis, seule depuis 1 semaine ½, mon homme étant en déplacement, et comme j’ai toujours de grosses envies, pourquoi pas, cette semaine que 1 écart avec un vendeur de lingerie alors pas un 2ème écart.Arrivé à bon port, dans son bureau, cette charmante personne s’est rué sur son téléphone et a échangé avec une société de dépannage qu’il avait l’air de bien connaître. Bon, je n’ai pas très bien compris leur conversation, mais les dépanneurs n’arrivaient pas avant une heure ! Une heure, c’était trop pour moi. Demandant le combiné téléphonique pour m’expliquer avec le dépanneur, j’ai essayé de négocier, en vain. Pendant ce cours échange téléphonique, mon sauveur c’était rapproché de moi en positionnant ces mains avec délicatesse sur mes hanches en descendant sur mes jambes. Je l’ai laissé faire sans rien dire. A la fin de la conversation, je me suis approchée de lui pour l’embrasser sur la joue afin de le remercier de s’être si bien occupé de mon problème, et il m’a prise dans ses bras, souriant. Le contact de nos deux corps l’un contre l’autre était électrisant, comme aimanté. Ses mains se sont doucement promenées sur mon corps, c’était un vrai appel au sexe ! Je l’ai embrassé. Langoureusement.J’avais l’impression de me donner corps et âme à ce total inconnu. De m’engouffrer dans une grotte sans possibilité de retour. M’enfermant dans ses deux bras puissants, je devenais sa prisonnière, sa captive durant une heure. Top chrono !Je me suis agenouillée à ses pieds, jambes écartées. Sa braguette déboutonnée, j’ai sorti son engin à l’air libre. Et là, j’ai manqué de peu de tourner de l’œil. Mon beau black était membré comme un cheval. Et oui, le mythe du « Noir à grosse queue » a été inventé grâce à lui.Je n’ai jamais été adepte des grosses queues, j’ai toujours eu peur qu’elle ne me déchire quelque chose de délicat à l’intérieur de moi. Mais mon intuition me soufflait qu’avec mon étalon, ça irait bien. Peut-être le regard qu’il posait sur moi, attendrissant, ou sa façon de me caresser l’épaule avec gentillesse. Bref, je l’ai pris en bouche avec gourmandise, posant ma langue sur sa tige comme une limace sur une laitue, en laissant de grosse trace de salive bien blanche. Le black est venu se caresser les couilles en même temps afin de mieux apprécier mes caresses buccales.Il restait bien silencieux et je ne savais pas s’il prenait vraiment son pied. Cette mise en bouche m’a en tout cas bien mise en appétit. J’étais littéralement et totalement trempée : prête à l’emploi !Il y avait bien que ma voiture pour tomber en panne, ma machinerie humaine fonctionnait très bien. Je me suis retournée et j’ai relevé une jambe sur son bureau. Il a très bien su comment se positionner derrière moi pour me pénétrer par petits à-coups. Même si je sentais bien qu’il essayait de ménager mon corps, je n’ai pu m’empêcher d’hurler à la mort.Je sentais que mon vagin était en train de se déchirer, un peu comme lors d’un accouchement, enfin j’imagine. Désolée, je me suis retirée en souriant : « Trop gros pour moi ».Mon inconnu ne s’est pas laissé démonter, il m’a déshabillé avec sensualité tout en caresses et c’est mis nu également. Il est venu me lécher le minou pour mieux me préparer à son « convoi exceptionnel ! »C’est qu’il y tenait à sa pénétration. Sa langue râpeuse me faisait fondre. Il tenait mes fesses bien fermement pour que son visage soit le plus profondément enfoncé dans ma chatte.Il bavait, crachait, écartait mon sexe en grand avec ses doigts. Petit à petit, son bricolage fonctionnait et je sentais que je me dilatais à l’intérieur de mon corps. « Inspire ! Expire ! » me suis-je dit en moi-même pour m’encourager. C’est peut-être comme chez le gynéco ? Une grande inspiration et on ne sent plus rien lors du passage du spéculum…Sentant que j’étais prête, il m’a allongée fermement sur son bureau avec un air de dire « Ne t’avise pas de m’échapper, tu es à moi… » Message reçu 5 sur 5, j’écartais les jambes et j’attendais patiemment l’assaut de ma tête de bélier. À mon grand étonnement, sa bite s’est enfoncée en moi comme « dans du beurre ». Comme quoi, après un petit « graissage » les choses passent beaucoup mieux.Comprenant ma douleur, mon homme bien monté a pris soin d’effectuer des tous petits mouvements de bassin très lents. Je me massais bien le clito en même temps pour ne ressentir que du plaisir. Pas de douleur. Que du plaisir. Il a basculé une de mes jambes au-dessus de ses larges épaules afin de mieux me maintenir contre lui. Ses mouvements devenaient beaucoup plus forts, beaucoup plus précis aussi. « Inspire ! Expire ! Inspire ! Expire ! » Je devais certainement ressembler à un animal qui apprenait à nager avec mes petits hoquètements de respiration, mais tant pis ! J’étais passée en mode survie.Ça y est, mon inconnu a fini par chopper la deuxième jambe. Il me maintenait complètement dans son étreinte et me bourrinait à grand coup de gourdin. J’ai fini par bloquer ma respiration pour de bon, ne sachant plus quoi en faire ! Il s’est arrêté dans sa course folle, tout en me contemplant deux minutes, et voyant certainement que mon visage revêtait la couleur d’une tomate bien mûre, s’est décidé à se retirer, tout doucement. J’ai soupiré de soulagement, même si je dois bien avouer que j’y prenais un grand plaisir. J’en ai profité pour mater sa queue luisante de ma mouille. Ses veines épaisses brillantes et ses couilles juteuses étaientterriblement excitantes.On aurait dit une pâtisserie tout en chocolat, il me donnait faim, faim de lui. Avec délicatesse ...

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