CATÉCHISME EN JOUISSANCE 14 juillet 1789, aux alentours d’Épinac, en Bourgogne. Une petite église perdue dans la forêt, Saint-Simon.Le soir tombe, et les fureurs de la capitale ne sont pas encore parvenues ici.Le père Karl est à genoux en train de prier le Saint de son église. Il est seul, et ce ne sont que ses paroles murmurées qui résonnent.Soudainement, la porte de la paroisse s’ouvre. Une belle créature s’avance dans l’allée centrale, et s’approche du servant. Elle est habillée de manière assez provocante pour l’époque, en laissant dépasser sa poitrine généreuse presque entièrement, une robe aux genoux d’où dépassent de longues jambes serties de bas blancs et aux pieds des bottines noires aux talons exagérément hauts.Posant une main longue, fine, aux ongles rouge vif sur son crâne.— Alors curé, tu es seul ? Il lève la tête, et alors que le visage de cette femme lui apparaît en contre-jour, ses cheveux entourant l’apparition, il a un mouvement de surprise.— Marie-Madeleine !Elle lui sourit, et pense pouvoir tirer profit de l’homme du seigneur.Elle rapproche sa robe de son visage.— J’ai besoin d’un homme... dis ? Tu es toujours un homme ? demande-t-elle effrontément.Prenant sa tête entre ses mains, elle colle à lui son entrecuisse.— Ma fille... voyons... dit-il sur un ton hésitant.Elle soulève le pan de sa robe et lui découvre son intimité aux doux poils frisés, blonds comme ses cheveux.— Allez, fais-moi une léchouille mon tout beau, que je me pâme sous ta langue.Il reste comme pétrifié, hypnotisé par ce sexe qu’il n’a jamais “connu”.— Seigneur ! s’exclame-t-il enfin.Prenant la croupe de cette femme de ses deux mains, la griffant presque tant la tension qu’il éprouve est forte, il approche sa bouche de ses chairs mystérieuses.— Lèche je te dis ! Mordille-moi.N’y tenant plus, le saint homme se laisse séduire et vaincu, il lape avec entrain ce qu’on lui offre.— Ô dieu, que c’est bon, gémit-il, comme s’il était déjà au paradis.— Oh oui, mon mignon, tu fais ça bien... mais plus lentement, veux-tu bien ?L’une baisse la tête et l’autre la relève. Leurs regards extatiques se rencontrent.— Enseigne-moi, Marie-Madeleine, apprends-moi à te servir, demande-t-il comme un élève à sa préceptrice, avant de redéguster ce qu’il vient de découvrir.— Doucement, doucement, cher petit, on a toute la nuit à nous pour que je t’enseigne l’art des plaisirs.Obéissant, bien que fiévreux, il flagorne le doux morceau, mordillant ce petit bout d’une douceur infinie. Si bien que la belle garce commence à savourer ce que lui fait son apprenti. Ayant passé les mains sous son corsage, elle se caresse les tétons, en renversant la tête.— Tu es délicieuse, j’aime te sentir à moi.— Tu me chauffes la chatte, mon grand, il va falloir m’emplir de ton membre.Si échauffé qu’il soit, cette proposition lui fait comme un électro-choc, et la proposition... il le sent ; tend et durcit son pénis.Tant est si bien qu’il doit baisser la tête pour confirmer ce qu’il lui arrive.— Mon sceptre te répond, ma belle, sourit-il en la regardant s’abandonner déjà.Elle se po ...
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