Après cette soirée où j'avais perdu mon pucelage avec ma tante, mon séjour chez elle pris une autre tournure.La journée, lorsque nous étions au travail, elle était très prévenante avec moi, toutefois elle évitait de me toucher ou même me frôler car le désir était toujours présent entre nous deux.Le soir, il en allait autrement. Nous prenions notre douche ensemble et elle me branlait toujours sous la douche pour faire partir ma première excitation et mieux profiter de la deuxième et parfois de la troisième. Je m'interrogeait sur ce qu'avait été sa vie amoureuse et sexuelle.Elle m'avoua, qu'adolescente, ses parents l'avaient forcée à rejoindre un internat de religieuses. Elle n'y avait pas été du tout heureuse jusqu'au jour où une religieuse, à peine plus âgée qu'elle l'avait prise en amitié. La soeur lui donnait des cours particuliers de solfège car elle avait pressenti que Mathilde avait un don pour la musique.Un soir la main de la religieuse avait glissé sur la sienne, elles avaient partagé un émoi, s'étaient regardées et embrassées. Le lendemain la soeur lui donnait son cours dans sa chambre, elles finirent nues sous les draps. La soeur lui fit découvrir la masturbation, le cunnilingus, le doigtage, le crampie et même le toucher anal et la feuille de rose.Leur histoire dura une saison scolaire.Au mois de juin, elles furent convoquées toutes les deux par la mère supérieure, elles avaient été dénoncées par une autre soeur jalouse de leurs ébats.La jeune soeur fut renvoyée immédiatement du couvent .Mathilde du attendre que ses parents viennent la chercher.Bien sur la Mère supérieure ne leur épargna aucun détail de la relation de leur fille.Ses parents furent horrifiés, ils s'empressèrent de la marier avec le premier venu pour laver leur honneur. Ainsi Mathilde épousa Auguste, de 10 ans son aîné. Elle avait 17 ans, lui 27 . Mathilde était une belle brune, lui, Charles, un roux grand, fort, costaud, sans charme.Il était maraicher, elle le suivit donc dans son exploitation.Le soir du mariage, elle qui n'avait connu le plaisir qu'avec une douce amie, ses doigts, sa bouche, appréhendait beaucoup.Elle s'allongea sur le lit conjugal, portant une seule chemise de nuit mi longue. Charles se déshabilla, elle découvrit aussitôt son membre dressé, il lui sembla énorme, c'était le premier qu'elle voyait. Charles s'avança, releva sa chemise de nuit au dessus de sa touffe, lui ecarta les jambes, enfila une capote, s'allongea sur elle , la pénétra et l ...
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