Au cours de l’été dernier, par une journée particulièrement caniculaire, je décide d’aller marcher un peu, plutôt que de manger au bureau.Je me rends donc sur mon aire de repos habituelle, située à l’écart, en sous-bois. J’aime bien y aller car elle est très peu fréquentée, et je peux m’y balader tranquille, bronzer nu comme un ver, manger peinard sans être trop dérangé.J’arrive vers 11h30 je mets mon short échancré, mes baskets et un marcel. Je garde mon mini-slip en soie (oui, j’aime bien porter ce genre de sous-vêtement), deux triangles reliés par un flot sur les hanches. Je pars marcher ainsi sur le chemin et dans le bois. Mon tour dure environ une heure et, au retour, une voiture est garée 30 mètres avant la mienne. En passant à côté, je vois un homme, entre 50 et 60 ans, chemise cravate, qui mange un sandwich. Il a laissé sa porte ouverte. Je passe près de lui et me dirige à ma voiture, un SUV, que je contourne. J’ouvre le hayon, je décapsule une bière puis commence à me déshabiller pour m’essuyer avec mes lingettes. Vu qu’il n’y a personne, à part l’autre gars qui ne peut pas me voir car je suis à l’arrière de ma voiture, j’en profite. Je ne garde que ma culotte sexy et commence à m’essuyer. Soudain, j’entends une voix : « excusez, auriez-vous un décapsuleur ? ». C’est le gars de l’autre voiture, sauf qu’il n’a plus de cravate et qu’il a la chemise ouverte. Je panique un peu, surpris, car mon triangle de soie ne cache pas grand-chose de mes attributs. Je lui ouvre sa bière : « voilà , monsieur. Il fait chaud, hein ? ». « Oui, surtout habillé, je vois que vous vous êtes mis à l’aise ». « Oui, c’est plus supportable et je me rafraîchis avec les lingettes ». La conversation continue pendant que je me passe les lingettes, on parle de tout et de rien, il me dit s’appeler Gérard. Je vois bien qu’il n’arrête pas de reluquer mon slip, surtout que je commence à sentir monter en moi une envie, qui a tendance à gonfler un peu mon slip. Il doit voir qu’aucun poil ne dépasse. Au moment où je m’essuie les épaules, il me dit « Tourne-toi, je vais te faire le dos ». Il saisit une lingette et me fait me retourner, sans attendre. J’obéis.Il commence lentement des épaules, puis descend doucement. C’est plus une caresse qu’un nettoyage, il effleure mon corps, je sens le désir monter en moi. Je commence à bander, ma queue dépasse du mini-slip. Il continue à descendre, sa main est posée sur ma hanche pour me tenir. Arrivé au ras des fesses, je sens mon slip glisser sur mes cuisses, il tombe à terre. Il me dit « oh, il est tombé. Dans ce cas, je te fais les fesses aussi ». Je ne réponds pas, je le laisse continuer, je n’ai pas la volonté de lui dire non, je pense qu’il a volontairement défait le flot, mais c’est si bon , hummm. Sa main me masse les fesses l’une après l’autre, il me tient par la hanche. Je retiens mes gémissements, mais j’aime ses mains sur mon corps. J’écarte les pieds et me penche en me tenant au coffre. Il sent l’invitation, sa main descend le long de mon sillon fessier, puis remonte lentement, son doigt s’arrête sur ma rosette et appuie légèrement. Mon cul va à sa rencontre, comme pour lui demander de continuer encore. Il appuie plus fort et remonte plus haut. Il redescend, recommençant à masser ma rondelle au passage puis continue jusqu’à mon périnée, ses doigts s’aventurent sur mes boules et les massent. Il m’embrasse dans le dos en même temps, ses lèvres humides et douces m’excitent, je les sens descendre sur mon dos, oh c’est bon. Sa main lâche ma hanche et vient caresser mon dard, raide au possible, il enserre ma hampe et commence un lent va-et-vient, son pouce caressant mon gland à chaque mouvement, je ne peux plus retenir mes gémissements, je ne veux plus, c’est trop bon. De son autre main, je ne sens plus que le doigt qui force ma rondelle pour s’y introduire délicatement. « Oui, encore, ton doigt, ouiiiii ». Je le sens me pénétrer délicatement, il s’enfonce et se retire, puis deux doigts vont et viennent en moi, pendant qu’il me masturbe lentement. Je n’en peux plus, je suis dans des mains expertes, soumis à ses caresses, mon bassin va au devant de ses doigts qui me fouillent, je mouille, j’ai envie.Soudain, une porte de voiture claque. Mon premier réflexe est de cesser tout. Il me retient et se penche pour voir : « je le connais, c’est Dom, pas d’inquiétude, il va venir participer ». Là il reprend de plus belle ses caresses, l’autre arrive. Cheveux gris, la soixantaine : « bonjour, les chéris, je peux vous aider ? ». Gérard répond « Bien sûr, Dom, regarde ce joli corps en chaleur, il n’attend que de jouir ». Moi, je suis en extase, les yeux fermés, je me délecte de ces mains. Quand j’ouvre les yeux, je vois Dom, ou plutôt son sexe, sur le côté à hauteur de mes yeux. Il se glisse entre le coffre et ma bouche, me présente sa longue queue raide. Elle est belle, me paraît plus grosse que celle de Gérard, il l’insère entre mes lèvres, son gland est d’une bonne dimension, bien dessiné, j’en fais le tour avec ma langue, je le suçote puis titille son méat, son frein, avant de l’enfourner en fond de gorge, je le branle en le suçant, ma bouche monte et descend en rythme, ...
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