J’avais pris contact avec un mec qui souhaitait uniquement partager une branlette réciproque ! On s’échangea quelques photos de nos bites et je dois avouer que la sienne me plaisait bien. Belle longueur avec un joli prépuce comme j’aime … Au cours de nos mail, il m’avait dit qu’il avait une grande envie de me cajoler la bite, de la pétrir, de la décalotter, de l’astiquer pour me faire jouir, et qu’il accepterait que je le branle mais qu’il n’irait peut être pas jusqu’au bout, ayant un rendez vous le soir. J’étais un peu déçu car moi aussi j’aime bien voir le foutre couler d’une queue que je masturbe, et j’espérais le faire changer d’avis. Je pensais qu’on allait pouvoir se retrouver chez lui mais hélas, comme moi, il ne pouvait recevoir ! Alors il me donna rendez vous dans les toilettes du Parc de Sceaux en face de l’entrée principale… Pour moi ça allait être une première et ça m’excitait fortement. On se fixait un rendez vous à 14h, en bas, le premier attendant l’autre. Mais en ce fameux début d’après midi, le soleil était de la partie, il faisait une chaleur terrible, et comme de plus c’étaient les vacances scolaires, il y avait un monde fou au Parc de Sceaux. J’arrivais le premier et descendais dans les toilettes pour m’apercevoir que celles des hommes et des femmes étaient communes, et qu’il n’y avait que 4 cabines. Comme il n’y avait personne, je remontais à l’air libre jusqu’à ce qu’enfin il arrive. Un petit mouvement de tête pour se reconnaître et il descendit le premier. Quelques secondes plus tard, je le suivais. Arrivé en bas, je l’aperçus déjà entré dans une cabine, laissant la porte entrouverte. Mais les autres cabines étaient occupées et des femmes attendaient soit pour y rentrer soit attendre leurs copines ou progénitures pas encore sorties. Alors bien évidemment, elles me virent rentrer dans la cabine où il se trouvait déjà. Je dois dire que ça me refroidit un peu mais lui ne se démonta pas, venu qu’il était pour me branler. Je verrouillais vivement la porte, et je n’eus qu’à peine le temps de passer ma main sur son pantalon pour sentir sa queue, qu’il s’assit directement sur la tinette. Sans un mot, il m’ouvrit la braguette, baissa mon pantalon et sortit ma bite. Derrière la porte on entendait les discussions des femmes entre elles, les nombreuses allées et venues et il m’était difficile de ...

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