Les semaines qui ont suivi notre conversation ont été plutôt froides et interminables (pour ceux d'entre vous qui n'ont pas suivi, lire le récit “nos débuts” n.2 suite). On n’osait même plus aborder le sujet, ni elle ni moi, la situation était coincée et nous étions dans une impasse.J’en avais mal aux couilles tellement j'avais besoin de baiser et mes envies me montaient à la tête, la frustration était immense et me plongeait dans un état de nervosité que je ne surmontais qu'en me masturbant dès que j'avais un moment pour moi. L’idée d'arrêter nos rencontres juste après avoir commencé à goûter à ces plaisirs était insupportable. Elle avait trouvé le moyen de me punir. On ne baisait plus du tout… Je regrettais même de ne pas avoir été plus ouvert à sa demande…après tout, ce qu'elle voulait n'était pas si excessif que ça…Je ne sais plus combien de temps a duré ce passage à vide, plusieurs semaines…peut être un peu plus d'un mois et pendant tout ce temps je cherchais à comprendre ce qui n’allait pas…Y avait il des choses qu'elle n’arrivait pas à me dire ? Etait-ce moi qui n'étais pas à la hauteur ? J'étais sans doute un peu naïf avec une vision “idéaliste” du libertinage…et finalement c'était peut être elle qui avait raison à vouloir sortir des schémas classiques…Les lettres des lecteurs du magazine continuaient à nous parvenir et c'est en remontant le courrier chez nous un midi qu'on a enfin repris la conversation.En me voyant ouvrir et lire une première lettre dans mon coin, elle s'est rapprochée… Elle sortait du lit et ne portait qu'un long T shirt blanc.-”On a encore reçu des lettres du magazine ?”-”Bah oui, tu sais bien que depuis qu'on a publié tes photos ça n’a pas arrêté”-”Et Roger ? Il nous a écrit ?”-”Je te signale qu'on a un mois de retard avec lui depuis sa dernière enveloppe…on ne lui a pas envoyé son reportage…même pas un mot pour le faire patienter, rien”.Je la faisais culpabiliser en lui disant ça, en me privant de sexe et de libertinage elle privait son admirateur préféré, au risque de le perdre, elle ne semblait pas avoir compris les conséquences de faire durer notre brouille si longtemps…-”Bon, il faut lui écrire, lui dire qu'on va faire un truc bientôt…”-”Quand ça ? C'est quoi pour toi “bientôt” ? Je te signale que ça fait un mois que tu fais la gueule et qu'on ne baise plus…j'ai supprimé notre annonce sur le site internet pour éviter qu'on nous prenne pour des mythos, je ne sais même plus quoi répondre aux mails, plein de mecs nous ont écrit…”.La colère m'envahissait.Je me suis levé, laissant les lettres de côté sur le canapé, et me suis mis face à elle.-”Je deviens fou, j'ai trop envie de te baiser, j’en peux plus “...Je l'ai attrapée par les cheveux et l’ai collée contre moi, de l'autre main j'ai peloté ses fesses nues tout en l’embrassant et la léchant dans le cou…puis j'ai commencé à branler son clito…-”Alors ça te manque pas de te faire baiser ? T’as cru que t’allais me casser les couilles jusqu'à quand ? “Sa fente était déjà toute humide, elle gémissait et couinait en gesticulant. J'étais hors de moi, l'ai directement penchée en avant à genoux puis à quatre pattes sur le canapé, et j'ai sorti ma queue.Je bandais à mort, j’étais parti pour la défoncer, elle n’opposait aucune résistance.Ma queue s'est enfoncée dans son vagin trempé d'un seul coup et j'ai commencé à la baiser très hard, elle avait la gueule écrasée sur le petit paquet de lettres et on n'entendait plus que les claquements de mon bas ventre contre son superbe fessier et les grincements du canapé. Elle se cambrait au maximum sans que je le lui ordonne, un réflexe de salope en manque déjà bien éduquée.-”Alors tu veux faire la pute c'est ça ? Je vais te montrer comment tu vas faire, salope !”Je pétais un câble, je ne l'avais jamais baisée comme ça, si hard avec autant d’insultes.-”Tu vas être ma pute puisque c'est ce que tu veux et je vais te faire tourner, crois moi !”.Je la bourrais si fort que le canapé s'était déplacé et cognait contre un mur, les voisins devaient nous entendre…Je voyais bien qu’elle prenait du plaisir à se faire prendre comme ça, sa chatte était trempée, bien dilatée et j'ai alors commencé à la fesser d'une main lourde et sévère, la maintenant penchée en avant de l’autre, le visage toujours écrasé contre les lettres.J'ai limé, limé, encore et encore, je cognais fort ses fesses en la baisant, elle commençait à avoir mal et ça me procurait de la jouissance.-”Tu vois comment je te baise ? Je vais te faire baiser pareil par plein de mecs ! Tu vas être une pute,oui, une pute soumise et tu feras ce que je te dis de faire ! C'est ça que tu voulais ?”Elle gémissait…-”ahhh ouiiiiii vas y mmmm”À un moment ses gémissements ressemblaient à des pleurs, j’ai eu un doute mais j’en avais strictement rien à foutre, je lui infligeais une vraie correction et ça ne faisait que m'exciter encore plus.J'ai ressorti ma queue pour éjaculer, j’en pouvais plus, j'ai tout balancé sur son cul, il y en avait partout, jusque dans ses cheveux, c'était magnifique.Je m'en souviens comme si c'était hier.Elle s'est relevée avec un peu de mal après quelques instants, sonnée par l’intensité du moment, s'est retournée vers moi et s'est blottie dans mes bras.-”Tu m'as fait mal chéri mais j'ai aimé ça, je préfères que tu me baises comme ça, je n’arr ...
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