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L'inconnue du train

Publié par : prolls le 09/09/2025
** NEW **

Fin d'un long déplacement professionnel à Shanghai. Je profite du fait d'être en Chine pour planifier quelques vacances improvisées. Je choisis d'aller visiter Pékin et ses alentours. Pour aller de Shanghai à Pékin, j’opte pour un train de nuit : 12 heures de trajet en cabine partagée. J'aime ce mode de transport, cela participe à l'ambiance du voyage.Je pars après ma journée de travail, un sac à dos de 25L bien accroché à l’épaule. À mon arrivée dans le train, je monte à bord et me dirige vers ma cabine. L’espace est étriqué, presque intime et l’air semble lourd d’une promesse d’inconnu. Ma couchette est en haut. J'y dépose mon sac, mais comme l’espace est restreint et le plafond bas, je décide de rester en bas pour lire un peu.Après quelques minutes, une jeune Pékinoise arrive. Elle semble avoir à peu près le même âge que moi et a réservé la couchette du bas, sous la mienne. Quelques instants plus tard, un couple de personnes âgées arrive aussi dans la cabine, mais ils s’éclipsent rapidement dans un autre compartiment, laissant derrière eux quelques affaires.Je continue de lire une bonne heure, absorbé dans mon livre. Le train roule à vive allure. Le bruit des rails, le mouvement de la cabine et la lueur tamisée de la lumière rendent l’atmosphère particulièrement calme. La fatigue me gagne rapidement. Je décide de monter dans ma couchette pour essayer de dormir. La jeune femme est déjà assoupie, le visage détendu, les yeux fermés.Après quelques minutes, un bruit sourd se fait entendre. L'une des attaches de ma couchette cède, puis l’autre suit rapidement. En un instant, ma couchette tombe, se rabat contre le mur et je me retrouve à tomber directement sur la jeune femme, mon sac avec moi. Elle se réveille en sursaut, le visage choqué. Heureusement qu'elle était allongée, car cela lui a évité d'être blessée par la couchette qui se rabattait !Je me relève précipitamment, m’excusant d’une voix hésitante en anglais. Nos regards se croisent et un lourd silence s’installe entre nous, rempli d’incompréhension et de gêne. Quelques secondes passent et je brise de nouveau le silence en riant nerveusement. Elle aussi se met à rire face à l'absurde de la situation. Je lui exprime mon soulagement de voir qu'elle n'a rien et je lui demande comment elle se sent. Tout semble aller bien.Un peu embarrassé, je lui explique que je vais probablement changer de cabine. Mais avant que je ne puisse bouger, elle me dit dans un anglais maladroit : « Restez un peu ici, le temps que le contrôle arrive. » Surpris, mais curieux, j’accepte sa proposition et m’assois à côté d’elle.Nous discutons pendant un long moment. Nos échanges sont légers, souvent ponctués de rires nerveux et j'en apprends un peu plus sur son histoire et sa vie. Pendant tout ce temps, toujours pas de contrôleur à l'horizon. Je profite d'un besoin urgent pour faire un rapide tour de quelques rames, mais il n'y a pas de personnel du train et il n'y a pas d'autre couchette libre pour pouvoir me reposer. Je retourne dans ma cabine et j'expose le résultat de mon exploration à la charmante demoiselle. La fatigue nous envahissant, elle me propose de partager sa couchette pour améliorer mon confort. Elle s’allonge alors et me laisse un peu d’espace. L’intimité de la cabine, déjà restreinte, se fait alors plus évidente. Je me couche face à elle, l’espace est petit et chaque mouvement semble amplifié par la proximité.Elle est rapidement fascinée par la couleur de mes cheveux d'occidental. Elle me demande si elle peut passer la main dedans, un geste à la fois innocent et... intime. Je l'y autorise. Elle effleure mes cheveux d'un geste léger et la douceur de ses doigts sur ma peau me fait frissonner. Par mimétisme je me mets à l'imiter et je glisse ma main dans ses cheveux noirs avant de dériver vers son visage que je commence à effleurer du bout des doigts. Elle ne dit rien. Je sens son souffle qui change, s'intensifiant légèrement, devenant plus intense, plus chaud. J'approche ma tête de la sienne, glisse ma main vers sa nuque tandis qu'elle ferme les yeux et dans un moment qui sembla durer une éternité, je l’embrassai avec délicatesse, goûtant ses lèvres douces et exotiques. Sa peau a une odeur suave et enivrante d'un parfum d’extrême-orient que je n'arrive pas à identifier. Je remonte rapidement la couette sur nous deux et je jette un regard rapide vers la porte de la cabine : personne.Le temps continue de s’étirer. Nos corps se rapprochent lentement, chaque geste devient une danse discrète. Dans la chaleur de la cabine, nos mouvements deviennent plus naturels, plus lents, plus intenses, comme si chaque instant devait durer plus longtemps. L’espace est petit, mais l’intimité qu’il génère nous appelle à être plus audacieux. Le murmure du train, le cliquetis des rails, deviennent un fond sonore régulier, presque hypnotique, accentuant la sensation de suspens, d’interdit. Dans ce petit espace clos, nous n’avons plus besoin de mots. Tout se joue dans les gestes, dans les regards, dans les frôlements.Nous nous laissons alors aller à nous autoriser certaines choses dans ce moment suspendu, dans cet endroit clos où nous ne sommes l'un pour l'autre que deux inconnus de culture différente. Ma main glisse avec assurance sur sa peau de velours vers des territoires jusque-là inexplorés. Je dégrafe avec deux doigts le bouton de son pantalon et je baisse la fermeture éclair. Elle se met sur le dos et l'enlève rapidement avant de rebasculer sur le ...

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