Mais comme tout le monde, j'ai découvert la sexualité un jour, pour moi c'était au collège, en cours de sport.Comme tous les jeunes de cet age, on se retrouve avec des pubertés complètement différentes voir décalées, avec des copains qui avait une pilosité généreuse et d'autres, comme moi, encore un peu gamins, bref, on avait tous le même age donc pas de soucis. On était un petit groupe à ne pas apprécier les cours d'EPS, et les sessions au stade nous offraient la possibilité de nous mettre à l'écart dans un grand verger, bien à l'abri de tous les regards. Un des gars du groupe était en avance et nous montra sa bite en érection bien surmonté d'un paquet de poils et des couilles bien grosses. Il nous a expliqué comment se masturber, puis nous a fait découvrir l'aboutissement, une belle éjaculation.Les moins timides ont commencé à faire de même, moi y compris, avec des engins divers et variés, la petite de grand gamin, à la matraque bien épaisse, bien poilue ou à peine recouverte d'un léger duvet comme moi.Bref, tout ça fait que.... on a découvert la sexualitéCe fameux copain de classe était aussi un bon ami que je voyais souvent à l'extérieur du collège, enfance tourmentée, mais niveau de vie plus que confortable, il avait ainsi la télé dans sa chambre et comble du gadget techno de l'époque un magnétoscope.Son père avait aussi une petite collection de K7 VHS porno, donc, naturellement on s'est retrouvé à en mater ensemble le mercredi après midi ou pendant les vacances scolaires.On a pris l'habitude de se branler cote à cote et à s'essuyer dans des essuies tout, de vrais branleurs quoi.Un jour il m'a dit qu'il avait branlé et sucé un mec du coin, qu'il avait bien aimé et que si je voulais il me sucerait volontiers, et que je n'aurai qu'à le branler. Bof, j'étais pas super tenté, il m'a quand même branlé et je lui ai rendu la pareille, sa bite plus grosse et plus longue que la mienne, et bien plus poilue, mes couilles plus grosses et poilues que les siennes, comme quoi.On a remis ça très souvent, il a compris que sa proposition de me sucer ne m’intéressais pas, j'ai regretté parfois mais bon. Il me racontait ses plans avec des hommes, tout y passait, la taille et les particularités de chacun, s'il venaient vite ou pas, s'ils suçaient bien ou pas, s'ils avalaient, lui suçait mais n'avalait qu'un mec du voisinage, il me parla aussi d'un mec qui lui avait touché le cul, bof ça ne m'a pas tenté.La fin d'année arrivant, les filles du collège commençaient à porter des tenues plus légères, avec là aussi des écarts de passage à l'age adulte bien marqués, et on était souvent en récréation avec des filles déjà bien femmes, dont deux qui provoquaient beaucoup, mais pas au point d'aller plu ...

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