Cela faisait cinq années que nous habitions dans notre nouvelle maison. En face de chez nous habitait un couple d’une cinquantaine d’années passées. Ils avaient une fille qui revenait tous les week-ends chez eux ainsi que quand ils étaient absents, je suppose pour garder la maison. On les connaissait assez peu et avions peu de contacts avec eux. Nous les trouvions un peu bourgeois et distants. Quant à la fille, on ne savait pas si elle travaillait ou si elle faisait des études. Nous étions aussi incapable de lui donner un âge.Comme nous habitions près d’une forêt, j’allais régulièrement faire un footing ou du vtt. Notre voisin et sa fille allaient aussi faire ensemble du footing. Un jour, ma femme constatât que le voisin avait un temps des béquilles puis on ne le vit plus partir courir.Lors de l’une de nos rares conversations avec la voisine et sa fille, ma femme s’enquit de la santé de son mari et elle nous dit qu’il avait un problème de genoux et que le footing c’était fini pour un bon moment. Quant à la fille, elle n’osait aller courir seule en forêt. Ma femme proposa qu’elle vienne courir avec moi. Sur le coup, j’avais émis quelques réserves car j’avais 57 ans, quelques kilos en trop et les genoux non plus en très bon état. La jeune fille avait dans les 25 ans et très mince. Elle me dit que vu mon entraînement il n’y aurait pas de soucis. Ainsi nous fîmes quelques footing ensemble. On sympathisa un peu mais aucune drague bien que je ne puisse m'empêcher de mater ses formes. Un homme restera toujours un homme.Lors d’un week-end de 3 jours, les parents s’absentèrent et leur fille arriva.Tous les samedis matins, ma femme s’absentait pour aller faire 2 heures de sport en salle. Peu après son départ, j'entendis sonner et vit la jeune fille à ma porte. Elle avait un problème d’Internet et voulait savoir si je pouvais l’aider. Lors de nos conversations, je lui avais sûrement dit que je travaillais dans les réseaux. Naturellement, j'acceptais et la suivis.La connexion internet était dans le salon sous le meuble TV. Je trouvais assez rapidement le problème, la fibre était légèrement débranchée, accidentellement ou volontairement, jamais je ne le su. Comme j’étais à genoux et que la demoiselle s’était assise sur un canapé, je ne pu m’empêcher de mater ses cuisses. Elle portait un pull léger, une jupe et des bas ou un collant. Elle était châtains, cheveux longs coiffés un peu en chignon, très mince, poitrine très petite. Je ne vis pas grand chose de plus que le haut de ses cuisses et surtout elle surprit un de mes regards sur elle. Malgré mon âge, j’avoue avoir un peu rougi d’avoir été ainsi surpris de mater les cuisses d’une gamine. La réparation terminée, elle me proposa un café. On s’installa dans le canapé assis côte à côte. Nous étions très proche et discutions nos visages tourné l’un vers l’autre. Il aurait fallu être un saint pour ne pas avoir envie de l’embrasser. Je profitais d’un mouvement de sa part pour poser sa tasse pour l’embrasser. D’abord elle se recula puis nos regards plongés l’un dans l’autre nos bouches se rapprochèrent et nous échangeâmes un baiser d’abord timide puis sans retenue. Ma langue chercha et trouva rapidement la sienne. D’une main je lui caressais une cuisse puis la remonta lentement, senti la bordure des bas, puis continua plus haut entre ses cuisses . Je finis par poser ma main sur son entrejambe. Elle écarta un peu plus ses cuisses. Je sentais une douce chaleur. Puis toujours en l’embrassant, je remontais ma main sur son ventre et la redescendais en la glissant sous sa culotte. Ma main commençait à lui caresser sa vulve. On resta ainsi quelques instants à s’embrasser et moi à caresser son sexe. Puis elle repoussa, se leva, prit ma main et m’entraîna dans sa chambre. Je trouvais assez bizarre d’entrer dans une chambre avec un décor d’adolescente. À peine entrée dans la chambre, elle retire son pull (elle ne portait pas de soutien gorges pas vraiment nécessaire vu la taille de sa poitrine) puis sa jupe. En l’embrassant à nouveau, je la repoussais vers son lit une place. Elle s’allongea et je me mis à genoux à côté du lit. Je lui retirais sa culotte, lui fis laisser une jambe sur le lit et l’autre pendre à côté. J'ai pu ainsi admirer sa chatte avec ...

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