Son gland s'enfonça légèrement, histoire de me le faire sentir en ouvrant doucement ma petite chatte. La sensation était folle, j'étais à la fois terriblement excitée de cette première fois et aussi terrifiée.  Hum, t'es toute serrée, t'inquiète, je vais y aller tout doux. C'est ta première ? Oui  hum, top, une petite pucelle à dévergonder, c'est mon jour de chance Toujours le torse contre les sièges arrières, cambrée à mort, totalement offerte, il en profitait, enfonçait son sexe doucement mais sûrement, centimètre par centimètre jusqu'à être totalement en moi. Tout au long de ce processus, un gémissement lent et profond, une sorte de râle, sortit bien malgré moi de ma gorge.  hum, t'aimes ça, regarde comme tu gémis. Tu mouilles comme une chienne petite salope. Il se mit alors à donner des accoues, doucement, profondément sans reculer, à tournailler en moi. Il me préparait. Je sentis mon intérieur se gonfler, augmentant mes ressentis, je sentais toute sa verge, de long en large. Je n'avais jamais connu de pénétration mais je trouvais ça extraordinaire, je me laissais aller, suivait ses mouvements, gémissais de plus en plus fort. Puis tout à coup, il retira sa verge de mon cul me faisant lâcher un cri de surprise. Je n'arrivais pas vraiment à voir ce qu'il faisait alors je me redressa un peu, pour pouvoir tourner la tête. Je le vis debout, tenant sa queue juste devant mon orifice. Il profitait du spectacle le salaud, toute en prenant encore quelques photos. Magnifique ! S'il vous plait, pas de photos s'il vous plait Chuttt... tu voudrais pas que je ne garde pas de souvenirs quand même, t’inquiète, c'est pour ma collection perso. Oui mais... Je n’eus pas le temps de finir ma phrase ! Il m'avait pénétrer d'un seul coup, violemment cette fois-ci. Je criai alors de stupéfaction et de douleur mais il ne me laissa pas le temps de m'en remettre. Il me pilonnait dorénavant, je gémissais follement, criai, hurlait entre plaisir intense et souffrance. Il était déchaîner, me prenait par les hanches pour aller plus profondément, en me donnant des coups de reins extrêmement puissant. Ce n'avait rien à voir avec sa douce première pénétration. J'avais le sentiment d'être prise par une bête sauvage. Il me ramonait littéralement mon arrière train. J'étais secouée comme une poupée de chiffon. Je hurlais, moi aussi, comme une bête prise dans une piège. C'était tellement intense, je me sentais comme sa chose. À force j'avais lâcher prise, abdiquer et me laissait aller au plaisir d'être soumise par cet inconnu; prise comme une femme, là au milieu de nulle part, sur le bas côté d'une route départementale. J'entendis même quelques klaxons de routier qui devait, en passant, avoir assez de hauteur pour apercevoir la scène.  Ah putain t'es bonne, putain... putain, hummm, salope, petite chienne, T'aimes ça hein, hein que t'aimes te faire défoncer petite pute...Dis pas le contraire, je vois bien comme tu es réceptive, je vois bien que t'adore ça, ma petite salope. Pour toute réponse il n'eut que mes gémissements, mes cris, mon cul qui se donnait en suivant ses mouvements pour encore plus me faire pénétrer profondément, gémissante, même haletante.  Putain, t'es vraiment une belle salope, c'est pas ta première, c'est pas possible ! Jamais vu une pucelle se donner aussi vivement. Humm...hummm Il accentua encore ses coups, de plus en plus rapides, de plus en plus forts jusqu'à jouir en moi, en hurlant dans un râle de cerf en rûte. Il s'écroula sur moi. Je sentais sa respiration ds mon cou, il me caressai les fesses tout en finissant de gémir doucement. J'étais inondée de la chatte, sa queue encore en moi, mon gland suintait fortement coulant sur les sièges contre mon ventre. J'avais un peu de mal à respirer avec son poids sur moi, mais j'aimais. Je me sentais femme sous cette homme, je me sentais lui appartenir, avoir été sienne m'avait totalement retourner, chambouler. J'étais passer d’hétéro, non pas à homo mais à devenir une femme. J'avais du mal à réaliser, à me reconnaître. Il se retira, remonta son pantalon. Toujours dans cette même position de levrette il me dit :  Bouge pas Il prit encore une série de photos me faisant prendre des positions obscènes, cambrant mon cul, écartant ma chatte qui se mit à dégouliner de son sperme sur l'intérieur de mes cuisses. Finissant sa pellicule, il me demanda de me rhabiller sans me nettoyer. J’enfilai un nouveau jean qui était dans mon sac, toute collante de sa jute, j'étais inondée, toute coulante, quelle sensation ! D'avoir l'entrejambe toute mouillée, waouh !! Allez monte De nouveau à côté de lui sur le siège passager, je n'osais rien dire ni même le regarder, un peu honteuse.  C'est quoi ce jean ? Pas sexy ça ! C'est un jean normal Il ressortit de la voiture, alla fouiller dans son coffre et revins. Tiens, mets ça Mais... J'aime que ma femme soit sexy, allez habile toi. Sa femme ! Il me prenait véritablement pour sa femme ! J'hésitais à passer ces vêtements féminins, je ne pouvais quand même pas me balader en femme ! Me faire baiser était déjà fou alors me montrer en femme comme ça, je ne l'avais même pas envisagé. J'avais déjà mis les vêtements de mes sœurs en secret mais là ce n'était pas dans ma chambre, là, il me demandait d'être en femme dehors !  Allez bouge toi le cul ! Me dit-il Mais je ne peux pas, c'est... Quoi, c'est pas ce que tu veux être une femme heu non, je... Décidément, tu sais pas qui tu es toi. Tout en toi respire la gonzesse, j'en ai eu la confirmation tout à l'heure quand je te baisais e ...

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