Durant les quelques jours qui suivirent, je ne vis plus ma charmante complice et constatais que les volets de sa chambre étaient fermés. J'en déduisis qu'elle devait être absente. J'avoue que cela avait à la fois un côté frustrant mais aussi particulièrement excitant. Chaque matin je guettais la façade, espérant apercevoir ma belle déambulant à moitié nue. Le jour tant attendu arriva enfin, un matin, alors que je regardais dans la direction de sa chambre, les volets étaient ouverts et cette femme dont je ne connaissais toujours pas le prénom était bien là, vêtue d'une nuisette transparente de couleur violette. Elle s'approcha de la vitre et la simple vue de son corps magnifique fît monter en moi une chaleur incroyable. Elle m'aperçut et me fit un signe de la main, un large sourire au visage comme si elle devinait que son absence avait décupler mon envie d'elle. Elle pointa un doigt en direction d'une zone arborée en lisière de l'enceinte militaire. J'avais été courir deux ou trois fois dans cette petite forêt et me souvenais avoir pensé que ce serait un endroit parfait pour un rendez-vous coquin. Je la vis quelques instants plus tard, passer devant mon algéco. Elle portait une petite robe courte d'été à motifs colorés dans des tons beige. Sa démarche féline faisait virevolter le tissus dans un mouvement gracieux et terriblement suggestif. J'attendis une minute ou deux et me dirigeais à mon tour en direction du petit portail qui donnait accès à la forêt. J'avais pris un pantalon de toile blanche légère sans caleçon et une chemisette bleue. Je l'avais perdu de vue et ne la vis pas sur le chemin principal. Alors que je marchais, je constatai la présence d'un foulard accroché à une branche à l'entrée d'un chemin très étroit, partiellement obstrué par les branchages. j'écartais la végétation et m'engageais sur la piste. Je notais que l'odeur de son parfum flottait dans l'air et je suivis la piste olfactive. Une cinquantaine de mètres plus loin je débouchais sur une petite clairière totalement vide. J'entendis alors sa voix, provenant d'un bosquet particulièrement discret. Je rejoignis la belle dans sa cachette. sa robe était si légère que je n'eus aucun mal à deviner qu'elle ne portait rien dessous. je m'approchais et pour la première fois nos lèvres se mêlèrent. ce fût un moment divin. je me trouvais en érection en un temps record. Elle le sentit, détacha ses lèvres des miennes, plongea son regard dans le mien et dit simplement: - Je vois que je t'ai manquéElle se mit alors à genoux et ouvrit la braguette de mon pantalon. Constatant que je ne portais rien en dessous elle ajouta. - C'est très bien ça, on gagne du temps et j'avoue que ça me plaît bien, j'aimerais que ça devienne une habitude quand on est ensemble. Elle se mit à caresser lentement mon sexe tout en donnant de tout petits coups de langue avant de l'avaler presque entièrement. Elle fit glisser mon pantalon à mes pieds et tout en me procurant un plaisir fou avec sa bouche se mit à explorer mes fesses avec ses mains. Tantôt elle caressait du bout des doigts ...

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