Fuite d’eau ! Après mon CAP, il m’a fallu trouver un emploi en attendant l’armée. Ne voulant pas faire de déplacements pour des raisons sportives, je me suis contenté d’un travail de magasinier vendeur dans un petit commerce. Le patron Gilbert était un petit homme bedonnant bien sympathique, âgé de la soixantaine. Marié à Gina, une belle femme d’origine Italienne plus jeune que lui de quelques années, elle venait quelquefois au magasin. A chaque visite, elle m’impressionnait par sa classe et sa beauté, elle représentait pour moi la bonne bourgeoise mature ! Je ne manquais pas d’imaginer son mari la chevauchant, elle, la jument nerveuse ! Comme chaque année, dès les fêtes passées le moment était venu de procéder à l’inventaire du magasin. Le jour choisi était bien sûr le Lundi, jour de fermeture. Nous arrivions dès sept heures pour une longue journée. Il y avait bien sûr un bon petit déjeuner qui nous attendait et ensuite un déjeuner d’offert façon plateau de charcuterie accompagné d’un bon vin. Les trois employés et le patron pouvaient s’attaquer au stock et étagères, vraiment de l’épicerie pour une quincaillerie. Vers dix heures, le téléphone sonne une nouvelle fois. Le patron ne répondait jamais, trop occupé à ses comptes. Mais là, il reconnu le code prévu par son épouse en cas d’urgence. Laissant son travail, il décroche. Après un long dialogue avec elle, il vient vers moi et me demande : « François, tu te débrouille bien en bricolage ? « « Oui Monsieur, pourquoi, il y a un problème ? « « Oui, une fuite d’eau à la maison, ma femme panique, peux-tu aller voir ce que tu peux faire ! Prends ma voiture, il y a ma caisse à outils dans le coffre, je préviens mon épouse qu’elle t’ouvre le portail. Tu sais ou que j’ habite ! « « Oui monsieur, ne vous inquiétez pas ! « « Si tu ne traînes pas, on te laissera de la charcuterie et du vin ! « Heureux d’échapper à la corvée de l’inventaire, je file avec la voiture du patron vers son domicile. A cet instant, je ne pouvais imaginer la suite de ma journée ! Ils habitent à une dizaine de kilomètres de Rouen dans un beau pavillon près de Boos.. Rapidement arrivé sur place, j’attends face au portail. Pas le temps de descendre de la voiture, celui-ci s’ouvre automatiquement. Je rentre donc le véhicule dans l’allée, je le gare et prends la caisse à outils. Je me dirige vers la porte d’entrée, immédiatement et apparait l’épouse du patron. « Ah bonjour François, c’est Vous qui êtes venu, j’espérai Gilbert ! « Malgré la situation, elle m’accueille avec un large sourire tout en m’invitant à la suivre d’un geste de la main. Je referme la porte derrière moi, dépose la caisse à outils et lui emboîte le pas. Je découvre la stature de ma patronne. Celle-ci est vêtue d’un peignoir satin noir. Celui-ci épouse à merveille ses délicieuses courbes dissimulées sous cette légère étoffe . « Je vous prie d’excuser ma tenue légère, j’allais prendre une douche , et je ne m’attendais pas à une arrivée aussi rapide. J’espérais que cela soit mon époux qui se déplace ! Mais voilà, il préfère son inventaire ! Allons dans le salon, nous serons plus à l’aise. A vrai dire, il n’y a pas de fuite, c’était juste un prétexte pour qu’il vienne car je m’ennuie ! « Elle m’indique la direction dans le couloir. Sur place, un fauteuil cuir m’attends, je m’y pose tandis qu’elle en fait le tour pour s’asseoir face à moi dans le canapé. Elle pousse un profond soupir. Sa poitrine se soulève sous son peignoir, attirant immédiatement mon regard. Elle semble abattue ! « C’est incroyable mon Ami ! Mon mari me laisse seule avec mon problème, tout cela pour s’occuper de son inventaire ! « Puis, énervée, elle se lève, fait le tour du fauteuil et sert deux verres de Whisky ! Elle m’en tend un et se rassied ! Mon rythme cardiaque fait un bond en voyant le haut de sa cuisse apparaître dans l’ouverture du peignoir. Je feins de ne rien avoir vu, mais je sens mon visage se réchauffer et rougir ! Assise sur le canapé, elle croise les jambes découvrant un peu plus le haut de sa cuisse. Je sens mon sexe durcir ! Soudain, la sonnerie du téléphone retentit. Elle se redresse pour saisir le combiné sur le buffet. Elle est maintenant de côté, je peux admirer la cambrure parfaite de ses seins, ainsi que le galbe de ses fesses. Elle se retourne tout en se calant debout contre le buffet face à moi. Mon regard se trouve au niveau de son ventre. Les deux pans du peignoir s’ouvrent sans qu’elle ne s’en aperçoive, dévoilant le haut de ses jambes. C’est visiblement son mari au bout du fil qui s’inquiète du problème. Elle semble occupée par la conversation. Je me contente de siroter mon verre en matant le haut de son peignoir entrouvert. Je sens soudain son regard qui croise le mien et se plante dans mes yeux ! Elle me sourit tout en continuant de bavarder avec mon patron. Alors que je détourne mon regard, elle change de position provoquant l’ouverture «accidentelle « de son peignoir. Je tente de regarder vers la baie vitrée, mais bien sûr je ne peux ignorer la superbe vue qui s’offre à moi ! Elle continue à bavarder, expliquant à son mari que je suis parti acheter un tuyau flexible pour remplacer celui qui a rompu. Elle est maintenant positionnée de côté, je peux apercevoir sa chatte épilée, qui apparaît dans l’échancrure du peignoir.Elle feint de remettre de l’ordre dans sa tenue. Pas de doute possible, elle est nue sous son peignoir. J’ai énormément chaud, une goutte de sueur perle sur mon front, alors que ma queue me fait souffrir !Elle continue de parler tout en jetant des coups d' oeil de plus en plus fréquents vers moi. Je bande comme un âne et cherche par tous les moyens à dissimuler mon érection en posant mes mains sur mon entrejambe.Elle pivote sur elle même et se rapproche de mon fauteuil. Le peignoir s’ouvre alors en grand. Je peux admirer ses jambes magnifiquement dessinées mais surtout sa chatte parfaitement épilée. Ses jambes sont écartées et me donne une vue incroyable. Je suffoque !Tout en gardant sa position, elle me jette un regard explicite ! Je ne peux laisser une occasion pareille, au risque de me faire virer ! Je me positionne face à elle entre ses cuisses grandes ouvertes ! Je ne vois que sa chatte ! Je ne réfléchis pas et irrésistiblement, mes doigts remontent à l’intérieur de ses cuisses pour venir se poser sur ses grosses lèvres luisantes d’excitation. Je caresse celles-ci sur toute leur longueur tandis que je respire à plein nez l’odeur de femelle en chaleur qui s’en dégage. Je glisse un doigt dans le sillon et le parcours lentement m’attardant sur son bouton rose. J’écarte ses grosses lèvres pour glisser ma langue dans le sillon brûlant. Son odeur me rend fou ! Je mordille son clito dressé tout en lapant à pleine bouche sa chatte béante ! Elle se trémousse de plus en plus de plaisir, tenant d’une main le combiné et passant l’autre dans ma chevelure ! Malgré cela, elle continue la conversation avec son mari. Soudain, elle se cambre brutalement étouffant un cri tout en éloignant le combiné de son visage et en se mordant les lèvres. Mes doigts poisseux de cyprine plongent au fond de sa chatte en faisant un bruit de succion. Son bas ventre tremble sous les assauts continus de ma langue. Elle ferme les yeux. « Allô, allô Gina tu m’entends ? « « Ahhh, oh ouiiiiii ne t’inquiète pas mon Chéri ça grésille ! A ce soir ! » dit-elle a son mari alors que je suis coincé entre ses cuisses ! « Elle écarte plus largement ses cuisses tout en plaquant mon visage de sa main libre contre sa moule. Elle m’intime l’ordre de lui brouter le minou plus profondément. Je ne ...
... Log in to read the end of this erotic story | 100% free registration
This site is reserved for a MAJOR public. It contains images and texts of a sexual nature that may offend certain sensibilities. Please leave if you are a minor.
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Yes, I am over 18 years old ! No, I'm a minor