En ce temps j’étais en travesti.Juste après manger je me connecte sur internet et je suis réclamée par un bordelais qui me demande si je suis libre « maintenant ». Je suis seul à la maison, « OK mais il faut que je prépare où veux-tu que l’on se rencontre ? » « Viens chez moi » Je suis très rarement invité chez un inconnu surtout sur Bordeaux et j’en ai vraiment envie aussi j’accepte avec empressement. Il me donne son adresse et me décrit son fantasme (me demande par ailleurs si à plusieurs c’est possible : bien sûr !). Pour une fois la chance me sourit ; je trouve une place juste devant chez lui. Je me gare et après un dernier coup de brosse sur ma perruque, je sors de mon véhicule. Il fait bon et je porte pour la circonstance ma minijupe de jean, un bustier noir, un string, des bas noirs avec des hauts-talons, mais malgré tout, pour me protéger un peu ; un gilet. Suivant les instructions, je passe par l’entrée des véhicules et me dirige vers l’immeuble. J’avoue que je suis un peu perdu et le fait que 2 hommes soient assis sur un banc face à moi me trouble un peu, car évidemment ils me matent plus ou moins discrètement et le pire c’est qu’il me semble que l’ascenseur se trouve à côté d’eux. Je passe donc tout près et je suis l’objet de toutes leurs intentions ! Erreur : l’ascenseur est de l’autre côté ! Rapidement je retraverse l’espace et appuie sur le bouton de l’ascenseur imaginant facilement ce que doivent se dire les 2 hommes. Dans l’ascenseur une glace me revoie l’image d’une sacrée salope malgré mon gilet ! Je suis à la fois excitée et inquiète, je ne peux pas prévoir la réaction d’un résident. La porte s’ouvre arrivée à l’étage, je me retrouve dans un couloir et évidement je me dirige vers le mauvais côté et doit encore faire demi-tour. Enfin j’arrive au bon appartement. Jusque-là tout va bien. Mais au moment d’ouvrir, j’ai un doute et si c’était une blague ? Je respire un bon coup et comme prévu, j’ouvre doucement la porte. Pas un bruit, personne, je ferme la porte à clé comme convenu. Dans l’appartement, seule une porte est entr’ouverte, je me dirige vers elle et entre. Toujours pas de lumière, je quitte mon gilet que je pose sur une chaise avec mon sac près de la porte. Maintenant je vois un peu et je distingue une belle paire de fesses sur le lit. « Bonjour » Tout en m’approchant du lit je lui réponds et m’allonge près de lui. Devant son silence, je me mets à lui caresser les fesses puis tout le corps. Enfin il se retourne et je peux enfin toucher sa bite qui déjà est dure et ma foi de fort belle taille. Je commence alors à la caresser, puis le branle délicatement toujours sans un mot. Il semble apprécier le traitement et doucement je change de position et ma bouche parcoure tout son corps pour m’arrêter sur sa bite droite et tendue. Rapidement je l’ouvre grande et cette belle queue s’y enfonce imperceptiblement. Elle est bien grosse, mais cela ne m’empêche pas de la faire coulisser de plus en plus loin jusqu’au fond de ma gorge. J’avoue que j’adore sentir une bite se promener et explorer ainsi ma bouche comme elle le ferait d’une chatte. Il me fait mettre au-dessus de lui et pendant que je continue de le sucer, il s’occupe de mon cul avec délicatesse, passant sa langue partout, me donnant des frissons de plaisir. Le téléphone sonne, mon partenaire répond. J’aime quand, en bonne salope, je continue de sucer la bite d’un ami alors qu’il discute ainsi avec quelqu’un au bout du fil et même parfois son épouse. «  Oui elle est là … il est là… ha ... ok 20h30… » « Bon mon ami ne peux pas venir ... mets-toi à 4 pattes ! » Docile je me mets en position, le cul bien en évidence. Il se positionne derrière moi, je sens sa bite au bord de mon trou, je cambre les reins …et « han … »Forçant le passage, elle s’enfonce, me dilatant lentement l’anus et après quelques petits va-et-vient elle entre entièrement et commence la chevauchée fantastique maintenue par les ha ...

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