Je suis assise sur le fauteuil en cuir, jambes croisées, un verre de vin rouge à la main. La robe en latex noir colle à ma peau, si serrée que chaque respiration fait craquer le matériau. À mes pieds, mon mari est debout, torse nu, pantalon de cuir ouvert, sa queue déjà dure qui dépasse. Il a ce regard froid, carnassier, celui qu’il réserve aux jouets qu’on se partage.On sonne.Je ne bouge pas. C’est lui qui va ouvrir.Il revient quelques secondes plus tard, traînant le nouveau par le collier que je lui ai fait mettre avant même qu’il franchisse le seuil. Le mec est nu, à quatre pattes, la laisse tendue dans la main de mon mari. Il tremble. Il a le cul déjà rouge : mon mari n’a pas attendu pour lui coller une première claque en guise de bienvenue.« Regarde-le bien, chérie », me dit mon mari en souriant. « Il a pleuré dans l’entrée quand je lui ai dit qu’on allait le défoncer à deux. »Je ris doucement. Je pose mon verre, je me lève, je m’approche. Le soumis a la tête baissée, les épaules crispées. Je lui attrape les cheveux et je le force à me regarder.« Tu croyais que tu venais juste te faire dominer par une femme, hein ? Pauvre petite pute. Tu vas prendre par les deux bouts ce soir. »Mon mari tire sur la laisse pour le faire avancer jusqu’au milieu du tapis. Il le plaque au sol d’un coup de pied dans le dos. Le mec gémit, se retrouve le visage contre le parquet.« Écarte », ordonne mon mari.Il obéit immédiatement, les genoux écartés, le cul en l’air. Mon mari crache dans sa main, se branle deux secondes, puis enfonce deux doigts secs dans son trou. Le soumis pousse un cri étouffé.Je m’assois sur le canapé, juste en face, jambes grandes ouvertes. Je sors le strap-on que je portais déjà sous la robe : un noir mat, énorme, 23 cm, veiné. Je l’attache lentement pendant que mon mari continue de le doigter sans douceur.« Regarde-moi », je lui ordonne.Il tourne la tête, les yeux pleins de larmes. Mon mari retire ses doigts, attrape la base de sa queue et l’enfonce d’un coup jusqu’à la garde. Le soumis hurle. Mon mari ne lui laisse pas une seconde : il commence à le défoncer violemment, les hanches qui claquent contre son cul, chaque coup plus profond que le précédent.« Ouvre la bouche », je lui dis.Il obéit, la bouche grande ouverte, baveuse. Je m’avance, je lui enfonce le strap jusqu’à la gorge. Il s’étouffe aussitôt, les larmes coulent, mais je tiens sa tête et je baise sa bouche sans pitié, en rythme avec mon mari qui le pilonne par derrière.On se regarde dans les yeux, mon mari et moi. On sourit. On adore quand ils cassent comme ça.Après quelques minutes, mon mari se retire brutalement. Le trou du soumis est ouvert, rouge, luisant.« À toi », il me dit.Je me lève, je passe derrière. Mon mari attrape le soumis par les cheveux et le force à le sucer pendant que je m’enfonce en lui. Je pousse d’un coup sec, jusqu’au fond. Il hurle autour de la queue de mon mari.On le prend en sandwich, sans pause, sans douceur. Je sens mon mari jouir le premier : il grogne, plaque la tête du mec contre son bas-ventre et se vide dans sa gorge. Le soumis avale en hoquetant, les yeux révulsés.Je continue. Plus fort. Plus profond. ...

... Log in to read the end of this erotic story | 100% free registration