Il y a deux ans, en déplacement la semaine, je louais un appartement dans une résidence privée d'Aix-en-Provence. Je faisais souvent des passages au Xcenter de Plan-de-Campagne pour me faire défoncer ou chez une trans de Marseille au sexe épais et délicieux. J'avais un plan en tête que je souhaitais réaliser : me faire baiser en tenue de pute dans mon appartement.C'est sur les lieux de drague que j'ai mis en œuvre mon projet. Je trouvais un actif dont la taille de la bite, 18x6, me convenait parfaitement. Pompier, la trentaine, actif et endurant d'après sa fiche : tout ce qu'il fallait. Après plusieurs échanges, le poisson était ferré et je m'attendais à être bien secoué.Le jour J, à H-1, je me prépare : hygiène parfaite et tenue body + bas wetlook avec petit string assorti. Parfaitement épilé du dos, des fesses et du sexe recto verso, en levrette l'image sera parfaite. Je reprends contact en MP sur le site, il est toujours ok. Je lui donne l'adresse, une fois devant l'immeuble je le guide : ascenseur, couloir, la porte est entrebâillée. Il la pousse... comme dans le scénario je suis à genoux derrière la porte, je l'attends.Il est conforme à la description. Un petit bonjour, il ferme la porte et ce que je vois du gonflement de son jean... je vais déguster. Je défais ceinture et braguette, je sors son sexe gonflé de son boxer, baisse l'ensemble et commence à le sucer. Il est large comme je les aime, dur comme du bois, loin des bandes molles trop souvent rencontrées. Son gland est épais et propre. Je me régale à le pomper, il gémit et me prend la tête. J'accélère la cadence.Cette bite au fond de ma bouche me fait moi aussi bander comme un fou. Je ne m'arrête pas pendant au moins 10 min. Puis il me dit qu'il veut maintenant me baiser comme une chienne. Je me relève et sors avec lui du hall d'entrée pour aller au lit. Il me trouve très sexy dans ma tenue de salope et sa queue semble confirmer son appréciation.Je m'allonge sur le ventre au bord du lit, m'enduis de lubrifiant, m'enfile trois doigts pendant qu'il me regarde et met une capote. Il me gratifie de mots sympas : « Tu es une vraie pute », « tu as un cul d'enfer que je vais déboîter », « j'aime bien ce look », « salope ». Puis ça y est, il s'approche de ma rondelle dilatée. Il poi ...

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