... j'ai déjà fait tomber mon verre, les hommes ont posé le leur et sont tous à s'affairer autour de moi, sommes tous debout. Bernard a déclenché la bascule de cet apéro vers autre chose. Les chemises sont plus entrouvertes, les queues sont toutes sorties, ils me touchent, me palpent, m'évaluent. L'odeur de sexe est là, je suis en sueur. Mes 2 mains sont guidées, dirigées, maintenues sur des queues, ils impriment le mouvement, ils se branlent frénétiquement avec mes mains, les souffles sont rauques, la bestialité s'installe, elle monte, les mains deviennent plus assurées sur moi, les doigts en moi. Mon chemisier a été totalement écarté, ouvert. Mon soutien-gorge noir en tulle a été tiré sous mes nichons dont les bouts sont tendus, ma jupe est sur mes hanches, mon shorty légèrement écarté pour dégager ma raie et ma fente trempée.Bernard me saisit par le haut de ma jupe : "On va changer de pièce ! On sera mieux ! Viens par là toi", il me tire un peu par la jupe pour aller vers une autre pièce , la lumière est plus tamisée, je traverse la pièce, entrainée, suivie de près, des mains au cul, mes seins qui ballottent très lourdement a chaque pas. Pour entrer dans cette pièce, sans meubles, quelques chaises, un grand matelas au sol, des bouteilles d'eau, des capotes, du gel, ... Sans être douteux, quoique, le matelas n'est pas de toute première jeunesse et je ne suis surement pas la première à découvrir cette pièce et ce matelas.Bernard m'entraine au plus près du matelas, il me retire complètement mon chemisier, il tire sur ma jupe d'un coup sec vers le bas et me la retire totalement, je suis debout, en soutif débraillé et mon shorty écarté sur une fesse, obscène! Les autres hommes se sont déshabillés totalement, ils sont tous tendus à mort, des queues veinées, épaisses, de lourdes couilles, deux portent des cockrings. Bernard m'entraine au milieu du matelas, appuie sur mes épaules, je me retrouve a genoux sur le matelas, de son pied il me pousse le genou pour que je sois plus écartée, plus ouverte. Il me murmure à l'oreille : "Garde tes mains dans le dos, c'est mieux de les laisser faire.", puis en riant grassement : "Honneur aux invités, si vous voulez bien vous donner la peine !". Un des premiers s'approche de moi, sa bite tendue à la main, il la branle un peu. "Mais avec grand plaisir je vais me donner la peine… rebonjour Martine donc", il attrape mes cheveux à l'arrière de la tête, me tire vers lui et me colle le visage contre lui, contre sa bite, il me frotte un peu la figure, puis tapote mes joues, mon front avec sa queue, il descend et frotte mes lèvres avec son gland, plus fortement. "Une autre façon de dire bonjour, ouvre ta bouche Martine, ouvre bien" , j'entrouvre ma bouche et il insinue son gland dans ma bouche, il lâche sa bite et prend ma tête avec ses 2 mains, il lâche un son rauque en rentrant un peu plus sa queue dans ma bouche. Il commence un vas et viens lent en tenant bien ma tête. A genoux sur ce matelas, je sens d'autres mains qui viennent sur moi, qui me palpent, me pétrissent les nichons, des mains qui passent sous moi, des doigts qui entrent dans ma fente, d'autres qui cherchent déjà mon trou du cul. Ma bouche commence a être envahie de plus, plus loin, plus fort. Je peine a trouver mon souffle. Les commentaires vont bon train : "Hey, les mecs, elle est trempée", "tu avais raison Bernard, elle est bien serrée du trou du cul" les rires sont gras. Les commentaires excitent celui qui me prend la bouche : "je peux vous dire que sa bouche est bonne, on est très bien dedans." ces mouvements deviennent plus forts, il va plus loin dans ma bouche en me tenant la tête assez fort, son gland bute contre le fond de ma gorge. Par réflexe je pose mes mains qui ses cuisses pour qu'il n'aille pas plus loin. Il relâche un peu et revient buter sur le fond, un peu plus, je sens qu'il s'excite, devient plus ferme, plus dur. Planté dans ma bouche, il bouge son bassin, de gauche a droite, de bas en haut, son gland bute, je me raidis, j'essaye de repousser, il me maintient, me tient. Il relâche a nouveau pour pousser de plus belle son gros membre dans le fond de ma gorge encore plus fort, plus insistant, je sais qu'il cherche le passage pour forcer ma glotte qui résiste et pour s'enfoncer. "Relâche-toi salope, relâche-toi"… (si je pensais que ca allait être en mode gros câlins gentils, c'est raté ! Sourire.) … impossible de me relâcher, le réflexe de serrer est bien là, de m'agripper a ses cuisses pour repousser. Je n'arrive déjà plus a respirer, je cherche de l'air. Il ressort complètement, j'en suffoque, j'ai juste le temps de reprendre ma respiration, qu'il replonge, en appuyant plus fort contre ma glotte. Les autres continuent de me peloter, de me doigter de plus en plus. "Visiblement, il n'y a pas que son cul de serré, sa petite gorge aussi", ils éclatent de rire. Bernard dit à mon envahisseur de gorge : "tiens la bien, la lâche pas, ça va finir par passer" , ca l'excite encore plus, il accentue des mouvements de bassin en appuyant sur ma nuque, il bute encore plus au fond de ma gorge, je tape sur ses cuisses. il s'en fout royalement., Il appuie, il force, il biaise, il cherche un angle, je résiste, je résiste et ma gorge lâche d'un coup, son gland passe ma glotte, il est d ...
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