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Surprise par mon collaborateur (3)

Publié par : tinamax le 15/08/2024

Après cette soirée peu ordinaire, je me suis levée le lendemain matin très amusée et en même temps très soucieuse de cette incursion d'un collaborateur dans ma vie privée de lopette. Pourtant, après une douche et une toilette très soignées, j’ai enfilé ma lingerie avec plaisir comme tous les jours de travail. Un discret caraco noir en satin et dentelle, un porte jarretelle Cervin noir et des bas coutures capuccino, puis une culotte bloomer tout en dentelle. Je me suis glissée dans un pantalon de costume noir qui me permet de faire illusion tout en appréciant la délicate sensation du nylon et de la dentelle en dessous. En général les fins de journées en voiture voient pantalon et mocassins remplacés par une petite jupette et des talons mais là pas question… en principe. Je mets une chemise de couleur sombre puis la veste pour rejoindre la salle de petit déjeuner du Mercure de Brignoles. J’y retrouve mon collaborateur/amant souriant. Nous échangeons des banalités, pas d’allusion à la soirée mais des coups d’œil de temps en temps avec un sourire quasi imperceptible. Je suis intérieurement flattée et sent déjà des gouttes imprégner ma petite culotte. Nous décidons d’utiliser une seule voiture pour rencontrer le client principal en fin de matinée puis déjeuner avec lui sur Mandelieu. Lorsque nous rejoignons nos chambres respectives avant le départ, Jean Pierre me glisse « ajoute un sac a main on sait jamais…Tina. »Je passe à la chambre et ajoute un sac à main large pour y loger mes affaires. Perruque brune courte, escarpins beige verni et robe cérémonie fluide mauve moulante et dos nu (avec ma veste de costume homme ca fera très « working girl » me dis je). J’ajoute mon parfum, mes lunettes fumées très salope BCBG un fond de teint, rouge à lèvre et fard à paupières. J’hésite pour un plug mais cela risque d être long alors je ne prends qu’un lubrifiant et des capotes. Je suis passager homme mais dès le départ des pensées folles courent déjà dans mon esprit. Je tente de dissimuler l’espace entre pantalon et chaussure pour éviter qu’il ne remarque la finesse des bas mais je pense que c’est peine perdue, le garçon est observateur, intelligent et pas gêné pour mater. De plus, le haut des cuisses laisse apparaître une jarretelle au travers du tissu du pantalon (j’adore ca mais bon). Bien que je sois grande il est plus massif, masculin bref plus viril…Je jette, à la volée, un regard sur cette bosse à l’entrejambe que je désire déjà prendre à pleine main avant de baisser sa braguette mais je dois probablement patienter…La journée de travail se passe bien, nous sommes en phase sur les sujets professionnels et chacun fait preuve d’efficacité pour expédier les dossiers. Vers 18h nous reprenons la route du retour pour une heure d’autoroute environ. La fin de journée est douce et ensoleillée parfait pour une soirée « romantique » … Je suis habituée des aires d'autoroute. A vrai dire, j’y passe une grande partie de mon temps de travail mais surtout je peux devenir bourgeoise élégante en jupe rapidement. Un hôtel comme le Mercure de Brignoles me permet d’arriver jusqu’au pied ma chambre en femme ou d’en repartir (Les Campaniles sont bien aussi mais pour une bourgeoise salope je préfère le Mercure qui est sur un golf). Cette fois, c’est Jean Pierre qui toujours au volant décide de mener le jeu. « On s arrête sur la prochaine aire comme ça tu vas te mettre à l’aise ? » me demande t il, « c’est peut être pas une bonne idée, hier soir devrait être une exception à oublier, non ? » demandais-je d’un air peu convaincu ; « on essaye pour rigoler un peu et promis je te dépose devant ta chambre dans une heure ! » s’enthousiasme t il. Nous arrêtons à l’aire du Reyran que je connais bien et l’Audi break noire s’arrête devant les WC à porte automatique. Jean Pierre me rassure « Je t’attends là, prends ton temps et reviens en miss, si tu le sent pas on rentre, y aura pas de souci » Rassurée je sors avec mon sac de fille, mon téléphone portable et m’engouffre dans le WC Femmes/Handicapés plus grand et avec un miroir ! Mon excitation est à son comble, malgré ma peur j’oublie les risques avec ce pervers! Des routiers sont garés plus loin côté camion, l’air est frais en octobre et les jours sont plus courts dans deux heure il fera nuit alors j’ai très envie d’être belle et que l’on me regarde avec désir.Je me débarrasse rapidement du pantalon et commence à me maquiller en simple caraco et robe, les chaussures à talons me donne un joli cul que je découvre dans le miroir avec délice. J’ai la trouille au ventre et le sentiment de prendre un sacré risque mais le plaisir est le plus fort et ma perruque achève enfin la transformation. J’enfile la veste et déverrouille le cœur battant la porte, je prépare ma sortie en guettant le moindre bruit de pas. Rien. Je sors et cherche des yeux la voiture… qui n’est plus la !Affolée, je parcoure les environs des yeux et distingue enfin le break noir côté routiers et assez éloigné des sanitaires. Il veut jouer et profiter de la situation en m’exposant à la vue des routiers qui sont, dès lors, aux premières loges. Je décide donc de rejoindre l’autre extrémité du parking (pas très loin en fait mais a la merci des regards car on est encore en plein jour). Ma robe légère flotte au vent, je ressens le crissement des bas à la marche et les talons claquent à chaque pas ! Je vois qu’il mate dans la voiture, vitre ouverte, une cigarette aux lèvres, un dominant quoi… Lorsque je ne suis qu’à quelques mètres, je distingue clairement qu’un routier me mate aussi de sa cabine, il est bien placé pour me voir jusqu’à ma montée dans la voiture. Je m’approche de la porte conducteur qui est désormais ouverte et lorsque je contourne celle ci j’aperçois Jean Pierre assis au volant qui a entrouvert son pantalon et qui se masturbe lentement, de façon provocante, sa bite est déjà volumineuse, superbe avec ses grosses veines gonflées et un gland de fort belle dimension qui brille déjà de liquide séminal. Secrètement je n en avais pas tant espéré mais j’avoue que c est un garçon très bien monté. La suite ne se passe pas comme prévu, il me dit assez fermement de poser mon sac et ma veste en voiture puis de retourner lui chercher un café ( cette aire d autoroute possède un distributeur de boisson en libre service). Cette fois je commence vraiment à m’inquiéter car en robe mauve décolleté je vais vraiment ressembler à une pute qui tapine ! Et en plus je n’ai plus la sécurité de me rhabiller en mec si un problème survient !Je rentre dans le jeu et repars cette fois dans l autre sens avec la sensation d’être en train d’allumer tous les hommes présents sur l’aire de repos. Ce qui devait arriver survient, lorsque je suis devant la machine a café avec mon portable pour payer, un routier est en chemin vers moi à cinq mètres. Sous mes lunettes fumées, je distingue le (plutôt) beau male qui me matait de sa cabine. La quarantaine, costaud, en short qui s’approche et qui est désormais derrière moi. Jean Pierre ne peux nous voir mais a très intelligemment joué le coup en se trouvant opportunément un complice. Personne sur la zone des WC et café en cette fin de journée ce qui est très rare et ne devrais pas durer. Alors que je prends le café, l’homme se place dans mon dos et me dit tranquillement « bonsoir vous êtes ravissante » juste avant de me peloter ! Je sent alors une main me caresser la croupe, ausculter des doigts l’emplacement de ma culotte, effleurer au travers de la viscose le porte jarretelle, s'ar ...

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