L’après-midi baignait la villa d’une chaleur vibrante, propice aux plaisirs qu’ils allaient découvrir ensemble. La villa, appartenant à Maxime, était nichée dans les collines, entourée de végétation luxuriante et isolée de tout voisinage. Maxime avait soigneusement préparé l’endroit pour accueillir Léa et Charles, leur offrant un cadre parfait pour explorer leurs fantasmes.Ce jour-là, le soleil brûlait haut dans le ciel, et les rayons caressaient la peau nue de Léa, qui, à l’aise dans sa féminité, savourait chaque seconde de cet après-midi naturiste. La villa, avec sa grande piscine étincelante et ses vastes terrasses, était un véritable sanctuaire de liberté et de sensualité.Installée près de la piscine, Léa étira son corps, fermant les yeux, sentant les mains de Maxime — leur hôte et partenaire pour le week-end — glisser sur ses hanches, ses caresses douces mais audacieuses éveillant chaque fibre de son corps. Charles, quant à lui, s’était installé un peu plus loin, savourant chaque moment avec une excitation palpable, son regard avide observant chaque détail, chaque frémissement de plaisir sur le visage de sa femme.Maxime, attentif, s’agenouilla devant Léa, posant doucement ses lèvres sur sa peau, descendant lentement, explorant chaque courbe, chaque creux. Léa, allongée, lui offrait son intimité, et il se mit à la goûter avec une dévotion et une habileté qui la firent immédiatement frémir. Ses mains agrippaient les draps alors que Maxime s’appliquait avec intensité, ses mouvements précis, alternant entre douceur et audace, la menant lentement mais sûrement vers un plaisir d’une rare profondeur.Un premier orgasme monta en elle, fulgurant, l’emportant dans une vague de chaleur et de plaisir qu’elle n’avait jamais ressentie auparavant. Mais Maxime ne s’arrêta pas là. À chaque vague de plaisir qui la traversait, il redoublait d’attention, enchainant les caresses et les baisers pour lui offrir encore plus. Deux autres orgasmes suivirent, chacun plus intense que le précédent, jusqu’à ce que Léa, essoufflée et totalement abandonnée, se laisse aller complètement.Alors, sentant la tension monter, Maxime se redressa ...

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