Ce vendredi après-midi, à Nice, je rentre chez moi, l’estomac noué par un message troublant de ma femme, Clara. Son texto sibyllin sur notre vie intime me hante. Incapable de bosser, je file sous la douche, attrape une bière et m’affale sur le canapé. À 16h, Clara franchit la porte, visiblement surprise. « T’es déjà là ? » Je lui explique mon trouble, et elle me promet une discussion après sa douche.Quand elle revient, en peignoir, elle s’assoit face à moi, ses yeux brillants. « Jules, notre vie sexuelle s’essoufflait, tu l’as senti, non ? J’ai cherché des idées sur le web : trios, bisexualité, cocufiage… Ça m’a excitée. Souviens-toi, ce dimanche où t’es rentré de ta soirée avec les potes. Je t’ai plaqué au lit, sucé les tétons, doigté le cul, puis baisé avec mon gode. T’as joui dans ma bouche, et j’ai vu que t’adorais ça. » Ma gorge s’assèche, ma queue durcit. Elle continue : « J’ai voulu te voir avec un mec. On a choisi Benoit ensemble. Et après cette nuit où t’étais travesti chez lui, j’ai kiffé le voir me baiser. Je suis en contact avec lui, mais c’est purement sexuel. Toi, je t’aime. »Soulagé mais jaloux, je confesse : « J’ai aimé me travestir, sucer, me faire prendre. Mais te savoir seule avec Benoit m’a rendu fou. Je veux pas te perdre. » Elle me saute dessus, m’embrasse sauvagement. « On continue avec Benoit, mais je te raconte tout, OK ? » J’accepte, et on s’endort, enlacés.Le lendemain, nos messages s’enflamment comme des ados. Ce soir-là, Clara, en lingerie rouge, me plaque contre le mur après ma douche. On s’embrasse, elle me suce, doigte mon cul. Puis, à quatre pattes, elle me supplie de l’enculer. Je la prends violemment, jouissant en elle en quelques minutes. Après dîner, elle lance un porno bi. Elle m’enduit la rondelle de lubrifiant, me doigte, puis me suce jusqu’à l’extase. On s’écroule, comblés.Samedi, au petit-déj, son téléphone clignote. Je vérifie : Benoit insiste, mais elle l’ignore. Rassuré, je propose une balade. En marchant, Clara me raconte son escapade au club libertin avec Benoit. « Il m’a convaincue d’y aller. Ambiance chic, musique douce. On a bu, discuté avec un couple d’habitués. Au sous-sol, c’était chaud : un lit rond avec cinq personnes en train de baiser, un gloryhole avec un travesti qui suçait, une salle BDSM avec une femme fouettée et un mec en cage de chasteté enculé. Ça m’a fait penser à toi, j’étais trempée. Sur un canapé, j’ai sucé Benoit, puis le mari du couple. Sa femme a pris Benoit en bouche, il a joui vite. J’ai branlé Benoit tout en suçant l’autre, qui a fini dans la bouche de sa femme. Puis Benoit m’a prise en levrette, devant deux mecs qui se branlaient. J’ai joui comme jamais. »Excité, je l’embrasse. « On y va aujourd’hui ? » Elle sourit, acquiesce. Au club, l’ambiance est électrique. Un jeune couple, Léo et Manon, nous aborde. Léo, effém ...

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