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Marie-Chantal 1

Publié par : anna72 le 18/01/2020

Bonjour à toutes et a tousJe vous présente tous mes meilleurs voeux pour cette année 2020 et vous souhaite beaucoup de rencontre.A cause de mes problèmes de santé, je passe occasionnellement sur le site, aujourd'hui j'espère faire plaisir à tous ceux qui me réclament des récits depuis longtemps, donc voici Marie-Chantal, soyez nombreux à lire cette fiction et surtout pensez à votezAllez bonne lecture et bises à tous PREAMBULEMariée depuis plus de 10 ans avec un homme dix ans plus âgé que moi, ma vie est devenue un enfer à cause de ses addictions aux jeux d’argent et un gros penchant pour l’alcool.Une nuit pendant laquelle il était sorti pour retrouver ses copains et faire la fiesta comme à son habitude, je suis réveillée par des éclats de voix et des rires bruyants.Je tends l’oreille et reconnaît la voix de mon mari, qui quand il est ivre parle fort, idem pour ses copains, la discrétion n’est pas de mise quand ils ont bu.Je regarde le réveil qui affiche 3h30, furieuse d’être ainsi réveillée par cette bande d’ivrogne, je sors de mon lit et comme je dors nue, j’enfile ma chemise de nuit et vais retrouver ces joyeux drilles pour leur dire ma façon de penser.- Ça ne vous dérange pas de réveiller les gens qui dorment « bande de boit sans soif » Hurlé-Je- Oh ! Excuse nous de t’avoir réveillée Marie-Chantal, c’est vrai qu’on a un peu bu et qu’on parle fort. Me répond Jean, un homme célibataire de trente-cinq ans, bâti comme une armoire à glace.- WHAOU !!! S’exclame William un homme de trente ans divorcé parce que sa femme n’a pas accepter la vie de débauche de son mari et à préférer mettre fin au cauchemar qu’il lui faisait vivre. - Tu es super belle en colère Marie-Chantal, si tu savais l’effet que tu me fais de te voir comme ça dans ta petite chemise de nuit.Puis il regarde en direction de sa braguette en disant - Coucher toi grosse vilaine va ! Ce qui fait éclater de rire toute cette bande de pochtron- Tu es toujours aussi spirituel toi. Dis-toi que ce que tu vois n’est pas pour ton serin, OK ! Lui dis-je- Pédro un homme de 32 ans, une masse taillé en V avec une encolure de taureau mais plutôt petit intervient et me dit- Allons calme toi Marie-Chantal, on s’excuse de t’avoir réveillé, mais tu nous connais quand on est parti en fiesta, on n’a plus de limite, je te promets qu’on va faire attention maintenant.- Vous avez intérêts à ce que je ne vous entende plus, sinon je vous fous dehors. Crié-jeMais Robert un gros con pour qui les femmes ne servent qu’à faire des mômes et les torcher, faire le ménage, la bouffe et écarter les cuisses quand Monsieur a envie de se vider les parties intimes, et surtout qui n’ont que le droit de se taire et d’obéir, prend mon mari Gérard à parti. - Géjé ! Je ne comprends pas comment tu peux supporter que ta grognace te parles comme çà ? Si la mienne me parlait comme çà devant mes potes, je lui filerais une rouste qu’elle ne serait pas prête d’oublier pour lui apprendre le respect et l’obéissance.Et puis je ne supporterais pas non plus, qu’elle se pointe le cul à l’air devant mes potes.Gégé va pour répondre mais je ne lui en laisse pas le temps- Ecoutes moi bien toi le gros macho, ici je suis chez moi, cette maison m’appartient à moi et pas à Gégé, alors la patronne ici c’est moi. Je ne suis pas ta femme et je plains la tienne de vivre avec un gros con comme toi, la pauvre, j’espère qu’un jour elle va réagir et se tirer.Maintenant si ma façon de vous parler parce que vous m’avez réveillé à 3h30 du matin ne vous convient pas, la porte est derrière OK ! Quant à tes réflexions a deux balles tu te les colles où je pense, et si le fait que je sois en chemise de nuit te dérange, je m’en fous comme de mes premières règles, je suis chez moi et je ne pense pas qu’un seul de vous puisse dire qu’il voit mon cul, cette chemise m’arrive à mi-cuisses, alors moi je te le dit, tu fermes ta grande gueule ou tu dégages !!!Ce gros con montre du doigt mes tétons qui pointent et dit - Fais quand même attention tu as les clous qui sortent de la planche, ne crève pas un œil à quelqu’un.Ce qui déclenche un rire collectif de cette bande de cons- Tu es vraiment très drôle, mais apparemment ça te fait rêver si j’en crois la bosse que je vois au niveau de ta braguette. Lui dis-jeGéjé je pense qu’il va falloir qu’on est une discussion toi et moi, mais pour l’instant je vais me coucher, je suppose que vous allez jouer aux cartes et picoler jusqu’au matin, alors tu es prévenu, si je vous entends à nouveau, je vous fous dehors, sur ce Bonne nuit.Je tourne les talons et retourne à ma chambre. CHAPITRE 1Des voix et des rires me réveillent de nouveau, je pense d’abord que je rêve, mais je m’aperçois très vite qu’il n’en est rien, et qu’il y a du monde dans ma chambre, j’ouvre un œil et regarde le réveil qui cette fois indique 5h00, je me tourne les yeux collés par le sommeil, essayant de me réveiller et j’aperçois les copains de Gégé au pied de mon lit.Ils ont tiré la couette et sont-en train de me mater et rient des commentaires qu’ils font sur mon corps complètement nu. Je me recouvre et furieuse leur dit- Putain de merde, qu’est-ce que vous foutez dans ma chambre, ça fait combien de temps que vous êtes là à me reluquer bande de dégueulasses. Foutez-moi le camp bordel ! Il est où Géjé ?C’est le fameux Robert qui me répond- Ton Géjé, il cuve sur le canapé.-Barrez-vous maintenant et vite ! Criée-je- Pas question, ton mec n’avait plus ce qu’il fallait pour miser, alors il t’a joué toi, malheureusement pour lui, il a perdu et personnellement moi je compte bien être payé.Donc pour résumer çà fait bien dix minutes qu’on te regarde dormir en matant ton gros cul, et je dois dire que çà ma coller une gaule, je te dis même pas.Alors maintenant tu vas sortir ton gros fion de ton plumard et te mettre au boulot pour nous vider les burnes.Ce disant il retire brutalement la couette et m’arrache des cris de douleur en attrapant tout aussi brutalement le dessus de ma chevelure, puis il me tire par les cheveux et me force à m’assoir sur le bord du lit.Il ouvre sa braguette et sort sa queue déjà bien raide- Suces moi et bien Me dit-il- Tu crois à la mouche qui pète. Lui répondis-jeIl essaie de me forcer à le sucer, mais à chaque fois je tourne la tête, ce qui l’énerve vraiment, fortement agacé il devient encore plus violent.Tout en me tenant par les cheveux, il me gifle violemment à plusieurs reprises, me traite de grosse truie et jure qu’il va bien finir par me « Fermer ma grande gueule » en me faisant bouffer sa queue.Après avoir tenté de me fourrer sa bite dans la bouche à maintes reprises, il s’énerve et m’envoie un coup de poing à la pointe du menton qui me met KO net.Quand je reprends mes esprits je suis nue sur mon lit, couchée sur le dos et mes mains sont attachées sous mes genoux avec la ceinture de mon peignoir.Cette position est très inconfortable et je ne peux rien y changer.Au bout d’un moment les mecs reviennent.- Alors les mecs vous voyez bien, qu’elle était juste KO. Dit Robe ...

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