J'ai rencontré cette femme nous l'appellerons Isabella lors d'une soirée dans un bar alors que je buvais un vers après le boulot, nous avons assez bien discuté elle est moi et elle était très entreprenante je vais vite comprendre que j'aurai du savoir a quoi m'attendre. Elle me donna rendez vous chez elle et c'est la que je commence mon histoire. bonne lecture.Le salon baignait dans une lumière dorée, filtrée par les rideaux de soie qui ondulaient légèrement sous l’effet d’un courant d’air. Les murs, peints d’un gris profond presque noir, absorbant les sons, créant une atmosphère à la fois intime et oppressante. Au centre, un canapé en cuir noir, froid et lisse sous mes doigts, trônait comme un autel dédié à des rites que je ne connaissais pas encore. C’est là qu’Isabella m’avait conduit, après m’avoir déshabillé avec une lenteur calculée, comme si chaque bouton de ma chemise, que la boucle de ma ceinture, était un obstacle à sa patience.Je me tenais nu, les pieds nus enfoncés dans l’épaisse moquette beige, les bras ballants le long de mon corps. La honte aurait dû me submerger, mais quelque chose dans son regard ce mélange de froideur et de curiosité m’avait figé sur place. Elle était adossée contre le bureau en acajou, les bras croisés sous sa poitrine, vêtue d’un corset en cuir noir qui moulait ses courbes comme une seconde peau. Ses bottes en cuir verni montaient jusqu’à mi-cuisse, et le claquement sourd de ses talons sur le parquet résonnait chaque fois qu’elle bougeait. Dans sa main droite, une cravache fine et souple, qu’elle faisait glisser entre ses doigts avec une nonchalance terrifiante.« Tu trembles. » Sa voix était basse, presque amusée, mais sans chaleur. « C’est normal. Tu n’as jamais été à ta place ici. »Je n’eus pas le temps de répondre. Un mouvement sur ma gauche attira mon attention : un homme, assis dans un fauteuil en velours bordeaux, les jambes écartées. Il portait un costume trois-pièces, mais sa cravate était dénouée, son col ouvert. Ses doigts, épais et pâles, serraient le bras du fauteuil comme s’il avait peur de se lever. Ou comme s’il attendait qu’on lui donne la permission. Entre ses cuisses, son érection tendait le tissu de son pantalon, visible, imposante. Il ne me regardait pas. Ses yeux étaient rivés sur Isabella, comme s’il attendait un signal.« À genoux. »L’ordre tomba comme un couperet. Je sentis mes genoux flageoler avant même d’obéir, et je m’affalai sur la moquette, les paumes à plat contre le sol. Le contact rugueux sous mes genoux me rappela brutalement ma nudité, ma vulnérabilité. Isabella s’avança, ses bottes frôlant mon épaule avant de s’arrêter juste devant moi. Je levai les yeux, et elle inclina la tête, un sourire en coin étirant ses lèvres rouges.« Tu vas sucer sa queue. Pas parce que tu en as envie» elle laissa traîner la cravache le long de ma joue, et je frissonnai «mais parce que je te l’ordonne. Et tu vas le faire bien. Sinon…» La cravache s’abattit sur mon épaule avec un clac sec. La douleur fut brève, nette, comme une morsure. « Tu comprendras ce qui arrive aux garçons désobéissants. »Je hochai la tête, la gorge serrée. L’homme dans le fauteuil émit un grognement sourd quand Isabella fit un geste vers lui. « Allez, montre-lui. » Il se leva enfin, défit sa ceinture avec des doigts maladroits, puis laissa tomber son pantalon. Son boxer suivit. Son sexe jaillit, épais, veiné, la peau tendue sur une érection qui semblait douloureuse. Le gland luisait déjà, une perle de précum accrochée à la fente. Mon estomac se noua. Je n’avais jamais fait ça. Pas comme ça. Pas sous les ordres de quelqu’un.« Ouvre la bouche. »Je m’exécutai. Mes lèvres tremblaient. Isabella posa le bout de sa botte sur ma nuque, m’enfonçant légèrement vers l’avant. « Plus grand. » J’obéis, la mâchoire ouverte, la salive s’accumulant sur ma langue. L’homme s’approcha, son sexe à quelques centimètres de mon visage. Je sentis son odeur musc, sueur, quelque chose de plus âcre, animal. « Lèche d’abord. » Je sortis la langue, timide, et passai un coup sur la longueur de son shaft. Il sursauta, un frisson parcourant son corps. « Encore. »Cette fois, je pris mon temps. Je fis tourner ma langue autour du gland, recueillant le goût salé de son excitation. Ses doigts s’enfoncèrent dans mes cheveux, me guidant, m’encourageant. « Comme ça… putain, oui. » Sa voix était rauque, brisée. Je le pris dans ma bouche, lentement, sentant le poids de son sexe sur ma langue, la chaleur de sa peau contre mes lèvres. Isabella observait, immobile, la cravache pendant le long de sa cuisse. « Plus profond. » Je m’exécutai, avalant un peu plus, jusqu’à ce que le gland frôle le fond de ma gorge. Je toussai, les yeux larmoyants, mais elle ne me laissa pas reculer. « Respire par le nez. »Je m’adaptai. Mes mains, posées sur ses hanches, le tiraient vers moi tandis que je creusais mes joues, le suçant avec des bruits humides, obscènes. « Bon garçon, » murmura Isabella. « Regarde comme il aime ça. » L’homme gémit, ses doigts se crispant dans mes cheveux. « Je vais jouir… » Je sentis son sexe gonfler davantage, ses cuisses trembler. « Avale tout. » L’ordre d’Isabella me transperça comme une lame. Je hochai la tête autant que possible, la bouche pleine, et il explosa.Le premier jet me surprit, épais et chaud, frappant le fond de ma gorge. Je déglutis par réflexe, puis encore, tandis qu’il continuait à pulser, à me remplir. Le goût était âcre, amer, mais je ne m’arrêtai pas, suçant jusqu’à la dernière goutte, léchant ses veines saillantes pour m’assurer qu’il n’en restait rien. Quand je reculai enfin, essoufflé, les lèvres enflées, il me regarda avec une sorte d’incrédulité, comme s’il ne comprenait pas comment j’avais pu faire ça. Comme s’il avait oublié qu’Isabella était là, qu’elle avait orchestré chaque seconde.« Bien. » Elle posa la cravache sur le bureau et fit un pas vers moi. « Maintenant, c’est à mon tour de m’amuser. »Je la vis enfiler sa ceinture avec des gestes précis, méthodique ...

... Log in to read the end of this erotic story | 100% free registration