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LE BONHEUR EST DANS LE PRE

Publié par : miche1827 le 17/04/2019

Dix jours, dix jours déjà de vacances passées dans ce petit coin paumé du centre de la France que j'avais choisi tout exprès pour m'adonner à ma passion du transformisme en toute tranquillité. Dans ce but, j'avais loué et réglé intégralement le loyer par correspondance d'une maisonnette isolée, située au bout d'un chemin de pierres en remplaçant mon prénom réel par mon pseudo de Miche. Arrivé tard le soir, j'avais trouvé les clés sous un pot de fleurs, ce qui m'avais permis d'apparaître dès le lendemain matin sous une apparence féminine que je conserverai publiquement pendant tout mon séjour. Après avoir rempli le frigo, je n'avais plus, pour le quotidien qu'à attendre le passage de la camionnette du boucher qui faisait également livraison de pain et de fruits et légumes.Je passais le plus clair de mon temps à bronzer sur la petite pelouse qui jouxtait la maison, entièrement nu à l'exception d'un string féminin. Tout mon corps, y compris le sexe et l'anus, était parfaitement épilé sauf une petite touffe de poils bouclés au pubis. Je me maquillais également avec soin, apportant une attention particulière à mes yeux parés de faux cils et je portais une longue perruque blonde. Au fil des jours ma peau avait pris une jolie couleur dorée. Chaque matin, au coup de klaxon du boucher je me rendais à l'entré du chemin. Une paire de faux seins destinés à compléter l'illusion était dissimulée sous mon tee-shirt, tandis qu'un mini short moulant étroitement mon postérieur et marquant la raie de mes fesses mettait en valeur mes longues jambes bronzées. Après mes emplètes faites, je retournait vers la maison en ondulant de la croupe, suivi par le regard concupiscent du boucher et de son commis. Ils respiraient tous les deux force et santé, et je pensais bien les faire craquer avant la fin de mon séjour.Un après midi, lassé de mes lectures, et puis un peu en manque coté sexuel, je décidais de faire un petit tour à pied aux alentours de la maison. Je revêtis une jupe mi longue de coton blanc boutonnée sur le devant mais que je laissais largement ouverte jusqu'en haut des cuisses, je complétais avec un chemisier turquoise dont je nouais simplement les pans sur le devant. Un micro string de dentelle blanche qui ne cachait pratiquement rien de mon intimité, des sandalettes lacées sur le bas de la jambe et me voila parti sous un chaud soleil sur un petit sentier de campagne.Apres une demie heure de marche j'atteignis un petit bois dont la fraîcheur me fut agréable. Je traversais le bois, espérant au fond de moi une rencontre fortuite qui aurait pu se terminer dans les buissons. Hélas rien de tel, et à la sortie du bois je me retrouvais en limite d'un vaste champ de blé. Fatigué par le trajet, je m'allongeait sous un chêne, sur un tapis de mousse et ne tardais pas à m'endormir. Combien de temps, je ne saurai le dire, mais la sensation d'une présence me fit entrouvrir les yeux. Je distinguais en contre jour une silhouette, celle d'un homme qui debout devant moi me contemplait sans mot dire. Mes yeux se portèrent sous la ceinture de son short ou un renflement conséquent indiquait l'effet que lui procurait le spectacle que je lui offrais. Dans mon sommeil, ma jupe s'était complètement dégrafée, découvrant largement mes cuisses bronzées et le triangle renflé de mon string. Quant au chemisier, les pans dénoués laissaient entrevoir les tétons érigés de mes seins. L'homme grand et costaud, des jambes musclées et poilues, une poitrine carrée et velue, très bronzé indiquait une personne habituée aux travaux des champs. Devant son impassibilité, une légère angoisse monta en moi : allongé sur le sol, dans ce champ désertique, j'étais entièrement à sa merci. Timidement je ramenais ma jupe sur mes jambes et rapprochais les pans du chemisier. D'une voix rauque, il rompit le silence :- Que fais tu là ?-Je prend un peu de repos avant de continuer mon chemin.-Tu n'es pas une fille toi !Je n'osais pas répondre.-Nous on n'a pas l'habitude ça par chez nous !-Il n'est jamais trop tard pour tenter l'expérience ! Approches je ne mors pas !En disant cela je me redressais, bombant le torse et relavant une jambe ce qui eu pour effet de dénuder à nouveau largement le haut de mes cuisses tout en offrant le bas de mon ventre à sa vue. Une sensation bien connue commença à chauffer le bas de mon ventre.-Tu as peur de moi ? Ungrand garçon costaud comme toi ! Je suis sur que l'on pourrait passer un bon moment ensemble !-Après tout pourquoi pas !L'animal sauvage était apprivoisé. J'écartais largement les cuisses et lui sourit. Il approcha et se laissa tomber près de moi. Il me serra brutalement contre lui, et sa bouche s'empara de la mienne, sa langue forçant mes lèvres et s'activant autours de la mienne. Il mordit sauvagement mes lèvres, écarta le chemisier mettant ma poitrine à nu et me débarrasa de ma jupe. Abandonnant ma bouche il s'attaqua à mes seins, aspirant leur pointe durcie, mordillant cruellement l'un d'eux et pinçant fortement l'autre dont il fit tourner le mamelon entre ses gros doits, tirant dessus et m'arrachant un cri de douleur et de plaisir tout à ...

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