Dans les années 1985-90, j'étais divorcé, seul, et j'ai recommencé à beaucoup me masturber.Je lisais le quotidien Libération qui publia un jour un article sur des rencontres de branleurs.L'article se terminait par l'adresse d'un organisateur de soirées de branle. J'ai écrit par curiosité ( pas d'internet à l'époque) et j'ai reçu un dossier sur ces soirées, ainsi que des techniques de branle et quelques photos.La prochaine soirée avait lieu un mois plus tard, un vendredi soir de septembre. J'ai retourné le coupon d'inscription et un chèque de 50 francs je crois Le rendez vous avait lieu dans le 3éme à Paris. Il était recommandé d'être ponctuel A l'entrée un gars vérifiait notre inscription et nous indiquait le sous sol. Première piece, un vestiaire improvisé avec des portants, des cintres et des sacs plastiques pour nos portefeuilles et autres objets. Un gars, nous demanda d'ôter tous nos vêtements à l'exception de nos chaussures et chaussettes. Nous étions une vingtaine à ce moment là, mais d'autres arrivaient. Je me déshabillait comme les autres, moyenne d'âge 30, 40 ans, pas de vieux. Des gars gros, minces, athlétiques ou pas.Certains se touchaient, d'autres mettaient leurs mains devant leur sexe, certains bandaient déjà, d'autres comme moi l'avaient molle.Au fur et à mesure de notre déshabillage, un gars nous entraînait vers une deuxième pièce souterraine, plus grande. Un grand plastique couvrait tout le sol, les murs étaient bruts, en parpaings. Pas de meubles, seule une grande table avec des bouteilles d'eau, de jus de fruit, et des petits flacons de lubrifiant. Quand nous fumes tous entrés nus, l'organisateur, nu aussi mais avec un tee shirt noir marqué Jerk off, prit la parole. Salut à tous, vous êtes venus vous amuser, vous branler, vous faire jouir. Je vais vous rappeler les règles : mettez vous par groupe de 5 ou 6, pas de binômes, ne branlez que votre bite, ne touchez pas les autres. Si vous sentez que ça vient trop vite, quittez le groupe, isolez vous, buvez un verre et revenez. Faites vous dur ...

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